Las Águilas Jungle Park Urbanización Las Águilas del Teide s/n 38640 Arona - Ténérif Sur Espagne Tel. +34 922 72 90 10 Fax : +34 922 72 98 06 www.junglepark.es |
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![]() Plan du parc |
Ma visite : 10 mars 2016 Mise en ligne : 28 aout 2016 |
![]() Vue aérienne du parc |
Ouvert tous les jours de 10h00 à 17h30 Les caisses ferment à 16h30 |
Lézard tacheté de Ténérife - mars 2016 |
Gibbon de Muller - mars 2016 |
Ticket
individuel Zoo Adulte : 26,00 € Enfant (5 à 10 ans ou 1.10 m à 1.40 m) : 17,50 € Enfant (3 à 4 ans ou 0.90 m à 1.10) : 9,00 € Ticket individuel Zoo + Aqualand Adulte : 36,00 € Enfant (5 à 10 ans ou 1.10 m à 1.40 m) : 26,00 € Enfant (3 à 4 ans ou 0.90 m à 1.10) : 12,00 € Carte annuelle Zoo + Aqualand Adulte : 85,00 € Enfant (5 à 10 ans ou 1.10 m à 1.40 m) : 65,00 € Enfant (3 à 4 ans ou 0.90 m à 1.10) : 35,00 € Les habitants de Ténérife disposent d'un tarif préférentiel. |
Second grand parc de
Ténérife, le Jungle Park se situe au sud de cette île des Canaries. Le Jungle park s’étend sur 8 hectares plongés dans une végétation dense qui pousse à l’état naturel. Egalement appelé Las Águilas-Jungle Park, cet établissement est géré par le groupe espa- gnol Aspro Ocio SA qui est également pro- priétaire de plusieurs parcs aquatiques (Aqualand) et delphinariums sur Ténérife ou encore l’ïle de Palma. |
Panthère - mars 2016 |
Après avoir traversé le grand parking payant du zoo, le visiteur franchit l’entrée de ce parc, entourée de statues de style égyptien, pour arriver au niveau des caisses. Là, face à ces dernières, on peut observer, en contre bas, un grand enclos en pente douce. Ce dernier allie herbe et sable et est parcouru par une rivière se jetant dans un grand bassin. Il semble que cette installation ait longtemps été consacrée à des tigres blancs (Panthera tigris) qui ont aujourd’hui quitté le parc. |
Ancien enclos des tigres blancs - mars 2016 |
Zone photo avec le hibou - mars 2016 |
A leur place, on pourra observer un troupeau de daims (Dama dama), des canards siffleurs du Chili (Anas sibilatrix) et des cigognes blanches (Ciconia ciconia). Après avoir acquis son droit d’entrée, le visi- teur bifurque directement sur la droite de sor- te à longer l’enclos des daims, avant de re- joindre une zone forestière au milieu de la- quelle, un stand permet de se faire photo- graphier aux cotés d’un hibou grand duc (Bubo bubo). |
En sortant de la forêt, nous tournons une se- conde fois sur la droite pour arriver au niveau d’un carrefour dans l’angle duquel se dresse une volière hexagonale, plantée de grands ar- bustes touffus et agrémentée de branches et de faux rochers. Représentant l’Amériqe du Sud, celle-ci est le lieu de vie de toucans à bec caréné (Ramphastos sulfuratus), d’oedicnèmes du Cap (Burrhinus capaensis) et de tortues léo- pards (Geochelone pardalis). |
Volière des toucans - mars 2016 |
Enclos des daims - mars 2016 |
Nous allons poursuivre la visite face à nous et laisser le sentier bifurquant sur la gauche, de sorte à gagner un cul-de-sac, permettant d’ob- server le bassin de l’enclos des daims. |
De retour au niveau de la volière des toucans, nous allons tourner sur l’autre sentier pour re- monter une colline, au milieu de décors rappe- lant les ruines antiques installées au milieu d’une végétation très diversifiée. Au sommet de cette colline, nous découvrons une installation en plein soleil faite de faux rochers. Ce complexe se compose de falaises, de plages bétonnées et d’un profond bassin et accueille une colonie de manchots de Humboldt (Spheniscus humboldti). |
Enclos des manchots de Humboldt - mars 2016 |
Enclos des casoars - mars 2016 |
En longeant l’installation, le visiteur peut éga- lement admirer ces oiseaux en aqua vision. La visite continue alors pour rejoindre une ter- rasse permettant de dominer le parc. Aux abords de cette terrasse a été construit un enclos composé d’un bassin, d’une plage en terre jonchée de pierres de lave et de troncs d’arbre. Un jeune casoar à casque (Casuarius casuarius) évoluait à ce niveau lors de ma visite. |
Le visiteur amorce alors une
