Loro Parque Avenue Loro Parque 38400 Puerto de la Cruz Santa Cruz de Ténérife Espagne Tel : +34 922 37 38 41 Fax : +34 922 37 50 21 www.loroparque.com |
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![]() Vue aérienne du parc |
Mes visites : 07, 08, 09, 12 et 13 mars 2016 Mise en ligne : 15 mai 2016 |
![]() Plan du parc |
Le parc est ouvert tous les jours de 8h30 à 18h45 |
Perruche à tête d'or - mars 2016 |
Conure tiriba - mars 2016 |
Ticket individuel Loro Parque : Adulte : 34,00 € Enfant (6 à 11 ans) : 23,00 € Carte annuelle Loro Parque : Adulte : 99,00 € Enfant (6 à 11 ans) : 66,00 € Ticket individuel Loro Parque + Siam Park : Adulte : 58,00 € Enfant (6 à 11 ans) : 39,50 € Des tarifs préférentiels sont disponibles pour les habitants de Ténérife. |
Le Loro Parque se situe sur l’île de Ténérife, île des Canaries où le climat clément se prête au développement de nombreux arbres des régions chaudes. C’est dans la ville de Puerto de la Cruz à pro- ximité de la plage qu’à été érigé ce parc spé- cialisé dans l’élevage des perroquets. Ce parc, fondé par M Wolfgang Kiessling a ouvert ses portes le 17 décembre 1972. A ses débuts, il s’étendait sur 1,3 hectare peu- plé exclusivement de psittaciformes, le visiteur pouvait y admirer environ 150 oiseaux. |
Inséparable de Fischer - mars 2016 |
Conures perlées - mars 2016 |
Rapidement, le parc s’est agrandit et développé pour atteindre 3,5 hectares en 1978, année durant laquelle les chimpanzés ont été ajoutés à la col- lection. L’extension a continué en 1982 pour atteindre à cette date, une surface de 6 hectares. Enfin, la surface actuelle du parc à savoir 13,5 hectares a été atteinte dès 1992. Consacré essentiellement aux psittaciformes à son ouverture le Loro Parque a élargi sa collection aux grands singes (chimpanzés puis gorilles) ainsi qu’aux mammifères marins (Otaries ; dauphins en 1987 puis plus récemment orques en 2006). |
Malgré la diminution de
la collection des becs
cro- chus présentée au public, ce parc reste le plus gros centre d’élevage de perroquets au niveau mondial. Ce parc est aujourd’hui géré la Fondation du Loro Parque qui mène aussi de nombreux projets de con- servation des psittaciformes à travers le monde. En parallèle de ces activités, la fondation est également à la tête d’un centre de reproduction des perroquets, non visible du public, ayant été ouvert en 1983 avec 100 volières de reproduction et qui compte près de 3 500 oiseaux. |
Loriquet de Goldie - mars 2016 |
Dès l’entrée, le
visiteur est
jubjugué par un imposant complexe dans le style Thaîlandais. L’entrée est intégrée dans un village de type thaïlandais reconstitué. Les divers bâtiments de ce complexe accueillent des boutiques, des bâtiments administratifs mais aussi le musée des porcelaines ou de nombreuses pièces de collection sont exposées. Chacune d’entre elle représente ou met en scène, Loro Parque oblige, des psittaci- formes. A l’extrémité du village, se trouve un grand bassin peuplé de carpes koïs (Cyprinus carpio) et de cygnes noirs (Cygnus atratus). |
Bassin des cygnes noirs - mars 2016 |
Village Thai - mars 2016 |
A l’arrière de ce plan d’eau, dissimulé der- rière les papyruss, on peut distinguer une plage en sable sur laquelle évoluent des émeus (Dromaius novaehollandiae). Le visiteur amorce alors sa visite en traver- sant le plan d’eau des carpes pour arriver devant un espace où sont distribués les plans du parc et où les familles sont prises en photos en compagnie de deux aras (Ara macao et Ara ararauna), ces photos sont mises en vente à la sortie du parc. |
La visite démarre alors en trombe par une vaste volière installée à flanc de falaise. Cette volière au sol recouvert de pouzzolane est agrémentée d’un feuillu et de branches mortes. Des cordes y ont également été dis- posées. Auparavant occupée par les amazones de Saint Vincent (Amazona guilduini), dont la seule femelle restant a rejoint la station d’élevage, est aujourd’hui le lieu de vie de 3 aras de Lear (Anodorhynchus leari), les seuls représentants de leur espèce présentés au public en Europe. |
Ara de Lear - mars 2016 |
Volière des aras de Lear - mars 2016 |
Cette espèce prétée par le gouvernement Brésilien aux différents parcs en hébergeant devrait bientôt être présentée dans d’autres zoos comme Prague ou Wuppertal. |
L’ascenssion se poursuit alors pour longer un vaste enclos organisé en terrasses, traversé par une cascade qui se jette dans les fossés en eau séparant les animaux des visiteurs. De nombreuses plantes, troncs morts et rochers complètent les décors de cette installation con- sacrée à un groupe de 7 gorilles mâles (Gorilla gorilla gorilla). Différents points de vision permettent de dé- couvrir cette installation. |
Enclos des gorilles - mars 2016 |
Enclos des gorilles - mars 2016 |
Les gorilles du Loro Parque Rafiki, mâle né au zoo de Zurich le 29/05/1991 et ayant transité par le zoo de Stuttgart Ubongo, né le 06/01/2008 au zoo de Hannovre Kiburi, né au zoo de Hannovre le 27/06/2004 Aladin né au zoo de Tel Aviv le 04/07/1998 Noêl mâle né au zoo de la Palmyre le 28/12/1986 arrivé du zoo de Munich Pole Pole, arrivé du zoo de Munich et né au zoo de Zurich le 28/12/1989 Schorsch né au zoo de Nurnberg le 03/03/1972 |
Face aux gorilles s’étend une vaste pelouse plantée de palmiers sur laquelle évoluent en totale libertée des grues couronnées grises (Balearica pavonina). Après avoir laissé les grands singes, le visiteur fait face à un imposant édifice construit en 1999, dont le nom indique son orientation, il s’agit de « Planet Penguin ». |
Prairie des grues - mars 2016 |
Après avoir gravi un escalator, le visiteur se re- trouve en intérieur et découvre au travers d’une grande vitre, un large et profond bassin entouré de falaises rocheuses agrémentées de plantes ar- tificielles. Ce complexe recréer une plage de Patagonie et est consacré à une importante colonie de manchots de Humboldt (Spheniscus humboldti). Une cohabitation avec une colonie de conures de Patagonie (Cyanoliseus patagonus) a été tentée par le passé malheureusement sans succès. Cette cohabitation n’est par conséquent plus d’actualité. |
Volière des manchots de Humboldt - mars 2016 |
Enclos des manchots à jugulaires - mars 2016 |
Le couloir de visite traverse
alors une galerie
dont les parois sont recouvertes de glace, marquant l’arrivée vers le pôle nord. Au bout du couloir, le visiteur tombe nez à nez avec le grand penguinarium polaire. Un tapis roulant contourne cette installation composée d’un bassin avec vision sous marine, de plages en- neigées et au centre de la rotonde, une falaise rocheuse. De la neige artificielle est projetée en continue dans cette installation où cohabitent et se reproduisent ré- gulièrement des manchots royaux (Aptenodytes patagonicus), des manchots papous (Pygoscelis papua), de rares manchots à jugulaire (Pygoscelis antarcticus) et des gorfous sauteurs (Eudyptes chrysocome chrysocome). |
Mur de glace - mars 2016 |
Enclos des manchots à jugulaires - mars 2016 |
Après avoir fait le tour de ce pinguinarium, le visiteur découvre, sur la droite, une autre es- pèce d’oiseaux, installée sur une falaise rocheuse doublée d’un bassin avec vision sous marine. Un groupe de macareux moines (Fratercula arctica) y évolue, le bassin étant peuplé de quelques poissons. Le couloir de visite forme alors une spirale qui descend. Au centre de la spirale, un aquarium en forme de grande colone héberge un banc de bars communs (Dicentrarchus labrax). |
Enclos des macareux - mars 2016 |
Aquarium des raies - mars 2016 |
Au bas de cette spirale, le
visiteur passe devant une boutique avant d’arriver devant une grande vitre s’ouvrant sur le fond du bassin des man- chots de Humboldt. Ce dernier est peuplé de raies guitares (Rhinobatos rhinobatos), de raies pastenagues (Dasyatis pastinaca), de carangues dorées (Gnathanodon speciosus), de bars com- muns (Dicentrarchus labrax), de maigres (Argyrosomus regius) et de mérous géants (Epinephelus lanceolatus). Le visiteur ressort alors de « Planet Penguin » et peut soit poursuivre le sentier, soit se diriger sur la gauche de sorte à réemprunter l’escalator et con- tinuer la visite à l’arrière du complexe des manchots. |
Nous allons opter pour cette seconde solution, et emprunter un sentier plongé dans la végétation. A l’extrémité de ce sentier, se dresse une volière de forme carrée offrant un volume conséquent à ses occupants. Ombragée par de grands arbres, elle est bien plan- tée et traversée de cordes. Cette structure accueille un couple d’éclectus de Riedel (Eclectus roratus riedeli), sous espèce reconnaissable à la couleur jaune de l’extrémité de leur queue. |
Volière des éclectus - mars 2016 |
Volière des conures - mars 2016 |
Le Loro Parque présente
d’ailleurs pas
moins de 5 sous espèces d’éclectus réparties dans le parc et dans le centre d’élevage. Les panneaux informatifs accompagnant chaque espèce mettent en évidence les points permettant de reconnaitre les différentes sous espèces. L’ascension se poursuit alors pour gagner le point haut de cette allée où se dresse une haute volière relativement longue. Légèrement surélevée par rap- port au sentier de visite, cette dernière dispose d’un sol en sable et le pourtour est entouré de faux ro- chers. Quelques arbustes, des branches et des cor- des complètent les aménagements. |
