Monkey Park
Ténérife Camino Moreque Llano Azul 38627 Arona Santa Cruz de Tenerife Espagne Tel : +34 922 79 07 20 www.monkeypark.com |
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Ouvert tous les jours et toute l'année de 9h30 à 17h00 |
Perroquet jardine - mars 2016 |
Talapoin - mars 2016 |
Ticket individuel Adulte : 10,00 € Enfant (5 à 12 ans) : 5,00 € |
Le Monkey Park se situe dans le sud de l’île de Ténérife et constitue un centre d’élevage pour plusieurs espèces de primates notam- ment. Ouvert en 1991, il s’installe au cœur d’une zone rocailleuse relativement sèche mais où le climat clément permet à la végétation tro- picale de se développer. |
Cercopithèque de Campbell - mars 2016 |
Après avoir franchi le porche d’entrée et le guichet, la découverte de ce petit parc dé- bute sur la gauche, avec un sentier en bois traversant un marécage recréé. Les bassins peu profonds sont entourés de plages en sable et en béton. Quelques arbres ombragent ces plages. Ce complexe est le lieu de vie de crocodiles de Cuba (Crocodylus rhombifer), une espèce peu courante en captivité. |
Ambiance dans le parc - mars 2016 |
Enclos des crocodiles - mars 2016 |
Plusieurs tortues à tempes rouges (Trachemys scripta elegans) peuplent également les bas- sins des deux enclos consacrés aux crocodiles. La passerelle nous ramène alors sur la terre ferme, devant un ensemble de plusieurs volières de contact. Ces volières successives sont toutes conçues selon le même schéma à savoir une zone en sable et en terre située sur la droite de l’allée de visite, zone plantée de nombreux cactus, et autres feuillus des déserts. |
La première
volière dans laquelle nous
entrons, accueille une colonie de saimiris à casque gris (Saimiri sciureus) et des ortalides du Chaco (Ortalis canicollis). Une porte grillagée nous permet d’entrer dans la seconde volière, légèrement moins végétalisée et consacrée à des lémurs à front blanc (Eulemur albifrons), à des aras chloroptères (Ara chloroptera), des aras araraunas (Ara ararauna) et des cobayes (Cavia porcellus). Toutes ces espèces hormis les cobayes sont res- tées invisibles lors de ma visite. |
Première volière de contact - mars 2016 |
Volière des iguanes et des cattas - mars 2016 |
Nous pénétrons alors dans la dernière volière de contact qui est également la plus grande et la moins végétalisée. Là, des cordes et des plateformes en hauteur ont été ajoutées à l’ensemble. Au sein de structure on pourra observer et nourrir des iguanes verts (Iguana iguana), des tortues à éperons (Geochelone sulcata) et des makis cattas (Lemur catta). Le visiteur quitte alors le complexe des volières de contact pour arriver au niveau d’un carrefour. |
Enclos des crocodiles - mars 2016 |
Volière des aras - mars 2016 |
Nous allons continuer la visite pour entrer dans un espace où une autre volière de contact est en cours d’aménagement. Cette dernière devrait accueillir au courant de l’été 2016, des lémurs mongoz (Eulemur mongoz) et des tamarins à mains rousses (Saguinus midas). Cette volière sera tendue de cordes et de quel- ques branches, tandis que la zone réservée aux primates, située sur la gauche de l’allée, sera légèrement sur-élevée. |
Future volière des lémurs mongoz - mars 2016 |
Complexe des petits singes - mars 2016 |
Sur la droite du chemin de
visite, un mur
est percé de 4 vitres s’ouvrant sur de petites volières extérieures. Cet ensemble constitue le complexe des callithricidés. Chaque volière est plantée de palmiers et autres feuillus, tra- versée de branches et de quelques cordes. La première volière est le lieu de vie de ouis- titis de Goeldi (Callimico goeldi), la seconde présente des tamarins pinchés (Saguinus oedipus), la troisième est occupée par des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas) tandis que des ouistitis de Goeldi (Callimico goeldi), sont à nouveau hébergés dans la dernière structure. |
Le visiteur