descente au tra- vers de la végétation des zones sèches et des cascades qui agrémentent le parc, pour arriver au niveau d’un croisement où nous prenons à droite, vers un grand amphithéatre dominé par un restaurant. Au bas des gradins, se trouve un bassin en aqua-vision doublé d’une plage bétonnée au centre de laquelle se dresse un mât de navire. Cette esplanade est consacrée à un spectacle d’otaries de Californie (Zalophus californianus) et à un spectacle d’oiseaux en vol libre. |
Bassin des otaries - mars 2016 |
Volière du marabout - mars 2016 |
Plusieurs animations sont ainsi proposées quoti- diennement. Au dessus des gradins, nous pou- vons courtourner l’amphithéatre pour gagner et traverser une grotte reconstituée avant de res- sortir à l’ombre de grands arbres. Là, une série de volières a été érigée. Les 2 premières disposent d’un sol en terre et sont agrémentées de quelques rares bambous. Elles sont consacrées respectivement à un marabout africain (Leptoptilos crumeniferus) et à un calao terrestre (Buceros leadbeateri). |
Ces deux oiseaux participent au spectacle aux cotés notamment de calaos trompettes (Bycanistes bucinator), de conures de Nanday (Aratinga nenday) ou encore d’aras chloroptères (Ara chlorotpera) et araraunas (Ara ararauna). |
Grotte de la montagne - mars 2016 |
L’allée de visite est alors bordée par un muret de pierre soutenant de longues volières alignées. Chaque volière dispose d’un sol en terre, est plantée de rares palmiers et sont agrémentées de perchoirs. La première héberge des aras araraunas (Ara ararauna), la seconde présente des aras hyacynthes (Anodorhynchus hyacinthinus) tandis que la première est le lieu de vie de faisans dorés (Chrysolophus pictus). |
Volière typique pour aras - mars 2016 |
Enclos des wallabies de Bennett - mars 2016 |
Le visiteur emprunte alors un sentier qui fait face à la volière des faisans dorés, pour descendre une légère pente jouxtant un enclos enherbé, planté de quelques « pieds d’élephants ». Cette prairie est le lieu de vie de wallabys de Bennett (Macropus rufogriseus). Le sentier de visite débouche sur un plan d’eau qui prolonge la zone de spectacle des otaries. Cet étang relativement long et bordé de berges fournies en roseaux, a été doté de deux îles. |
Volière pour aras - mars 2016 |
Volière des faisans - mars 2016 |
La première consiste en plusieurs rocs de faux rochers sur lesquels sont plantés des arbres reliés entre eux par des cordes. Quelques pal- miers apportent un peu de verdure à cet espace occupé par des capucins à épaules blanches (Cebus capucinus). La seconde ile a une surface plus importante, un sol recouvert d’herbe et est plantée de grands palmiers. On peut y admirer un couple de gibbons à mains blanches (Hylobates lar). |
Ile des gibbons - mars 2016 |
Ile des capucins et bassins des pélicans - mars 2016 |
Des pélicans à dos rosé (Pelecanus rufescens) peuplent pour leur part les fos- sés en eau. L’allée longe alors l’étang où la végétation naturelle domine offrant des abis aux gallinules poules d’eau (Gallinula chloropus). A l’extrémité de ce plan d’eau, le sentier tourne sur la gauche et nous conduit devant une falaise naturelle, à laquelle a été accolée une longue volière pénétrante dans laquelle se poursuit la visite. |
Cette dernière est
traversée
par un ponton en bois. De part et d’autre de l’allée, on distingue un sol en terre, un bassin et de nombreux ar- bres et arbustes offrant des perchoirs en bois. Cette volière « Aves del Mundo » semble être un « fourre tout » d’oiseaux élevés à la main et de ce fait relativement familiers. On pourra ainsi y admirer des aras araraunas (Ara ararauna), des amazones à tête jaune (Amazona oratrix), des amazones à front jaune (Amazona ochrocephala), des conures de Nanday (Aratinga nenday), ... |
Grande volière de contact - mars 2016 |
Grande volière de contact - mars 2016 |
..., des cacatoès à huppe jaune (Cacatua sulphurea), des cacatoès des Molluques (Cacatua moluccensis), des conures mitrées (Aratinga mitrata), des perroquets maillés (Deroptyus accipitrinus), des loriquets arc en ciel (Trichoglossus haematodus), des loris (Eos bornea), des mainates (Gracula religiosa), des calaos à bec noir (Tockus nasutus), des colombes waalias (Treron vernans), ... |