Conure perlée - mars 2016 |
Eclectus de Riedel - mars 2016 |
Au sein de cette installation on pourra
observer une cohabitation entre des conures à poitrine grise (Pyrrhura griseipectus), des conures perlées (Pyrrhura lepida) et des conures à ventre rouge (Pyrrhura perlata), trois espèces originaires du Brésil. L’allée de visite amorce alors sa descente, pour nous conduire vers une terrasse adossée à un snack où de multiples formules de restauration sont proposées. Après avoir traversé cette terrasse et parcouru quelques mètres, le visiteur fait face à une vitrine intitulée « Hall of Fame », où sont exposés les différents titres et autres récompenses obtenus par le zoo. |
Hall of Fame - mars 2016 |
Volière des ouistitis - mars 2016 |
Mitoyen à cette vitrine se trouve une volière ronde densément végétalisée recréant un morceau de forêt tropicale. Cette volière est visible à travers des baies vitrées et est agrémentée de nombreuses cordes et autres branches suspendues. Un groupe de ouistitis de Geoffroy (Callithrix geoffroyi) y évolue aux cotés de paresseux didactyles (Choloepus didactylus), d’iguanes verts (Iguana iguana) et de tortues charbonnières à pattes rouges (Chelonoides carbonaria). |
Le visiteur longe alors cette
volière et peut observer, sur la gauche, un cul de sac se terminant par une large baie vitrée. A partir de se promontoir, on surplombe un grand enclos organisé en terrasses engazonnées, agrémentées de fourmilières et de rochers. Ce complexe au bas duquel on distingue un bassin est occupé par des coatis à queue annelée (Nasua nasua), des capybaras (Hydrochaerus hydrochaeris) et des fourmiliers géants (Myrmecophaga tridactyla). La visite continue alors sur le sentier principal, en pente légère. Sur la droite de l’allée, on retrouve la volière des ouistitis, tandis que sur la gauche se suc- cèdent 5 volières typiques des présentations pour psittacidés. |
Enclos des fourmiliers - mars 2016 |
Volière typique pour petits aras - mars 2016 |
Ces volières bordant l’allée en demi cercle, dispo- sent d’une armature métallique, sont couvertes d’un grillage à mailles carrées, bénéficient d’un sol en pouzolanne et sont agrémentées de cordes et de perchoirs en bois. La première héberge un couple d’aras macavouanes (Orthopsitta manilata), la seconde qui est égale- ment la plus grande de cet ensemble est le lieu de vie d’un couple de conures à front brun (Rhynchopsitta terrisi), dont le Loro Parque est le seul établissement au monde à en maintenir en captivité. |
La troisième volière est occupée par des conures à long bec (Enicognathus leptorhynchus). Les deux dernières accueillent réspectivement des aras nobles (Diopsittaca nobilis nobilis) puis des aras nobles de Lichtenstein (Diopsittaca nobilis cumaensis). La distinction entre ces deux sous espèces se fait au niveau de la mandibule supérieure du bec, noire et claire à la base pour la première sous espèce alors qu’elle est totalement crème chez la seconde. |
Complexe des petits aras - mars 2016 |
Conure à front brun - mars 2016 |
Ara macavouane - mars 2016 |
Ara noble de Lichtenstein - mars 2016 |
Ara noble commun - mars 2016 |
Le visiteur peut alors continuer à gravir cette colline ou revenir au niveau des paresseux pour emprunter un sentier se dirigeant sur la droite. Nous allons op- ter pour cette seconde solution et silloner au sein d’une végétation luxuriante. Au détour d’un virage, se dresse une volière vitrée, au sol recouvert d’écor- ces, plantée de nombreux buissons et autres végé- taux tropicaux. Des lianes et des branches ont été suspendues au toit. |
Volière des petits singes - mars 2016 |
Ouistiti de Geoffroy - mars 2016 |
Ce complexe sud américain présente des tamarins lions dorés (Leontopithecus rosalia), des tamarins empereurs (Saguinus imperator), des iguanes verts (Iguana iguana), des caimans crocodiles (Dracaena guianensis), des tortues charbonnières (Chelonoides carbonaria) et des tortues fores- tières ornées (Rhinoclemmys pulcherrima). Ces trois dernières espèces sont restées invisibles lors de mes visites. |
La descente se poursuit pour longer, dans un se- cond virage, une autre volière surélevée par rap- port au sentier de visite. Cette dernière dispose d’un fond recréant une falaise rocheuse et est garnie de branches et de troncs. Des sakis à face blanche (Pithecia pithecia) y évoluent aux cotés de tamarins à mains rousses (Saguinus midas) et d’iguanes verts (Iguana iguana). |
Volière des petits singes - mars 2016 |
Enclos des fourmiliers - mars 2016 |
En continuant sa découverte du Loro Parque, le visiteur bénéficie d’un second point de vision sur l’installation des fourmiliers géants (Myrmecophaga tridactyla). Au bas de l’allée, le visiteur se retrouve au niveau d’un carrefour formé avec le sentier prin- cipal. Face à nous se dresse une aire de spectacle au bas de laquelle on peut observer un grand bassin à ciel ouvert à l’eau claire, disposant d’une vision sous marine sur plusieurs dizaines de mètres. |
Une plage en béton représentant des faux rochers, agrémentée de troncs et de tobbogans se situe au centre du bassin. Ce complexe est consacré aux otaries de Californie (Zalophus californianus) du parc. Un spectacle est proposé plusieurs fois par jour à ce niveau. Nous allons pour notre part laisser les pinnipèdes de coté pour nous diriger sur la gauche et découvrir la section du parc consacrée aux ama- zones, superbes perroquets à la couleur verte dominante. |
Bassin des otaries - mars 2016 |
Cette section se compose d’un alignement
de volières toutes identiques et séparées l’une de l’autre par une distance de l’ordre de 1 mètre et toutes localisées sur la gauche de l’allée. Enfin, 2 nichoirs ont été disposés dans les coins arrières de ces installations. Chaque volière dispose d’un sol en pouzolane, est tendue de cordes et agrémentée de quelques rares branches. Une première série de 4 volières qui ac- cueillent respectivement des grandes amazones à tête jaune (Amazona oratrix oratrix), des amazones à front jaune du Bélize (Amazona ochrocephala belizensis), des amazones du Panama (Amazona ochrocephala panamensis) puis des amazones à front jaune de Marajo (Amazona ochrocephala xantholaema). |
Complexe des amazones - mars 2016 |
Détail d'une volière pour amazones - mars 2016 |
La série de volières est alors interrompue par un stand de restauration rapide avant de reprendre. La première volière de cette seconde série abrite une troisième sous espèce de l’amazone à front jaune, l’amazone à front jaune du Surinam (Amazona ochrocephala ochrocephala). Les 2 structures qui suivent mettent en parallèle les 2 sous espèces d’amazones à front bleu à savoir l’amazone à front bleu et ailes jaunes (Amazona aestiva xanthopteryx) puis l’ama- zone à front bleu commune (Amazona aestiva aestive). |
Des amazones à joues bleues (Amazona brasiliensis) évoluent dans la quatrième volière tandis que la 5ème installation héberge des ama- zones à face jaune (Amazona xanthops). Les 2 sous espèces d’amazones festives sont à l’honneur dans les volières suivantes à savoir l’amazone festive commune (Amazona festiva festiva) et l’amazone de Bodin (Amazona fectiva bodini). L’installation suivante est le lieu de vie d’amazones à sourcils rouges (Amazona rhodocorytha). Des amazones de Dufresne (Amazona dufresniana) et des amazones à diadème (Amazona diadema) complètent la collection. |
Amazone de Prêtre - mars 2016 |
Amazones à diadème - mars 2016 |
La section de ces perroquets à dominante verte se poursuit avec 3 sous espèces de l’amazone à diadème à savoir l’amazone lilacine (Amazona autumnalis lilacina), l’amazone de Salvin (Amazona autumnalis salvini), l’amazone à lores rouges (Amazona autumnalis autumnalis). Des amazones de Finsch (Amazona finschi finschi) évoluent dans la volière suivante. Enfin, l’allée des amazones se termine par 2 volières présentant des amazones de Prètre (Amazona pretrei) et des ama- zones du Tucuman (Amazona tucumana). |
Amazone de Dufresne - mars 2016 |
Amazone à sourcils rouges - mars 2016 |
L’allée débouche alors sur
le bâtiment de
« Planet Penguin ». Nous allons pour notre part rebrousser chemin pour admirer la collection d’amazones et revenir au niveau du complexe des otaries, pour poursuivre la visite sur l’allée centrale. Là, le sen- tier longe le bassin avec vision sous marine, situé au bas de l’installation des fourmiliers et des capy- baras. Ce dernier est peuplé de cichlidés comme des cichlidés jack demsey (Cichlasoma maculicauda), des cichlidés à double ocelle (Cichlasoma bifasciatum) ou encore des pacus noirs (Colossoma macropomum). |
Bassin des fourmiliers - mars 2016 |
Enclos des chimpanzés - mars 2016 |
Le visiteur continue sa découverte
pour longer, sur la gauche, un haut mur fait de faux rochers et percé de quatres points de vision vitrés. Ces hauts murs délimitent un enclos relativement spacieux, com- posé d’un sol en terre, planté de quelques arbu- stes et de bananiers. Des structures d’escalade en bois on été disposées dans l’ensemble de la stru- cture. Enfin, une cascade donne naissance à un fossé en eau bordant les vitres. Ce complexe est le lieu de vie de chimpanzés (Pan troglodytes), groupe composé de 7 individus. Ces chimpanzés ont été confiés au parc par une association de protection animale suite à une saisie douanière. |