quitte alors ce qui sera la volière de contact des lémuriens, pour découvrir, sur la droite, la suite du complexe des petits singes qui compte encore 7 loges-volières identiques aux précédentes. Dans l’ordre de visite, on pourra y observer des ouistitis de Geoffroy (Callithrix geoffroyi), des tamarins à manteau rouge (Saguinus lagonotus) – une espèce peu courante en captivité - des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas), des ouistitis à pinceaux blancs (Callithrix jacchus), ... |
Loge typique pour callithricidés - mars 2016 |
Volière du mangabeys et du talapoin - mars 2016 |
..., des tamarins à mains rousses (Saguinus midas), des tamarins pinchés (Saguinus oedipus) puis des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas). Face aux callithricidés, se dresse une grande volière totalement artificielle, faite de béton, d’un sol recouvert de paille et agrémentée de quelques branches et de cordes. Cette installation voit cohabiter un mangabey noir (Lophocebus aterrimus) et un talapoin du Sud (Miopithecus ogouensis). |
La visite se poursuit alors pour
découvrir, sur la gauche, un ensemble de 2 volières semi circulaires. Ces volières sont séparées l’une de l’autre par un mur de couleur jaune. De conception ancienne, elles disposent pour seuls aménagements de quelques bran- ches placées en hauteur. Ces volières présentent des cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus). Dans le prolongement de ces singes, se dresse une autre volière du même type au cœur de laquelle ont été érigés des arbres artificiels. |
Volière des cercopithèques de Brazza - mars 2016 |
Volière des cercopithèques de Campbell - mars 2016 |
Une vitre placée sous un auvent permet d’observer au mieux les animaux tout en limitant les reflets. Cette structure accueille un groupe repro- ducteur de cercopithèques de Campbell (Cercopithecus campbellii), une espèce qui reste peu courante en Europe. Sur la droite, s’étend un parterre planté de cactées. Plus loin sur la gauche de l’allée a été construite une volière de taille moyenne, à l’armature en bois. |
Divers perchoirs en bois ont été installés en son sein et accueillent une colonie de conures jandayas (Aratinga jandaya). Face au conure, les plantes laissent place à un enclos délimité par des murs percés de baies vitrées. Cet enclos dispose d’un sol en terre sur lequel poussent plusieurs buissons. |
Volière des conures - mars 2016 |
Volière des oiseaux et tortues - mars 2016 |
Cette installation est occupée par des tor- tues de Hersefield (Testudo horsefieldi), des tortues grecques (Testudo graeca ibera), des tortues d’Hermann (Testudo hermanni), des tortues élégantes (Geochelone elegans), des tortues à éperons (Geochelone sulacata), des or talides du Chaco (Ortalis canicollis) et des tourcaos de Livingstone (Tauraco livingstonii). |
Nous continuons alors la
découverte du Monkey park pour arriver devant une grande et haute volière métalliques, de forme ovale, agrémentée de souches et de cordes. Cette installation est con- sacrée à des patas (Erythrocebus patas). Perpendiculaire à la volière des pattas, se dresse une autre structure du même type bien que légèrement plus grande. Cette volière relativement ancienne, dispose d’un sol en béton recouvert de paille, est agré- mentée de filets en cordes et de cordes pendantes. Cet espace est le lieu de présentation de chimpanzés (Pan troglodytes). |
Volière des pattas - mars 2016 |
Volière de l'entelle - mars 2016 |
Nous arrivons alors sur une
petite place. Nous allons revenir sur nos pas vers la volière des touracos, pour emprunter un sentier parallèle au précédent. Sur la droite de cette allée, on retrouve la volière des tortues et des touracos, tandis que sur la gauche, on pourra voir deux volières circulaires, organisées autour d’un ar- bre en béton situé au sol. Une zone bétonnée surélevée complète les aménagements. Chaque volière est percée d’une vitrée abritée sous un auvent permettant d’observer les ani- maux. Un entelle (Semnopithecus entellus) vit dans la première volière tandis que la se- conde accueille des cercopithèques de Roloway (Cercopithecus roloway). |
Volière des chimpanzés - mars 2016 |
Volière des cercopithèques de Roloway - mars 2016 |
Plus loin sur