..., des touracos à huppe splendide (Tauraco porphyreolophus), des touracos de Buffon (Tauraco persa buffoni), des faisans argentés (Lophura nycthemera), des pintades huppées (Guttera pucherani) et des iguanes verts (Iguana iguana). |
Mainate religieux - mars 2016 |
Nous
ressortons alors de la volière et bifur- quons à 180° sur notre gauche pour revenir à l’entrée de cette dernière et continuer à l’opposé de la volière. Là, sur la droite, nous longeons un canyon au fond de falaise. Ce dernier est divisé en 3 sections disposant chacune d’un bassin et de plages en sable. La première section est occupée par des crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus), tandis que la seconde accueille des caimans nains de Cuvier (Caiman palpebrosus). |
Enclos des crocodiles du Nil - mars 2016 |
Volière des cigognes d'Abdim - mars 2016 |
Le sens de visite nous amène alors à tourner à droite, pour emprunter un pont suspendu au dessus du canyon. Arrivé sur l’autre rive, nous découvrons alors, adossée à un flanc de montagne, une volière au sol en sable, agré- mentée d’un bassin peu profond et de bran- ches mortes. Une imposante colonie de cigognes d’Adbim (Ciconia abdimi) y cohabite avec des ibis sacrés (Threskiornis aethiopicus). |
Le long de la falaise, un sentier
descendant au plus proche des crocodiles, permet de rejoin- dre les volières des faisans dorés (Chrysolophus pictus) et aras hyacinthes (Anodorhynchus hyacinthinus) que nous avons déjà pu voir. En délaissant cette option, nous allons con- tinuer sur le sentier principal pour nous re- trouver sur une place ombragée par quel- ques arbres et entourée de barrières en bois composant l’enclos des émeus (Dromaius novaehollandiae). |
Enclos des émeus - mars 2016 |
Point de vue sur l'océan - mars 2016 |
Leur enclos dispose d’un sol en terre et est planté de multiples arbres recréant ainsi une forêt. La visite se poursuit sur la gauche de cette place pour traverser un écrin de ver- dure avant de nous retrouver sur une pas- serelle en bois offrant une vue panoramique sur l’océan. Plus loin sur cette passerelle, une tour en bois, percée de vitre, cette volière, dont nous ne pouvons voir que la partie supérieur de l’endroit où nous sommes, est le lieu de présentation de saimiris écureuils (Saimiri sciureus). |
La passerelle entoure alors une fosse de gran- de taille, entourée de hauts murs bétonnés. Au fond de cette fosse, on pourra voir des zones enherbées, plantées de palmiers ainsi qu’un bassin. De nombreux agrès en bois et en cordes, offrent diverses possibilités d’évolution en hauteur. Ce complexe est le lieu de vie de 2 mâles orang outans (Pongo pygmaeus) et d’un couple de rares gibbons de Muller (Hylobates muelleri) qui n’est visible que dans un nombre restreint de parcs européens. |
Enclos des orang outans - mars 2016 |
Enclos des alligatores - mars 2016 |
Au bout de la passerelle, le visiteur revient sur une allée bétonnée. A ce niveau, en continuant tout droit, nous pouvons traverser une forêt et revenir au niveau de la volière pénétrante des perroquets. La seconde option consisterait à tourner sur la gauche, pour emprunter un pont dominant l’in- stallation des orangs outans sur la gauche et la troisième section du canyon des crocodiliens sur la droite, espace occupé par des alligatores du Mississipi (Alligator missippiensis). |
Enclos des orang outans - mars 2016 |
Bassin des caimans - mars 2016 |
Ce pont débouche pour sa
part sur la volière des cigognes d’Abdim (Ciconia abdimi). Enfin, la troisième solution, pour laquelle nous allons opter, consiste à bifurquer sur la droite, pour se retrouver devant un mur où l’on tour- nera une seconde fois sur la droite. Là, l’allée nous dirige vers une petite place en- tourée de 3 enclos. Celui situé le plus à droite est entouré de falaises rocailleuses, dispose d’un sol en sable ombragé par un grand arbre et d’un bassin. Cette installation est le lieu de vie de lions blancs (Panthera leo krugeri). |
Enclos des lions - mars 2016 |