Restaurant italien - mars 2016 |
Enclos des chimpanzés - mars 2016 |
Face aux grands singes se
dresse une pizzeria proposant une gastronomie italienne. Plus loin sur cette allée, se dresse le stand de la Fondation du Loro Parque, au niveau duquel des animatrices harponnent les visiteurs pour leur proposer T-shirts, sweets et autres peluches ainsi que les DVD et livres du parc. Le visiteur passe alors devant une autre terrasse de restauration avant d’emprunter un sentier duquel bifurque une autre allée. Ce chemin nous conduit vers le « marché Gambien » que nous retrouverons plus tard. En restant sur l’allée principale, nous al- lons nous dirger vers un ensemble de 2 petites vo- lières au sol en pouzolane, ombragées par les ar- bres alentours et agrémentées de perchoirs en cor- des et en bois. |
Stand de la Fondation Loro Parque - mars 2016 |
Volière des conures - mars 2016 |
La première accueille la
dernière conure des
Andes (Cyanoliseus patagonus andinus) connue en cap- tivité en Europe. Cette sous espèce très rare de la conure de Patagonie se distingue par l’absence de collier blanc et une poitrine totalement brune. La seconde volière héberge pour sa part une autre sous espèce de cette conure, caractérisée par un ventre jaune et rouge et un collier blanc quasi fermé, la grande conure patagonienne (Cyanoliseus patagonus bloxami). Le sentier de visite sillonne alors à travers les grands arbres, pour arriver dans la section consacrée aux cacatoès. |
Conure des Andes - mars 2016 |
Conure de Patagonie à collier - mars 2016 |
La première volière de cette section est relativement grande offrant un volume conséquent aux oiseaux. Elle dispose d’un sol en sable et d’une falaise ro- cheuse reconstituée en son fond. Diverses branches et autres souches y ont également été disposées. Cette volière accueille plusieurs espèces de cacatoès à savoir : cacatoès de Leadbeater (Cacatua leadbeateri), cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapilla), cacatoès sanguins (Cacatua sanguinea) et un martin chasseur géant (Dacelo novaeguineae). |
Allée des cacatoès - mars 2016 |
Volière des cacatoès rosalbins - mars 2016 |
Cette volière mixte est
dépourvue de tout nichoir pour éviter tout croisement éventuel entre les dif- férentes espèces présentées. S’en suit une suc- cession de 4 volières individuelles. Ces dernières sont toutes séparées l’une de l’autre par une haie de feuillus et de bambous.Ces volières sont peu larges (de l’ordre de 1,5 m) mais très longues et hautes (7,5 m de longueur pour 3 mètres de hauteur). Ces dernières disposent comme la grande majorité des volières du Loro Parque, d’un sol en pouzolane, sont traversées par des perchoirs en bois et agré- mentées de branches de pins. |
La première structure individuelle est le lieu de vie de cacatoès de Banks (Cacatua banksi banksi). Des cacatoès funèbres ou cacatoès à rectrices jaunes (Calyptorhynchus fenereus xanthonotus) évoluent dans la seconde installation. La troisième volière est le lieu de vie d’un microglosse (Probosciger aterrimus) enfin, un couple de ca- catoès gangang (Callocephalon fimbriatum) oc- cupe la dernière volière individuelle. La section des cacatoès continue alors avec une seconde vaste volière communautaire. Cette vo- lière est conçue et aménagée selon le même schéma que celle des cacatoès de Leadbeater, bien qu’elle dispose d’un bassin. |
Exemple de volière individuelle pour cacatoès - mars 2016 |
Volière commune pour cacatoès - mars 2016 |
On pourra y observer une cohabitation entre des cacatoès blancs (Cacatua alba), des cacatoès ophtalmiques (Cacatua ophthalmica), des cacatoès des Molluques (Cacatua moluccensis), cacatoès de Ducorps (Cacatua ducorpsii), cacatoès à huppe orange (Cacatua sulphurea citrinocristata) et des cacatoès éléonores (Cacatua galerita eleonora). C’est ainsi que s’achève la découverte de la sec- tion consacrée aux cacatoès, grands becs crochus australiens. |
Cacatoès funèbre - mars 2016 |
Cacatoès gangan - mars 2016 |
La
visite se poursuit alors au travers d’un tunnel, qui nous amène dans une vaste volière de contact "Katandra Treetops" dont le point le plus haut culmine à 27 m de hauteur. L’allée borde les contours de cette volière den- sément végétalisée, qui s’enroule autour d’une cascade et d’un bassin central. Un pont suspendu permet de découvrir les hau- teurs de cette volière consacrée à l’Asie du Sud Est. On pourra ainsi y admirer des cygnes noirs (Cygnus attratus), des faisans dorés (Chrysolophus pictus), des perdrix roulrouls (Rollulus roulroul), ... |
Ambiance dans la volière de contact - mars 2016 |
Ambiance dans la volière de contact - mars 2016 |
..., des gouras victorias (Goura victoria), des ptilopes turgris (Ptilinopus melanospilus), des pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica), des hérons garde bœufs (Bubulcus ibis), des aigrettes à face blanche (Egretta novaehollandiae), des étourneaux de Rotschild (Leucopsar rotschildi), des méliphages à oreil- lons bleus (Entomyzon cyano), des shamas à croupion blanc (Copsychus malabaricus), des perruches de Dammermann (Psittacula alexandri dammermanni), des loriquets des Molluques (Trichoglossus haematodus moluccanus), ... |
..., des loris papous (Charmosyna papou), un lori à ventre violet (Lorius hypounochrous devittatus), des éclectus à bords jaunes de Nouvelle Guinée (Eclectus roratus polychloros), des perruches de Barraband (Polytelis swainsonii), des perruches à capuchon pourpre (Purpureicephalus spurius), des perruches de Pennant (Platycercus elegans), des perruches pailles (Platycercus elegans flaveolus), des perruches à tête pâle (Platycercus adscitus palliceps), des perruches royales (Alisterus scapularis), des perruches callopsittes (Nymphicus hollandicus), ... |
Ambiance dans la volière de contact - mars 2016 |
Ambiance dans la volière de contact - mars 2016 |
..., des cacatoès éléonores (Cacatua galerita eleonora), des cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapilla) et des cacatoès de Leadbeater (Cacatua leadbeateri). Le visiteur traverse alors cette vaste volière pour en ressortir à l’opposé du sas d’entrée et découvrir un autre monde du Loro Parque, la zone des aras. |
Là, sur la gauche de l’allée se dresse une im- posante volière à l’armature métallique au milieu de laquelle tronent 2 grands arbres artificiels. De part et d’autres de la structure, des falaises de faux rochers ont été reconstituées. Cette grande volière est le lieu de vie d’un ara à gorge bleue (Ara glaucogularis), d’aras hya- cynthes (Anodorhynchus hyacinthinus), d’aras de Lear (Anodorhynchus leari), d’aras macaos (Ara macao), d’aras de Buffon (Ara ambigus), |
Volière commune des aras - mars 2016 |
Ambiance dans la section des aras - mars 2016 |
..., d’aras militaires du Mexique (Ara militaris mexicana), d’aras araraunas (Ara ararauna), d’aras chloroptères (Ara chloroptera), d’aras de Coulon (Primolius couloni), d’aras à collier d’or (Primolius auricollis), d’amazones à épaulettes jaunes (Amazona bardadensis), et de grands hoccos (Crax rubra). |
Ara de Lear - mars 2016 |
Ara de Coulon - mars 2016 |
Après avoir longé cette grande volière, le visiteur plonge au cœur d’une forêt tropicale dense. Sur la droite, un petit bassin accueille des poissons rouges à tête de lion (Carassius auratus), laissant ensuite place à la végétation. Sur la gauche, la forêt a été légèrement taillée afin d’y installer une succession de volières rectangulaires de taille moyenne. Ces dernières disposent de bois et de cordes ainsi que d’un nichoir et sont toutes con- sacrées aux aras. |
Bassin des poissons rouges - mars 2016 |
Volière individuelle pour aras - mars 2016 |
Ainsi, dans l’ordre
de visite et à raison d’une espèce par structure, on pourra y admirer des aras verts (Ara severa), des aras araraunas (Ara ararauna), des aras de Buffon (Ara ambigua), des aras macaos (Ara macao), des aras à collier d’or (Primolius auricollis), des aras d’Illiger (Primolius maracana), des aras de Lafresnaye (Ara rubrogenys) puis des aras de Coulon (Primolius couloni). C’est ainsi que se termine la collection relativement complète de ces grands perroquets. L’incursion dans la jungle se poursuit pour pénétrer dans un espace fortement végéalisé, planté de grands arbres aux racines prohéminantes. Au bout de cette allée le sentier forme une grande boucle en épingle à nourrice. |
Sur la droite, se trouve l’espace consacré aux touis, petits psittacidés sud américains. Là encore, une suc- cession de petites volières de 1 m de largeur pour 3 mètres de longueur. Des nichoirs ont été installés à l’arrière de ces structures métalliques qui bénéficient d'un sol recouvert de pouzolane et agrémenté de branches de pins et de perchoirs en bois. La première volière dénote de la succession qui suit puisqu’elle est légèrement plus volumineuse. Elle hé- berge un toui à front d'or (Brotogeris sanctithomae sanctithomae). |
Volière des touis à front d'or - mars 2016 |
Allée des volières des touis - mars 2016 |