ce sentier, on retrouve sur la droite le parterre de cactées, tandis que sur la gauche une vasite volière délimitée par des murs de couleur ocre, dispose d’amas ro- cheux, de quelques branches et de cordes. Cet enclos est occupé par des entelles (Semnopithecus entellus). Le sentier revient alors au niveau de l’instal- lation du mangabey et du talapouin. Pour notre part, nous allons revenir sur nos pas jusqu’au niveau des chimpanzés, de sorte à monter un petit escalier et rejoindre une petite terrasse en hauteur. |
Loge des entelles - mars 2016 |
Enclos des drills - mars 2016 |
Là, sur la
gauche, nous
pouvons observer une volière entourée de murs de pierre, au sol en terre, agrémentée de plantes grasses et de structures d’escalade en bois. Cette instal- lation présente un mâle drill (Mandrillus leucocephalus). Plusieurs vitres permettent d’admirer ces primates. Légèrement en retrait, abritée sous une per- gola fleurie, se dresse une loge intérieure, entourée de murs de pierre et garnie de pier- res et de bois, consacrée à des cercopithè- ques de Brazza (Cercopithecus neglectus). |
Nous allons revenir au niveau de
la terrasse et poursuivre la visite face à la volière du drill, de sorte à longer un mur percé de vitres, complexe destiné à la présentation de calli- thricidés. Ce complexe se compose de 7 loges mitoyennes, grillagées sur le dessus. Chaque loge est délimitée par des murs de pierres et une vitre en façade. Le sol en terre est surélevé par rapport à l’allée de visite. Chaque section est plantée de lianes et végé- taux grimpants et agrémentée de branches et de cordes. |
Complexe des petits singes - mars 2016 |
Exemple de loge pour callithricidés - mars 2016 |
La première
volière est le lieu de
vie de 4 groupes de ouistitis à pinceaux noirs (Callithrix penicillata), de 3 groupes de tamarins à mains rousses (Saguinus midas). Le visiteur quitte alors le complexe des calli- thricidés pour rejoindre l’allée de visite en direction d’un petit enclos, entouré de murs en bois percés de vitres. Les décors de cet enclos, faits de faux rochers, représentent des troncs et des branches. Deux arches forment un petit terrier et quel- ques plantes grasses apportent un peu de verdure à cet ensemble. Cet enclos est le lieu de vie de saimiris (Saimiri sciureus). |
Enclos des saimiris - mars 2016 |
Exemple de loge pour callithricidés - mars 2016 |
Le visiteur arrive alors devant
deux allées parallèles, séparées l’une de l’autre par un par terre fleuri, planté de cactus. Nous al- lons démarrer la visite par le sentier le plus à droite et longer une succession de volières. Toutes ces volières disposent d’un sol en terre, sont plantés d’arbrustes et de yuccas, présents en plus ou moins grande quantité. Enfin, des troncs et des branches mortes complètent les décors. Au fond de chaque structure, on pourra observer une zone couverte et abritée du soleil ou des intem- péries. |
Allée des volières - mars 2016 |
Volière des vasas - mars 2016 |
La première volière héberge des amazones à front blanc (Amazona albifrons). La se- conde volière, moins végétalisée, est le lieu de vie d’amazones à front jaune (Amazona ochrocephala). Un petit groupe de perroquets vasas (Caracopsis vasa) évolue dans l’installation qui suit. Les volières 4 et 5 sont occupées respectivement par une colonie de conures soleils (Aratinga solsitialis) puis par une colonie de mandarins (Taenopygia guttata). |
Des perroquets de Jardine ou à calotte rouge (Poicephalus gulielmi) sont à l’honneur dans la sixième volière de cette allée. La structure qui suit est le lieu de vie de tou- racos à oreillons blancs (Tauraco leucotis). Cette rangée compte encore deux volières oc- cupées respectivement par des perruches de Pennant (Platycercus elegans) et par des cacatoès à huppe orangée (Cacatua sulphurea citrinocristata). C’est ainsi que se termine la découverte du complexe des oiseaux. |
Volière des cacatoès - mars 2016 |
Volière des cercopithèques - mars 2016 |
Nous allons alors rebrousser
chemin