Lagune des flamants - mars 2016 |
Perpendiculaire aux lions, se trouve une lagune à l’eau claire et peu profonde, à l’arrière de la- quelle on peut voir une plage en herbe où se dressent deux huttes africaines. Cette lagune est occupée par une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) et d’un flamant nain (Phoenicopterus minor). Enfin, la troisième structure de cette place est une imposante volière au sol en terre, agrémentée de nmbreuses structures d’es- calade en bois. Un couple de léopards africains (Panthera pardus) y est présenté. |
Volière des léopards - mars 2016 |
Ambiance du village africain - mars 2016 |
Nous quittons alors cette
espace, pour bifur- quer une seconde fois sur la gauche et des- cendre une allée bordée par une haute vo- lière à l’armature métallique. Cette dernière dispose d’un sol en herbe et de multiples plateformes disposées à des hauteurs dif- férentes. Cet enclos héberge des pumas (Puma concolor). Au bas de la descente, nous retrouver la partie basse de l’installation des saïmiris (Saimiri sciureus). |
Volière des pumas - mars 2016 |
Enclos des ratons laveurs - mars 2016 |
L’allée remonte alors le long des murs des orangs outans pour revenir au niveau du carrefour où, une fois de plus, nous allons bifurquer sur la droite, puis tourner sur la gauche, pour emprunter une allée ombra- gée par une végétation touffue et remonter vers une partie du zoo. Ce sentier débouche sur le restaurant du parc, dont la terrasse est bordée par un en- clos situé en contrebas. Ce dernier en sable, est agrémenté de structures d’escalade en bois, de palmiers et autres feuillus. Il est oc- cupé par des ratons laveurs (Procyon lotor). |
L’allée de visite nous
amène alors vers une zone dégagée où ont été installés plusieurs enclos. Sur la droite, le premier d’entre eux dispose d’un sol en herbe, s’organise autour d’un bosquet offrant de l’ombre à l’en- semble de l’installation. Divers rochers jonchent le sol de cette plaine qui est aussi traversée par un ruisseau se je- tant dans une rivière. Une famille de loutres naines (Aonyx cinerea) s’ébat dans cet enclos. Face aux mustélidés, un enclos vitré en façade, totalement enherbé, au sein duquel se dressent plusieurs pieux en bois, est le lieu de vie de coatis bruns (Nasua nasua). |
Enclos des coatis - mars 2016 |
Enclos des loutres - mars 2016 |
Des palmiers " pattes
d’éléphants " offrent da- vantage de verdure à cet ensemble. Enfin, sur la droite, dans le prolongement des loutres se dresse une autre prairie délimitée par un petit muret dans le style inca. Cet en- clos est planté de nombreux bananiers et oc- cupé par des tortues à éperons (Geochelone sulcata). Au bout de l’allée, une echelle en bois per- met de gagner un parcours d’agrès en bois, de troncs supendus et de cordes. Le der- nier pont de cordes débouche sur le jardin des cactées où plusieurs essences de ces plantes grasses sont présentées. |
Allée des petits carnivores - mars 2016 |
Volière des saimiris - mars 2016 |
Au détour d’un
virage se dresse un enclos de grande taille, au sol en terre noire, agré- menté de quelques rochers et de yucchas. Cet enclos de style désertique est consacré à des porcs épics à crête (Hystrix cristata). Nous rejoignongs alors l’allée principale. A ce niveau, la visite continue sur la gauche, pour longer un enclos de taille moyenne, en sable, agrémenté de troncs et de multiples rochers. Cet enclos héberge des suricates (Suricatta suricata). |
Enclos des porcs épics - mars 2016 |
Volière du jaguar - mars 2016 |
L’allée débouche
alors à
proximité du grand restaurant. Là, nous allons emprunter un chemin situé sur la droite. Un pont suspendu bifurque alors vers la gauche et permet de traverser le canyon des crocodiliens et de revenir vers la volière des cigognes d’Abdim (Ciconia abdimi). Nous allons pour notre part poursuivre la découverte du Jungle Park sur l’allée cen- trale et longer une grande volière au sol en herbe et en terre, volière agrémentée de troncs d’arbre, de palmiers et d’un bassin. Ce complexe recréant un morceau de jungle amazonienne présente un jaguar (Panthera onca). |