Les volières qui suivent sont telles que celles décrites précédemment. Des touis à ailes variées (Brotogeris versicolorus versicolorus) y évoluent. Leurs voisins appartiennent à la sous espèce des touis à ailes jaunes (Brotogeris versicolorus chiriri). La quatrième volière est pour sa part consacrée à des touis à ailes d’or ou touis paras (Brotogeris chrysopterus). La visite continue alors et dans le prolongement de ces installations, on peut découvrir une autre volière de petite taille, consacrée aux touis de Gustave (Brotogeris cyanoptera gustavi). |
Un passage de service marque une pause dans la présentation des touis qui reprend ensuite avec encore 4 volières dont la première est le lieu de vie de touis à ailes bleues ou touis de Deville (Brotogeris cyanoptera cyanoptera). Mitoyen à ces oiseaux, on peut admirer des touis flamboyants (Brotogeris pyrrhopterus), dont le dessous des ailes arbore une superbe couleur orangée. Les deux dernières volières de cette allée hébergent respectivement des touis verts (Brotogeris tirica) puis des touis à bandeau jaune (Bolborhynchus aurifrons rubrirostris). |
Exemple de volière pour touis - mars 2016 |
Allée avec le nid des aras - mars 2016 |
C’est ainsi que se termine la section consacrée à ces petits psittacidés. Le visiteur traverse alors une forêt et longe l’enceinte du parc percée d’une vitre offrant une vue panora- mique sur l’océan tout proche. Le sentier forme une boucle et un pont surmonte l’allée des aras pour nous conduire vers une zone plus dégagée. Au niveau du pont, on pourra ob- server, installé dans les racines apparantes des ar- bres, un tronc creux, où ont longtemps été présen- tés, en liberté, des aras araraunas (Ara ararauna). |
Toui à ailes jaunes - mars 2016 |
Toui à front d'or - mars 2016 |
Toui flamboyant - mars 2016 |
Touis à ailes variées - mars 2016 |
Arrivé dans la zone dégagée on observe, sur la gauche, un terre plein présentant une collection de cactées. Face à ces arbres des pays chauds, deux petites volières ont été érigées. Ces dernières comparables aux volières des touis accueillent deux espèces de petites conures : la conure à front rose (Pyrrhura rhodocephala) et la conure de Hoffmann (Pyrrhura hoffmanni). Le visiteur continue alors son ascenssion et découvre, dans un virage, un ensemble de 3 volières de 2 m de long sur 1 m de large, agrémentées de perchoirs en bois et de branches de pins. Ces dernières qui abritaient auparavant des perruches des montagnes (Bolborhynchus aurifrons), espèce qui a quitté la collection, font aujourd'hui l'objet d’une rénovation. |
Volière des conures de Hoffmann - mars 2016 |
Allée des petites conures - mars 2016 |
Au bout du chemin, le visiteur arrive au niveau d’un carrefour offrant 3 possibilités. Sur la droite, parallèle à l’allée sur laquelle nous sommes, nous pouvons nous diriger vers une autre section de psittacidés. Sur la gauche, le chemin nous amène vers une cas- cade. Nous allons pour notre part poursuivre face à nous afin de longer un restaurant « Patio del Loro », offrant d’excellentes entrecotes d’Argentine. |
Bordant la terrasse du restaurant, se dresse le bâ- timent « Planet Live », offrant une scéance de cinéma 3D sur le thème de la préservation des psit- tacidés, avec en ambassadeur, « Blue » le ara du dessin animé « Rio ». Petite anecodte, bordant la terrasse du patio, un haut palmier, soutient, au niveau de sa cime, un nid érigé par un couple de conures veuves (Myiopsitta monachus) revenues à l’état sauvage. |
Conures veuves - mars 2016 |
Nid des conures veuves - mars 2016 |
Face au cinéma, se dresse une vaste volière commu- nautaire, typique des dernières structures du Loro Parque. Cette dernière est consacrée à l’Amérique du Sud et plus spécifiquement au Brésil. |
Elle se compose d’un ensemble de 3 structures cir- culaires n’offrant qu’un seul et important volume. Chaque pieu soutenant la structure métallique a été décoré d’écorces. Le sol de la volière est enherbé, un ruisseau traverse l’ensemble de l’installation pour se jeter dans un petit bassin. Enfin des buissons, bambous et autres troncs morts complètent les aménagements. |
Volière sud américaine - mars 2016 |
Conure à poitrine grise - mars 2016 |
Cet espace est le lieu d’une cohabitation entre des ibis rouges (Eudocimus ruber), des conures cou- ronnées (Eupsittula aurea aurea), des amazones à front jaune (Amazona ochrocephala xantholaema), des amazones aourous (Amazona amazonica amazonica), des amazones à face jaune (Alipiopsitta xanthops), des conures à ventre rouge (Pyrrhura perlata), des conures perlées (Pyrrhura lepida), des conures à poitrine grise (Pyrrhura griseipectus) et des caiques à ventre blanc et cuisses jaunes (Pionites xanthomeria). |
Au niveau de cette grande volière nous allons continuer sur le sentier principal de sorte à longer cette grande volière des amazones et des conures, pour bifurquer sur la droite en direction d’une seconde volière dont la conception est identique à la précédente. C’est ainsi que cette dernière s’organise autour d’un sapin mort, est traversée par un ruisseau et semée d’herbe. |
Seconde volière sud américaine - mars 2016 |
Amazone à front blanc - mars 2016 |
L’Amérique centrale y est à l’honneur et est représentée par des amazones à front blanc (Amazona albifrons albifrons), des amazones de Finsch (Amazona finschi finschi), des amazones à joues vertes (Amazona viridigenalis) et des conures à front jaune (Eupsittula canicularis canicularis). |
Le sentier de visite s’enroule alors autour de cette structure, pour gagner une allée située à proximité de la maison du Directeur du parc. Sur la droite de ce sentier, on pourra observer une succession de petites volières dépourvues de végé- tation, installées à l’ombre de grands arbres. Un couple de conures à poitrine bleue ou conures tiribas (Pyrrhura cruentata) s’ébat dans la première installation de cette rangée. |
Allée des conures - mars 2016 |
Exemple de volière pour conures - mars 2016 |
La seconde structure présente des conures aymaras (Bolborhynchus aymara). Dans l’ordre de visite on pourra ensuite admirer des touis de Spix à ailes bleues (Forpus xanthopterygius flavissimus), des touis étés (Forpus passerinus deliciosus), des touis célestes (Forpus coelestis) et des touis de Spengel (Forpus xanthopterygius spengeli). |
L’allée compte encore 3 volières qui accueillent des espèces plus imposantes à savoir la conure aztèque (Aratinga nana astec), la conure des cactus (Aratinga cactorum) et la conure cuivrée de Saint Thomas (Aratinga pertinax pertinax). Le sentier débouche alors sur une autre instersection. Nous allons poursuivre notre visite tout droit de sorte à continuer la découverte de la collection de conures et plus spécifiquement du genre Aratinga. |
Exemple de volière pour conures - mars 2016 |
Volière des conures à tête d'or - mars 2016 |
Sur la gauche de ce chemin, s’étend une succession de 7 volières de 1 m de large pour 3 mètres de longueur. Chacune d’entre elle dispose de perchoirs en bois. Les espaces laissés entre les volières ont été comblés de bambous et autres feuillus. Dans l’ordre de découverte on pourra admirer des conures de Wagler (Aratinga wagleri minor), des conures jandaya (Aratinga jandaya), des conures à front rouge (Aratinga canicularis canicularis), des conures demi lune (Aratinga canicularis eburnirostrum), des conures couronnées (Aratinga aurea), des conures à tête d'or (Aratinga auricapilla auricapilla) puis des conures vertes (Aratinga holochlora holochlora). |
Conure cuivrée - mars 2016 |
Conure des cactus - mars 2016 |
Toui de Spix - mars 2016 |
Conure à tête d'or - mars 2016 |
Le visiteur
arrive alors sur une grande place sur la gauche de laquelle une terrasse permet de déguster quelques snacks. Sur la droite en revanche se dresse un grand bâtiment rappelant le style musul- man. Ce dernier est devancé par une fontaine géométrique entourée de psittacidés en faience. La visite se pour- suit alors sur la droite de sorte à longer ce bâtiment dans lequel a lieu le spectacle de perroquets « Loro Show ». Nous allons alors nous diriger sur la droite de cet amphithéatre afin de découvrir quelques volières hé- bergeant les oiseaux du spectacle comme les aras à gorge bleue (Ara glaucogularis). |
Bâtiment du Loro Show - mars 2016 |
Minaret du marché Gambien - mars 2016 |
Face à l’entrée du spectacle des oiseaux, une arche nous conduit vers le marché gambien, créé en 1990. Ce dernier abrite plusieurs boutiques organisées autour d’une fontaine centrale et d’un haut minaret. Nous allons contourner le Loro Show pour franchir un tunnel sous lequel a été installé le vivarium du parc. Il se compose de 4 terrariums à ciel ouvert. Le premier, situé sur la gauche du couloir de visite, est composé d’un sol rocheux creusé d’un bassin et est consacré à des scinques à langue bleue (Tiliqua scincoides). |
Volière du spectacle - mars 2016 |
Ambiance dans le marché gambien - mars 2016 |
Les 3 autres vivariums sont alignés sur la droite, délimités par des vitres. Ils sont formés de faux ro- chers, de sable et de quelques plantes grasses. Le premier est le lieu de vie de tortues à éperons (Geochelone sulcata), le second accueille des varans des steppes (Varanus exanthematicus) tandis que le dernier voit cohabiter des fouettes queue du Mali (Uromastyx dispar maliensis), des gerrhosaures à plaques (Gerrhosaurus major) et des tortues à épe- rons (Geochelone sulcata). |
Terrarium des scinques - mars 2016 |
Vivarium du parc - mars 2016 |
Le visiteur ressort alors du vivarium pour se retouver sur le sentier bordant l’arrière du bâtiment du spectacle des perroquets. Là en- core, plusieurs volières individuelles permet- tent de découvrir les espèces présentées lors du show à savoir des aras hyacinthes (Anodorhynchus hyacinthinus), des aras araraunas (Ara ararauna) ou encore des aras militaires (Ara militaris). |
Le
visiteur revient alors sur la place de restauration et se trouve devant 3 bifurcations. Nous allons alors emprunter celle située le plus à droite. A ce niveau, nous allons emprunter le sentier le plus à droite pour gravir une colline au sommet de laquelle un enclos de petite taille, composé d’un bassin et d’une plage en sable, doublé d’une loge intérieure vitrée, est le lieu de vie d’une famille de loutres naines (Aonyx cinerea). Face aux mustélidés, deux volières sont agré- mentées de buissons conifères et de cordes. La première héberge des perruches à collier afri- caines (Psittacula krameri krameri), la secon- de présente pour sa part des psittacules de Desmarest (Psittaculirostris desmarestii). |
Enclos des loutres naines - mars 2016 |
Enclos des tortues géantes - mars 2016 |
La
volière qui suit accueille des perroquets des figuiers ou psittacules d’Edwards (Psittaculirostris edwardsii). L’allée de visite avance et borde, sur la gauche, un enclos en terre, planté de palmiers et agrémenté de quel- ques rochers et d’un bassin peu profond. Cette installation est occupée par des tortues géantes des Galapagos (Geochelone nigra). Sur la droite, l’allée est bordée d’une succession de volières formant le complexe des « Psittacula ». Afin d’éviter une énumération redondante, nous allons simplement citer les espèces présentées le long de cette allée en forme de « L ». |
Chaque volière accueille une espèce dans un es- pace de l’ordre de 8 m² au sol, agrémenté de quelques perchoirs en bois, de pousses de bam- bous et de pouzolane. On pourra ainsi y voir : perruche de Dammermann (Psittacula alexandri dammermanni), perruche à moustaches (Psittacula alexandri alexandri), perruche à poitrine rose (Psittacula alexandri abbotti), perruche de Derby (Psittacula derbiana), perruche grand Alexandre du Siam (Psittacula eupatria siamensis), perruche grand Alexandre (Psittacula eupatria eupatria), ... |
Allée des volières pour psittacula - mars 2016 |
Exemple de volière pour psittacula - mars 2016 |
..., perruche à collier d’Inde (Psittacula krameri manillensis), perruche à tête noire (Psittacula himalayana himalayana), perruche à tête ar- doise (Psittacula himalayana finschi), per- ruche de Malabar (Psittacula columboides), une femelle perruche de Layard (Psittacula calthorpae), perruche à tête prune (Psittacula cyanocephala) puis perruche à tête rose (Psittacula roseata). |
Perruche alexandre - mars 2016 |
Psittacule d’Edwards - mars 2016 |
Perruche de Malabar - mars 2016 |
Perruche à tête prune - mars 2016 |
L’allée forme alors un
« U » et nous longeons, sur la droite, un grand enclos situé en contrebas du sentier de visite. Cet enclos se compose d’un bas- sin à l’eau claire et d’une plage en terre et en her- be plantée de quelques arbres mi-hauts. Des rochers et des troncs couchés offrent d’autres agrès au couple de tigres blancs (Panthera tigris) présenté ici. Face aux tigres, une autre série de volières a été construite. Comme pour l’ensemble des volières du Loro Parque, ces dernières disposent d’un sol en pouzolane, sont agrémentées de perchoirs en bois et de cordes, une haie de feuillus sépare chaque structure. |
Enclos des tigres - mars 2016 |
Allée des perruches - mars 2016 |
Cette série se compose
de volières d’1 mètre
de large pour 6 mètres de longueur. La première volière est le lieu de vie de perruches royales à ailes vertes (Alisterus chloropterus moszkowski), la seconde volière héberge des perruches royales de Buru (Alisterus chloropterus buruensis). Des perruches tricolores (Alisterus amboinensis dorsalis) évoluent dans la troisième installation et ont pour voisine une rare perruche de Pompadour (Prosopeia tabuensis). La structure qui suit accueille de rares perruches d’Ouvéa (Eunymphicus uvaeensis), puis on pou- rra admirer deux femelles perruches de Müller (Tanygnathus sumatranus sumatranus). |
Cette série compte encore deux volières con- sacrées respectivement à des perruches à bec de sang (Tanygnathus megalorhynchos) et des per- ruches cornues (Eunymphicus cornutus cornutus). C’est ainsi que se termine l’allée des perruches dont la plupart sont originaires d’Asie. Au bout de cette allée, une porte s’ouvre sur un vaste bassin de plus de 7 millions de litres d’eau de mer, inauguré en 1987. Ce dernier est entouré de gradins et est occupé par un groupe de grands dauphins (Tursiops truncatus). |
Bassin des dauphins - mars 2016 |
Exemple de volières pour grandes perruches - mars 2016 |
Plusieurs spectacles quotidiens sont proposés aux visiteurs. A noter qu’en coulisses, ces cétacés dis- posent de 4 bassins complémentaires. L’eau de leurs bassins, comme pour l’ensemble des bassins des mam- mifères marins, est pompée directement au large des côtes. Nous allons revenir devant l’entrée du spectacle des dauphins, pour bifurquer sur la droite et remonter une pente qui traverse une caverne. Le mur de droite, percé de quelques fenêtres permet d’observer l’en- clos des tigres blancs (Panthera tigris). |
Perruche de Pompadour - mars 2016 |
Perruche à bec de sang - mars 2016 |
Au sommet de cette côte, sur la droite, accolée à une falaise reconstituée, se dresse une vaste volière au sol en sable, agrémentée de cactées, de rochers et de quelques arbres morts. Cette dernière met en scène les montagnes patagoniennes. Cette volière présente ainsi une cohabitation entre des iguanes rhinocéros (Cyclura cornuta) et des perruches de Patagonie (Cyanoliseus patagonus patagonus). Mitoyen aux perruches se trouve une boutique et au centre de la place devançant la volière se dresse une statue représentant une orque. |
Volière des perruches de Patagonie - mars 2016 |
Bassin des orques - mars 2016 |
La suite de la visite, nous amène alors sur la gauche de cette place pour découvrir « Orca Ocean », le complexe dédié aux grands mammifères marins que sont les orques (Orcinus orca). Le bassin principal de 120 m de long pour 12 m de profondeur a été construit en 2006. Entouré de gra- dins, un spectacle y est proposé plusieurs fois par jour. Nous allons alors traverser l’aire de spectacle, pour ressortir à l’opposé de cette dernière et amorcer une descente vers un bâtiment inauguré récemment : « Aqua Viva ». |
Une fois entré dans ce
bâtiment, le
visiteur est plongé dans le noir et découvre un grand aquarium ouvert sur le dessus. Le fond tapissé de sable blanc représente une lagune avec ses palétuviers. Ce bac est le lieu de présentation de requins à pointes noires (Carcharhinus melanopterus), de requins corails (Triaenodon obesus), de requins zèbres (Stegostoma fasciatum), de raies pastenagues (Dasyatis pastinaca), de chirurgiens jaunes (Zebrasoma flavescens), de barbiers oranges (Pseudanthias squamipinnis), de monodactyles argentés (Monodactylus argenteus), de chelmons à long nez (Chelmon rostratus) et de poissons chauves souris (Platax pinnatus). |
Aquarium des requins - mars 2016 |
Aquarium typique pour méduses - mars 2016 |
Face aux deux vitres de cet aquarium se dresse une colonne en eau à la lumière bleue foncée. Une colo- nie de méduses communes (Aurelia labiata) évolue ici. Plus loin, une autre colone héberge des pélagies de l’Atlantique (Pelagia noctiluca). La visite nous conduit alors vers une seconde salle au centre de laquelle se dressent 3 autres colones aux couleurs différentes. Deux d’entre elles sont garnies de lampes rouges puis vertes mettant en avant la tran- sparence des méduses communes (Aurelia labiata), la dernière colone étant consacée à des méduses ta- chetées d'Asutralie (Phyllorhiza punctata). |
Enfin, sur un pan de mur, un autre aquarium est oc- cupé par des méduses constellées (Cassiopea forskalea). Avant de quitter ce bâtiment, le visiteur traverse dans un sas où l'on peut observer le laboratoire d’élevage des cnidaires. |
Laboratoire des méduses - mars 2016 |
De retour à l’air libre,
le sentier passe entre
deux vastes volières. Celle de gauche qui est également la plus volumineuse, s’organise autour d’une falaise de faux rochers, desquels jaillit une cascade qui finit sa course dans un bassin. Cette installation est le lieu de vie d’un groupe de kéas (Nestor notabilis). Face aux kéas, se dresse une autre volière relati- vement longue mais de largeur moyenne. Celle-ci est plantée de nombreux arbres et autres bananiers et traversée par des cordes. Des écléctus des îles Salomon (Eclectus roratus solomonensis) y évoluent. |
Volière des kéas - mars 2016 |
Volière des éclectus - mars 2016 |
L’allée débouche alors sur une place jouxtée par une vaste volière comparable à celle des eclectus des îles Salomon. La végétation y est cependant moins dense mais les cordes et les perchoirs en bois sont omni- présents. Cette structure est occupée par de nom- breux couples de grands eclectus communs (Eclectus roratus roratus). Nous nous retrouvons alors au dessus d’une vaste aire de jeux pour enfants, disposant outre d’agrès en hau- teur, d’un grand huit. |