Jardin des cactées - mars 2016 |
Enclos des suricates - mars 2016 |
A la suite
des fauves, adossée à un muret de pierres, se trouve une double volière qui per- met de mettre en commun ou de séparer les deux espaces situés de part et d’autre du sas de services. Ces volières sont dépourvues de végétation et agrémentées de troncs et de rochers. Elles hébergent un groupe de capucins bruns (Cebus apella). L’allée de visite s’insinue alors dans une forêt que l’on traverse et à la sortie de laquelle on peut observer, sur la gauche, une volière dont la façade est pourvue de baies vitrées. Cette volière tendue de branches et plantée de buis- sons feuillus, est le lieu de vie de cercopithè- ques de Brazza (Cercopithecus neglectus). |
Volière des capucins - mars 2016 |
Bassin des otaries - mars 2016 |
Là, nous arrivons au
niveau d’une patte
d’oie où 4 possibilités s’offrent à nous. Nous allons dans un premier temps emprunter le sentier qui nous fait face, de sorte à longer et dominer, sur la gauche, une succession de 2 enclos dis- posant de bassins relativement profonds, s’ou- vrant sur des plages bétonnées. Ces enclos sont délimités par des rondins de bois. Initialement occupés par des hippopota- mes pygmés (Hexaprotodon liberiensis), ils accueillent aujourd’hui un groupe d’otaries de Californie (Zalophus californianus). Sur la droite de l’allée, un enclos en sable, om- bragé par de grands arbres, est le lieu de vie de tortues à éperons (Geochelone sulcata). |
Volière des cercopithèques de Brazza - mars 2016 |
Enclos des tortues sillonnées - mars 2016 |
En continuant sur cette
allée, nous remontons vers l’aire de spectacle des rapaces et des otaries. De retour au niveau du carrefour, nous allons laisser l’allée la plus à droite, qui nous mène vers la volière pénétrante des amazones et emprunter celle située entre ce premier sen- tier et celui des cercopithèques de Brazza. Là, la découverte du parc se fait à l’ombre d’une forêt clairsemée. Sur la droite, une ca- verne vitrée, plantée de quelques ficus et tra- versée par des branches, est occupée par une famille de ouistitis à toupets blancs (Callithrix jacchus). |
Volière des ouistitis - mars 2016 |
Volière des siamangs - mars 2016 |
Mitoyen aux petits singes sud américains se dresse une haute volière au sol en herbe, ten- due de multiples cordes, consacrée à des singes siamangs (Hylobates syndactylus). La visite se poursuit alors au milieu des palmiers, avant de découvrir, sur la gauche, adossé à un mur de pierres, un petit enclos en herbe, com- posé d’un bassin et de quelques plantes. Cet en- clos héberge des tortues d’Hermann (Testudo hermanni). |
Le sentier débouche
alors une fois de plus sur la place du restaurant du zoo, à proximité des ra- tons laveurs. Là, nous allons emprunter l’allée bordée par les suricates et continuer tout droit, pour repasser à proximité du jaguar puis du sentier des porcs épics et nous retrouver au ni- veau d’un arc de cercle. Sur la droite, se dresse un haut mur de faux rochers, percé de quelques baies vitrées. Cette loge au sol en terre est agrémentée de plusieurs troncs et autres structures d’escalade en bois. Elle présente une famille de capucins à épaules blanches (Cebus capucinus). |
Enclos des capucins à épaules blanches - mars 2016 |
Volière des lémuriens - mars 2016 |
Arrivé au niveau du demi cercle, nous pouvons soit tourner sur la droite, soit emprunter le sen- tier situé sur la gauche. Nous allons opter pour cette seconde solution. L’allée de visite longe alors sur la droite, ce qui semble être un amphi- théatre circulaire. Sur la gauche, on peut obser- ver une vaste volière, au sol en terre, garnie de faux rochers, de troncs morts, de cordes et de quelques palmiers. Cet espace accueille une cohabitation entre des varis noirs et blancs (Varecia variegata) et des makis cattas (Lemur catta). |
Nous allons poursuivre notre découverte sur cette allée pour observer, sur la gauche, une autre volière rectangulaire, au sol recouvert de copeaux, agrémentée de branches , d’un bassin, de bambous et de palmiers. Cette structure est consacrée à des hoccos à pierre (Pauxi pauxi), des vautours auras ou urubus à tête rouge (Cathartes aura), des vautours papes (Sarcoramphus papa) et des savacous huppés (Cochlearius cochlearius). |