L’allée descend alors le long de cette aire de jeux, pour nous conduire au niveau de la place devançant le « Loro Show ». Là, nous allons bifurquer sur la droite de sorte à emprunter un sentier parallèle au précédent. Là, l’allée longe un vaste enclos en herbe, entouré de vitres. Ce dernier est planté de nombreux bambous, de ficus et de troncs artificiels. Un profond bassin complète les décors de ce qui constitue l’installation des petits pandas (Ailurus fulgens). Le bassin est pour sa part peuplé de carpes koïs (Cyprinus carpio). |
Enclos des petits pandas - mars 2016 |
Grand éclectus - mars 2016 |
Kéa des îles Salomon - mars 2016 |
Face aux carnivores,
on pourra admirer une succession de 6 volières de 1 m x 1m x 2 m, séparées l’une de l’autre par des massifs arbustifs. Chaque volière est agrémentée de cordes et de branches, mettant en avant le genre « Agapornis » et marquant l’entrée dans la se- ction africaine du parc. Dans l’ordre de visite on pourra ainsi observer des insé- parables à joues noires (Agapornis nigrigenis), puis des inséparables de Lilian (Agapornis lilianae). La troisième volière héberge des inséparables de Fischer (Agapornis fischeri) tandis que des inséparables d'Abyssinie (Agapornis taranta) évoluent au sein de la structure qui suit. |
Allée des inséparables - mars 2016 |
Exemple de volière pour inséparables - mars 2016 |
La collection d’Agapornis est complétée par des insé- parables à masque noir (Agapornis personatus) et des inséparables à face rose (Agapronis roseicollis roseicollis). C’est ainsi que s’achève la collection de ces petits psit- tacidés africains. A noter que seules 2 espèces ne sont pas présentées au public, l’inséparable à tête grise (Agapornis cana) – maintenu en coulisses – et l’insé- parable à tête rouge (Agapornis pullarius), qui n’est plus présent au Loro Parque. |
La visite continue avec toujours l’enclos des petits pandas sur la gauche. Sur la droite, une ouverture dans la végétation permet de gagner l'aire de jeux et de rejoindre la volière des kéas. En restant sur le sentier principal, nous gagnons un petit morceau de forêt, couvert sous lequel ont été construites plusieurs volières situées sur la gauche de l’allée. La première volière dépourvue de végétation est consacrée à des perroquets grands vasas (Coracopsis vasa drouhardi). Des petits vasas ou perroquets noirs (Coracopsis nigra nigra) sont présentés dans la seconde volière. |
Volière des vasas - mars 2016 |
Allée des volières africaines - mars 2016 |
Les deux installations
suivantes hébergent pour leur part les 2 sous espèces de perroquets gris à savoir des gris du Timneh (Psittacus erithacus timneh) puis des perroquets gris du Gabon (Psittacus erithacus erithacus). Le sentier débouche alors dans une clairière sur la droite de laquelle de hauts murs en faux rochers, percés de points de vision vitrés permettent d’ad- mirer un enclos relativement bien végétalisé, doublé d’un bassin avec vision sous marine et recréant un canyon tropical. Des jaguars (Panthera onca) sont présentés à ce niveau. |
Enclos des jaguars - mars 2016 |
Enclos des jaguars - mars 2016 |
Perroquet de Meyer - mars 2016 |
Inséparable d'Abyssinie - mars 2016 |
Plusieurs cichlidés nagent par ailleurs dans les bas- sins de cet enclos. Face aux carnivores, la collection de psittacidés africains se poursuit avec une première volière agrémentée de branches de pins et de per- choirs en bois, volière qui accueille des perroquets à tête brune (Poicephalus cryptoxanthus). Mitoyen à ces oiseaux on découvre des perroquets de Meyer (Poicephalus meyeri). Deux autres volières complètent cette rangée rectiligne et sont oc- cupées respectivement par des perroquets à ventre rouge (Poicephalus rufiventris) et des youyous du Sénégal (Poicephalus senegalus). |
Volière des perroquets youyous - mars 2016 |
Aquarium des poissons spatules - mars 2016 |
L’allée forme
alors une boucle, sur la droite de la- quelle on peut admirer deux anciens vivariums à ciel ouvert, composés de bassins en aqua vision s’ou- vrant sur des plages en sable plantées de bananiers et autres palmiers. Auparavant ces enclos étaient occupés par des al- ligatores qui ont été transférés dans une autre section du zoo pour laisser leur place à des poissons spatules (Atractosteus spatula) pour le premier bassin et à des esturgeons de Sibérie (Acipenser ruthenus) pour le second. |
Face aux poissons, intégrées dans le virage de la boucle on peut encore observer 3 volières terminant les psittacidés africains. Ces dernières sont consacrées à des perroquets de Rueppel (Poicephalus rueppellii), des perroquets Jardines (Poicephalus gulielmi gulielmi) et des perroquets robustes (Poicephalus robustus fuscicollis). Après un autre virage, le visiteur quitte les présen- tations africaines pour traverser un tunnel translucide abritant l’Orchidarium où plusieurs variétés d’or- chidés sont visibles. |
Orchidarium - mars 2016 |
Volière des conures - mars 2016 |
A la
sortie du tunnel se dresse
une longue et haute volière communautaire. Cette dernière a été érigée en lieu et place d’une succession de volières con- sacrées aux conures, réduisant ainsi la collection de ces dernières. Cette volière dispose d’un sol en sable, est agrémentée de quelques arbustes, de troncs morts, de souches, de cordes et de branches. Des guaroubas (Guaruba guarouba) y évoluent aux cotés de conures à tête bleue (Psittacara acuticaudatus acuticaudatus), de conures de Weddell (Aratinga weddellii), de conures à front d’or (Aratinga auricapilla auricapilla), de co- nures soleil (Aratinga solstitialis) et d’une conure de Finsch (Aratinga finschi). |
Perroquet à tête brune - mars 2016 |
Conure de Weddell - mars 2016 |
A l'extrémité de la grande volière des conures, nous pouvons soit continuer tout droit en dire- ction de l’allée des conures des cactus (Aratinga cactorum) et des conures de Wagler (Aratinga wagleri minor), soit bifurquer sur la droite, de sorte à emprunter une allée longeant une vaste prairie creusée d’un bassin peu profond. Cet espace relativement vert est le lieu de vie d’une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) et de flamants nains (Phoenicopterus minor). |
Prairie des flamants - mars 2016 |
Emplacement de la future volière - mars 2016 |
Le sentier borde cette prairie pour retrouver le cinéma 3D et la volière des conures perlées où nous tournons sur la droite, pour contourner la lagune des flamants que nous laissons de coté. Nous empruntons alors un sentier qui traverse une zone à l’aspect des régions sèches, avec une végé- tation aux piquants acérés et où poussent de nom- breux dragonniers, un arbre typique des Canaries. |
Là, un premier espace en travaux verra très cer- tainement l’édification d’une nouvelle volière con- sacrée à l’Amérique du Sud et probablement aux côtes andines. En continuant sur ce sentier, nous pouvons découvrir deux enclos au sol en sable, garnis de branches mortes et de rochers. Celui de droite dispose en plus d’un bassin et de quelques arbustes et présente des tortues à épe- rons (Geochelone sulcata). |
Enclos des tortues à éperons - mars 2016 |
Enclos des suricates - mars 2016 |
Sur la gauche en revanche, l’enclos héberge une colonie de suricates (Suricatta suricatta). Suite à ces deux enclos des régions sèches, le visiteur découvre un ensemble de 9 volières ali- gnées, faisant face aux suricates, formant le complexe des piones. |
Toutes ces volières sont conçues suivant le même plan à savoir un sol en pouzzolane, des perchoirs et un nichoir en bois. La pre- mière volière qui est également la plus om- bragée est consacrée à une femelle caïque mitrée (Pionopsitta pileata). Un couple de piones noires (Pionus chalcopterus) occupe la seconde volière. La troisième installation est le lieu de vie de piones à couronne blanche (Pionus senilis). Les deux volières qui suivent ac- cueillent respectivement des piones à tête bleue (Pionus menstruus menstruus) puis des piones givrées (Pionus seniloides). |
Volière du caïque - mars 2016 |
Volière typique pour piones - mars 2016 |
Deux autres espèces de piones à savoir des piones sordides à bec rouge (Pionus sordidus corallinus) et des piones de Maximilien (Pionus maximilliani) évoluent dans les volières suivantes. Cette allée héberge encore des piones violettes (Pionus fuscus) et des perruches catherines (Bolborhynchus lineola). L’allée qui a formé une boucle se trouve alors sous le cinéma 3 D, avant de passer devant une grande cascade, pour revenir au niveau du carrefour. Sur la droite, nous rejoignons les conures et les touis, sur la gauche nous pouvons à nouveau longer le Patio del Loro. |
Pione violette - mars 2016 |
Pione à tête blanche - mars 2016 |
Pione de Maximillien - mars 2016 |
Pione à couronne blanche - mars 2016 |
Nous allons pour notre part poursuivre la visite face à nous pour découvrir une autre section du Loro Parque, consacrée aux perruches australiennes. Cette zone est installée au cœur d’une forêt de bam- bous et l’allée forme un « U ». Les oiseaux sont présentés dans de petites volières individuelles séparées les unes des autres par une haie d’arbustes. La dimension des volières est relativement moyenne de l’ordre de 4 m (L) x 1 m (l) x 2 m (h), espace le plus adapté pour la reproduction de ces becs cro- chus. Des balançoires et autres perchoirs en bois complètent les agrès. |
Allée des perruches australiennes - mars 2016 |
Exemple de volière pour perruches australiennes - mars 2016 |
Afin d’éviter une répétition fastidieuse des présentations, nous allons simplement énumérer les noms des espèces visibles dans ces volières. C’est ainsi qu’en débutant sur la gauche, on pourra ob- server les espèces suivantes : perruche multicolore (Psephotus varius) ; perruche à bouche d'or (Neophema chrysostoma) ; perruche turquoisine (Neophema pulchella) ; perruche de Bourke (Neopsephotus bourkii) ; perruche à front jaune (Cyanoramphus auriceps) ; ... |
Perruche multicolore - mars 2016 |
Perruche à bouche d'or - mars 2016 |
..., perruche de Sparrman (Cyanoramphus novaezelandiae) ; perruche callopsite (Nymphicus hollandicus) ; perruche flavéole (Platycercus elegans flaveolus) ; perruche à croupion rouge (Psephotus haematonotus) ; perruche à capuchon noir (Psephotus dissimilis) puis, avant le virage per- ruche à ailes d'or (Psephotellus chrysopterygius). Sur la droite de cette allée, au sein de volières légèrement surélevées par rapport au sentier de visite on pourra admirer : perruche erythroptère (Aprosmictus erythropterus coccineopterus) ; perruche d'Alexandre (Polytelis alexandrae) ; ... |
Volière pour perruches australiennes - mars 2016 |
Perruche de Barnard - mars 2016 |
..., perruche à collier jaune (Barnardius zonarius zonarius) ; perruche de Barnard à front rouge (Barnardius barnardi barnardi) ; perruche de Barnard à gorge bleue (Barnardius barnardi macgillivrayi) ; perruche à tête pourpre (Purpureicephalus spurius) puis perruche à collier jaune (Barnardius zonarius semitorquatus). |
Nous arrivons alors dans le creux du « U ». Sur la droite, un passage permet de revenir devant la grande volière des aras. Nous allons continuer sur le sentier principal, à gauche duquel ont été construites 3 volières accueillant respectivement des perruches d’Adélaide (Platycercus adelaidae) puis des perruches à bonnet bleu (Northiella haematogaster haemotorrhous) pour finir par des perruches à bonnet bleu no- minales (Northiella haematogaster haematogaster). Dans le second virage, la volière d’angle héberge des perruches ondulées (Melopsittacus undulatus). |
Volière pour grande perruche - mars 2016 |
Allée des volières des perruches - mars 2016 |
Nous arrivons alors dans la dernière branche du « U » et la dernière serie des volières consacrées aux perruches australiennes. Sur la droite de cette allée ombragée par de hauts arbres, on aperçoit au travers de la végétation, la grande volière du sud asiatique que nous avions parcouru plus haut dans la visite. Sur la gauche, les volières typiques du Loro Parque se succèdent. |
On verra ainsi plusieurs installations d’un mètre de largeur pour 6 mètres de profondeur, chacune dis- posant d’un sol en sable, de quelques perchoirs en bois, de branches de pins et d’un nichoir. Dans l’ordre de visite on pourra y admirer des perruches gracieuses (Platycercus venustus), puis des per- ruches omnicolores (Platycercus eximius). Des perruches de Pennant (Platycercus elegans elegans), des perruches pailles (Platycercus elegans flaveolus), des perruches à tête pâle (Platycercus adscitus palliceps), des perruches jonquilles (Aprosmictus jonquillaceus) puis des perruches royales (Alisterus scapularis) com- plètent cette collection. |
Perruche omnicolore - mars 2016 |
Perruche à tête pâle - mars 2016 |
Perruche gracieuse - mars 2016 |
Perruche à bonnet bleu commune - mars 2016 |
Perruche à bonnet bleu - mars 2016 |
Une pause est alors marquée dans la présen- tation aviaire et le visiteur évolue sur une courte distance, au milieu de la végétation tro- picale. Plus loin, sur la gauche de l’allée, ados- sée à un mur tapissé de faux rochers, se dresse une volière tropicale, au sol recouvert d’écorces, à la végétation de palmiers touffus et agrémentée de cordes et de branches mortes, qui accueille un couple de perroquets de Pesquet (Psittrichas fulgidus). |
Volière des perroquets de Pesquet - mars 2016 |
Allée des loris - mars 2016 |
Cette volière marque l’entrée dans la section con- sacrée aux psittacidés nectarivores, les loris et autres loriquets. Cette section se compose d’une succession de 7 volières alignées, épousant une forme de vague en façade. Chaque volière semble être peuplée de loris regroupés par «type de coloration » ou plus scientifiquement par genre. Toutes ces volières disposent d’un sol en sable, sont tendues de cordes et de branches et plantées de conifères, palmiers et autres plantes grasses. |
La première d’entre elle est consacrée aux loris à dominante noire du genre Chalcopsitta à savoir : lori noir (Chalcopsitta atra atra), lori de Duiven- bode (Chalcopsitta duivenbodei) et lori flam- meché (Chalcopsitta sintillata). En face de ces oiseaux, une volière à l’architecture originale, ressemblant à un tipi, garnie de plantes grasses et de rochers, accueille une autre sous es- pèce d’eclectus, l’eclectus d’Aru (Eclectus roratus aruensis), qui se reconnait notamment au tour de l’œil bleu chez la femelle. |
Volière des éclectus - mars 2016 |
Volière des loris noirs - mars 2016 |
De retour sur la gauche, nous
pouvons observer la volière destinée au genre Lorius ou loris à dominante rouge. Au cœur de cette structure cohabitent des loris à ventre violet (Lorius hypoinochrous devittatus), des loris des dames (Lorius domicella), des loris noirats (Lorius garrulus flavopalliatus) et des loris à collier jaune (Lorius chlorocercus). Les loris bleus et rouges du genre Eos sont à l’hon- neur dans la volière qui suit et sont représentés par des loris réticulés (Eos reticulata), des loris écarlates (Eos bornea bornea) et des loris arlequins (Eos histrio talautensis). |
Le genre Charmosyna est mis en
avant
dans le qua- trième complexe de cette installation. On pourra y voir des loris coquets (Charmosyna placentis placentis), des loris papous (Chalcopsitta papou goliathina) et des loris de Josephine (Charmosyna josefinae). La volière qui suit est consacrée aux loriquets à dominante verte du genre Trichoglossus, avec les espèces suivantes : loriquet orné (Trichoglossus ornatus) ; loriquet de Johnstone (Trichoglossus johnstone johnstone), loriquet à tête jaune ou loriquet eutèles (Trichoglossus euteles), loriquet vert (Trichoglossus chlorolepidotus) et un intrus, le loriquet de Goldie (Psitteuteles goldiei). |
Volière des loris "Eos" - mars 2016 |
Lori noir - mars 2016 |
La sixième installation met en avant les loriquets arc en ciel, du genre Trichoglossus. Différentes sous espèces cohabitent ainsi parmi lesquelles les loriquets arc en ciel à bande large ou loriquet à bande bleue (Trichoglossus haematodus haematodus), les loriquets des Molluques (Trichoglossus haematodus moluccanus), les loriquets arc en ciel à collier rouge (Trichoglossus haematodus rubritorquis), les loris arc en ciel de Nouvelle Calédonie (Tricholgossus haematodus deplanchii), les loriquets harnachés (Trichoglossus capistratus), ... |
... les loriquets arc en ciel
des cocotiers (Trichoglossus haematodus caeruleiceps) ou en- core les loriquets de Forsten (Trichoglossus forsteni forsteni). Enfin, la dernière volière de cette allée est bien plus plantée que les précédentes, recréant un écrin de verdure au sein duquel s’ébattent des loris des Fidjis (Phigys solitarius), des coryllis à tête bleue (Loriculus galgulus), des loris à bandeau rouge (Glossopsitta concinna), des perruches de Latham (Lathamus discolor) et des loris fringilaires (Vini australis). C’est avec cette volière que se termine la section des loris. |
Lori orné - mars 2016 |
Loriquet eutèle - mars 2016 |
Lori des Fidji - mars 2016 |
Le visiteur passe alors sous un pont, ouvrage reliant l’allée des perruches des Andes à celles des cacatoès, pour se retrouver au niveau d’un carrefour bordé par un snack. En empruntant le sentier de droite, nous reve- nons au niveau de la section des cacatoès. Nous allons alors bifurquer sur la gauche, pour dé- couvrir aux travers de vitres, la cuisine du parc ainsi que la diversité des fruits proposés aux animaux et la gamme d’aliments Versele Laga aux couleurs du Loro Parque. |
Cuisines du Loro Parque - mars 2016 |
Volières des perroquets maillés - mars 2016 |
Face à la cuisine se dressent deux volières mito- yennes, séparées l’une de l’autre par une haie de bambous. Ces volières au sol en sable, agrémen- tées de cordes et de branches de pins permettent de mettre en parallèle les deux sous espèces de perroquets maillés à savoir le perroquet maillé à front blanc (Deroptyus accipitrinus accipitrinus) et le perroquet maillé à front brun (Deroptuys accipitriinus fuscifrons), beaucoup moins courant en captivité. |
Perroquet maillé à front brun - mars 2016 |
Perroquet maillé à front blanc - mars 2016 |
Plus loin, sur la gauche de l’allée, dissimulée dans la végétation se dresse une dernière volière de taille moyenne, au sol en sable, agrémentée de branches et de cordes. Cette installation ombragée, est con- sacrée à un couple de rares cricks à ventre bleu (Triclaria malachitacea), une espèce qui n’est visible que dans 2 parcs zoologiques. |
Crick à ventre bleu - mars 2016 |
Bassin des alligatores - mars 2016 |