Volière sud américaine - mars 2016 |
Présentation des rapaces du spectacle - mars 2016 |
Face à cette volière, accolé à un muret, se dres- se un espace au sol recouvert de galets, des- quels ressortent quelques perchoirs, ombragés par des auvents en bois. Chaque perchoir est consacré à une espèce de rapaces qui sont éga- lement présentés lors d’un spectacle de vol libre qui a fait la réputation de ce zoo. Parmi les espèces visibles on peut citer la buse de Harris (Parabuteo unicinctus). En continuant sur l’allée, nous découvrons sur la droite l’arène du spectacle des oiseaux, cir- culaire, recréant une ruine de château. |
L’allée que nous venons
d’emprunter contour- ne les murs soutenant les gradins. Plus loin sur le sentier principal, installés à l’ombre de pal- miers, se trouve la suite de l’exposition des rapaces du spectacle, avec : voutour néoprhon moine (Necrosyrtes monachus), vautour à tête blanche (Trigonoceps occipitalis), pygar- gue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), aigle bateleur (Terathopius ecaudatus) ou encore buse variable (Buteo buteo). En poursuivant sur cette allée, nous retombons sur la volière des toucans à bec caréné (Ramphastos sulfuratus) découverte au début de la visite. |
Aire du spectacle des rapaces - mars 2016 |
Enclos des chimpanzés - mars 2016 |
Nous
allons alors rebrousser
chemin jusqu’à l’enclos des lémuriens et des capucins, pour continuer la visite le long de la seconde aile de l’aire de spectacle. Là, sur la droite, se dresse une grande installation entourée de faux rochers dont l’opacité est percée de quelques baies vitrées. Ce complexe, en cours de rénovation lors de ma visite, se compose d’un sol en terre, de nombreus troncs et autres branches, de faux rochers et de bananiers et autres palmiers ap- portant un peu de verdure à l’ensemble. Cet enclos relativement esthétique est occupé par des chimpanzés (Pan troglodytes). |
Sur la gauche, adossé au
mur soutenant les gradins, on peut observer d’autres rapaces. La première zone est destinée aux rapaces nocturnes avec notamment la présentation de hiboux grands ducs (Bubo bubo), de har- fangs des neiges (Nyctea scandiaca). Viennent ensuite les buses de Harris (Parabuteo unicinctus) puis les vautours papes (Sarcoramphus papa). Sur la droite, on pourra admirer d’autres rapaces comme le grand duc africain (Bubo africanus). |
Volière des marabouts du spectacle - mars 2016 |
Zone de présentation des oiseaux - mars 2016 |
S’en suivent 2 volières installées entre 3 murs, disposant d’un sol en terre. Elles hébergent respectivement des milans noirs (Milvus migrans) et des marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus). Enfin, deux derniers perchoirs installés sur un sol en sable à l’ombre des palmiers, présen- tent des caracaras chimangos (Milvago chimango), une espèce qui reste peu courante en captivité puis des vautours fauves (Gyps fulvus). |
L’allée débouche alors dans l’arène du spectacle des rapaces. En continuant la découverte du parc, nous allons longer une dernière allée, où la pré- sentation des rapaces du spectacle se poursuit. Ainsi nous pourrons y voir un vautour de Ruppel (Gyps rueppellii) et plusieurs pygargues à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus). Le visiteur remonte alors l’allée où l’on peut se faire prendre en photo avec un hibou, puis l’es- pace photo des becs crochus, avant de traverser la boutique et de quitter le Jungle Park. |
Zone de présentation des oiseaux - mars 2016 |
En conclusion, le Jungle Park est le second grand zoo de l’île de Ténérife. Sa collection reste relati- vement classique avec notamment une grande col- lection de fauves et de singes, permettant de com- bler les visiteurs. La découverte de ce zoo se fait dans un cadre de végétation naturelle très agréable. Les installations font souvent appel aux faux rochers, mais restent de bonne facture. |
Toucan à bec caréné - mars 2016 |
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