La visite se poursuit alors pour sortir des zones boisées. Sur la droite, le sentier longe une large baie vitrée qui s’ouvre sur un bassin assez profond, a l'arrière duquel se trouve une plage en sable. Ce complexe constitue le lieu de vie d’alligatores du Mississipi (Alligator mississippiensis). Le bassin est pour sa part peuplé de cichlidés sud américains. |
A l’extrémité de
la baie
vitrée, un sentier secondaire nous conduit sur la droite, vers « Animal Embassy ». Ce complexe qui s’étend sur 2 200 m², est la dernière grande nouveauté du Loro Parque et permet de mettre en avant l’élevage des psittaciformes. L’allée de visite sillonne alors au milieu de différentes huttes construites dans le style africain. La première case dont l’intérieur est visible au travers d’une baie vitrée, présente la nursery du zoo avec les couveuses et les éleveuses. Lors de ma visite elle était peuplée de jeunes loris de différentes espèces, de jeunes aras à collier d’or et de perroquets de Pesquet. |
Entrée dans Animal Embassy - mars 2016 |
Volière des gris du Gabon - mars 2016 |
Sur le coté de la nursery, deux volières de petite taille, hébergent les oiseaux suffisamment grands pour être maintenus en extérieur. Ces volières étaient occupées essentiellement par des aras. Plus loin, le visiteur traverse la hutte « Max Planck », qui abrite un centre d’étude de l’intelligence animale. En sortant de cette salle, installée au centre d’un bao- bab artificiel, se dresse la volière des jeunes gris du Gabon (Psittacus erithacus erithacus). |
L’allée de visite contourne alors deux huttes percées de vitres, qui sont consacrées aux salles de soins, in- firmerie et laboratoire d’analyses du Loro Parque. Enfin, la découverte d’Animal Embassy se termine par une boutique de souvenirs proposant divers ouvrages sur les psittaciformes, ainsi que des pulls et autres T-Shirts. C’est ainsi que se termine la découverte des instal- lations scientifiques du zoo. |
Volière typique de la nursery - mars 2016 |
Salle d'élevage - mars 2016 |
Salle de soins - mars 2016 |
Face à la sortie de cette section,
le
visiteur peut emprunter un autre sentier secondaire, qui nous amène vers l’entrée d’une grotte au sein de la- quelle a été installé l’aquarium du zoo. La première salle de cette grotte recréer un bras de l’Amazone, avec des cascades, des berges larges et végétalisées et un grand bassin en aqua- vision. La partie aérienne de cette installation est le lieu de vie de touracos à joues blanches (Tauraco leucotis), de carpophages bicolores (Ducula bicolor) et de sarcelles à collier (Callonetta leucophrys). |
Bassin sud américain - mars 2016 |
Colonne des cardinalis - mars 2016 |
L’aquarium est pour sa part occupé par un banc de pacus noirs (Colossoma macropomum), des poissons chats à queue rouge (Phractocephalus hemioliopterus) ou encore des barbus argentés (Barbus schwanenfeldi). Après avoir laissé ce bac de coté, le visiteur se dirige vers la seconde pièce de l’aquarium au centre de laquelle trone une colone en eau pré- sentant des tétras cardinalis (Paracheirodon axelrodi), formant un cercle autour de cette colone, on pourra observer divers autres bacs. |
Ceux situés sur la gauche
représentent
les eaux douces du globe. Le premier aquarium représente une rive amazonienne avec ses racines et quel- ques plantes aquatiques. Un groupe de piranhas à ventre rouge (Pygocentrus nattereri) nage dans ce bac. Mitoyen aux piranhas, on peut observer un second bac d’eau douce, garni de racines et de pierres, occupé par des cichlidés du lac Malawi comme les labidos jaunes (Labidochromis caeruleus), des cichlidés zébrés (Pseudotropheus zebra), des cichlidés trewavasaes (Labeotropheus trewavasae) enfin, un troisième aquarium termine la présentation des eaux douces. |
Ambiance dans l'aquarium - mars 2016 |
Bassin typique pour cichlidés - mars 2016 |
Ce dernier est consacré aux eaux du lac Tanganyika des cichlidés frontosas (Cyphotilapia frontosa), des lamprologues oranges (Neolamprologus leleupi), des princesses du Burundi (Neolamprologus brichardi), des cich- lidés M'buna (Maylandia lombardoi), des cichlidés transcriptus (Julidochromis transcriptus) ou en- core des synodontes léopards (Synodontis angelicus). |
Sur la
droite de la salle, on peut
alors observer deux autres aquariums plus volumineux et con- sacrés aux eaux atlantiques. Le premier bac relativement sombre présente des murènes brunes (Gymnothorax unicolor) et des arai- gnées de mer (Maja brachydactyla). Le second, plus clair héberge des labres es- pagnols (Bodianus rufus), des grondins volants (Dactylopterus volitans), des sars tambours (Diplodus cervinus), des girelles paons (Thalassoma pavo), des mulets lipus (Chelon labrosus), des mérous bruns (Epinephelus marginatus), des dorades royales (Sparus aurata), des raies paste- nagues (Dasyatis pastinaca) et des tortues caouannes (Caretta caretta). |
Aquarium des tortues - mars 2016 |
Aquarium récifal - mars 2016 |
Nous rejoignons alors la
troisième
salle de cet aquarium. Sur la droite, on retrouve une vitre permettant d’admirer le bassin de la tor- tue. Face à nous, les récifs coraliens sont à l’hon- neur dans un bac en forme de demi-lune. Cet aquarium de grande taille est consacré à des lippus rondeaux (Anisotremus virginicus), des gorettes rayées (Haemulon striatum), des balistes bleu (Odonus niger), des balistes verts ou balistes striés (Balistapus undulatus), des poissons bagnards (Abudefduf vaigiensis), des carangues à plumes (Selene vomer), des murènes vertes (Gymnothorax funebris), des labres nettoyeurs communs (Labroides bicolor) et des poissons anges français (Pomacanthus paru). |
Le couloir de visite tourne alors sur la gauche et longe un autre bac représentant les eaux coraliennes. Des barbiers oranges (Pseudanthias squamipinnis) y nagent aux cotés de chirurgiens jaunes (Zebrasoma flavescens), de poissons bagnards (Abudefduf vaigiensis), d'apogons pyjamas (Sphaeramia nematoptera), de poissons fléchettes zébrés (Ptereleotris zebra), de poissons clowns rouges (Amphiprion frenatus), ... |
Aquarium récifal - mars 2016 |
Poisson fléchette zébré - mars 2016 |
..., de poissons clowns à collier (Amphiprion perideraion), de poissons anges à deux épines (Centropyge bispinosus), de demoiselles jaunes et bleues (Pomacentrus caeruleus), de chirurgiens à cercle doré (Ctenochaetus strigosus), des dascyllus à trois points (Dascyllus trimaculatus) ou encore des demoi- selles à trois bandes (Dascyllus aruanus). |
Après un virage
à angle droit, le visiteur se retrouve au cœur d’un tunnel vitré, per- mettant de découvrir les requins. Ce grand bac est le lieu de vie de requins pointes noires (Carcharhinus melanopterus), de requins zèbres (Stegostoma fasciatum), de raies pastenagues (Dasyatis pastinaca) de poissons ballons à taches blanches (Arothron hispidus), de diagrammes arlequins (Plectorhynchus chaetodonoides), de pois- sons cochers communs (Heniochus acuminatus), de carangues royales (Gnathanodon speciosus) et de poissons anges à croissant (Pomacanthus maculosus). |
Aquarium des requins - mars 2016 |
Aquarium des méduses - mars 2016 |
A la sortie du tunnel,
nous
entrons dans la quatrième salle de l’aquarium, sur les murs de laquelle plusieurs petits bacs ont été disposés. Le premier est consacré à des méduses des mangroves (Cassiopeia xamachana), qui évoluent dans un décor de sable blanc et au milieu de racines suspendues. Le second bac, est garni de rochers et d’anémones. Il héberge des chirurgiens jaunes (Zebrasoma flavescens), des labres nettoyeurs communs (Labroides bicolor), des poissons ballons à taches blanches (Arothron hispidus), des labres rasoirs masqués (Novaculichthys taeniourus), des labres vermiculés (Macropharyngodon bipartitus) et des crevettes d'Amboine (Lysmata amboinensis). |
Des crabes flèches (Stenorhynchus seticornis) vivent dans le troisème aquarium. Suite à ces crustacés, on peut observer un aquarium peuplé de nautiles (Nautilus belauensis), puis un autre consacré aux anguilles des jardins tachetées (Heteroconger hassi). Enfin, cette série se termine par un bac plongé dans la pénombre, qui constitue la nursery des roussettes. |
Aquarium des crevettes - mars 2016 |
Village Thaïlandais - mars 2016 |
Le visiteur ressort alors de l’aquarium pour re- trouver la végétation luxuriante, franchir un petit pont et gagner la pagode Thaïlandaise, où les photos prises à l’entrée du parc sont proposées à la vente. Nous repassons alors devant le musée des por- celaines et traversons une dernière boutique qui clos la découverte du Loro Parque. |
Musée des porcelaines - mars 2016 |
Musée des porcelaines - mars 2016 |
Porcelaine - mars 2016 |
Porcelaine - mars 2016 |
En conclusion, le Loro Parque mérite sa réputation de grand centre de présentation et d’élevage de per- roquets. Bien que d’après les spécialistes, la colle- ction ait un peu diminué avec notamment l’arrêt de la présentation des amazones insulaires, les amoureux des perroquets y trouveront leur bonheur. La visite se déroule au milieu de la verdure, dans un cadre très agréable et permet de découvrir de mul- tiples espèces peu courantes en captivité. Aux oiseaux s’ajoutent également quelques mam- mifères notamment des primates ainsi que plusieurs mammifères marins. Un soin particulier a également été apporté aux stands de restauration et aux boutiques qui jallonent le zoo. |
Conure de Hoffmann - mars 2016 |
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