jusqu’à l’installation des saimiris, pour emprunter la seconde allée decette zone. Sur la gauche de cette allée, on peut observer une première volière de grande taille, typique des présen- tations de primates. Cette volière, de forme ovale, dispose d’un sol en béton recouvert de paille, de zones surélevées bétonnées et est tendue de troncs morts formant un réseau en hauteur. Un groupe de cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus) évolue à ce niveau. |
Dans
le prolongement des primates se dresse une seconde volière conçue suivant la même base mais qui semble avoir été transformée. En effet , le sol de cette installation est naturel, la terre ayant pris la place du béton. Cette structure a été densément plantée et of- fre la possibilité aux visiteurs d’y pénétrer. Cette volière présente une faune aviaire très diversifiée à savoir : touraco de Buffon (Tauraco buffoni), touraco violet (Musophaga violacea), touraco de Livingstone (Tauraco livingstoni), spréo pourpre (Lamprotornis purpureus), ..., |
Grande volière de contact - mars 2016 |
Grande volière de contact - mars 2016 |
...,étourneau à crète (Acridotheres cristatellus), colombe lophote (Ocyphaps lophotes), diamant à longue queue (Poephila acuticauda), ..., commandeur huppé (Gubernatrix cristata), tarin du Venezuela (Carduelis cucullata), araguira rougeatre (Coryphospingus cucullatus), ou encore bouvreuil élégant (Pyrrhula pyrrhula). |
Certaines de ces espèces sont très peu re- présentées en captivité dans les zoos euro- péens. Le visiteur quitte alors cette volière et continue sa découverte du Monkey Park avec, sur la gauche, une troisième volière ovale, au sol recouvert de paille et agrémentée de divers décors de faux ro- chers. Un groupe de cercopithèques à diadème (Cercopithecus albogularis) y a été installé. |
Volière des cercopithèques à collier blanc - mars 2016 |
Volière des ouistitis - mars 2016 |
Nous arrivons alors au bout de la double allée, là où les chemins se rejoignent pour ne former qu’un seul sentier. Sur la gauche, se dresse une volière surlévée, plantée de nombreux feuillus et agrémentée de quel- ques planches de bois. Cette installation présente des ouistitis de Geoffroy (Callithrix geoffroyi). Face à nous, on peut observer un impor- tant bloc de volières. Cet espace trian- gulaire est entouré par le sentier de visite. |
Nous allons alors bifurquer sur la gauche de sorte à contourner la première volière et dé- couvrir, sur la gauche du couloir de visite, une installation relativement haute, traversée de plateformes en hauteur, de faux rochers et de cordes. Ce complexe au volume important est con- sacré à des gibbons à mains blanches (Hylobates lar). |
Volière des gibbons - mars 2016 |
Loge des cattas - mars 2016 |
Le visiteur arrive alors sur un sentier longeant, sur la droite le bloc de volières, tandis que sur la droite se dresse un mur percé de vitres s’ouvrant chacune sur un enclos. Les enclos de gauche sont tous conçus selon le même schéma à savoir un sol bétonné, une partie arrière surélevée et des agrès en bois. Dans l’ordre de visite on pourra observer des gibbons lars (Hylobates lar), des makis cattas (Lemur catta) puis des saimiris à casque gris (Saimiri sciureus). |
Sur la droite, les
volières sont également
sur- élevées. Elles disposent toutes d’un sol en terre, sont plus ou moins plantées d’arbustes feuillus et sont aménagées de perchoirs en bois. Là encore, dans l’ordre d’alignement on pourra y admirer des aras araraunas (Ara ararauna) dans les 2 premières, des ca- catoès rosalbins (Eolophus roseicapilla), des aras militaires (Ara militaris), à nou- veau des aras araraunas (Ara ararauna), puis des cacatoès des Molluques (Cacatua moluccensis). |
Complexe des becs crochus - mars 2016 |
Exemple de volières pour grands perroquets - mars 2016 |
Enfin, sur la gauche, on peut encore admirer une dernière volière au sein de laquelle poussent de nombreux buissons rendant l’observation des animaux difficiles. Cette structure présente des talapoins du Nord (Miopithecus ogouensis). L’allée de visite bifurque alors sur la droite, pour terminer le cercle autour du bloc de volière et revenir sur l’allée centrale, où des parterres de cactus agrémentent la visite. Nous continuons alors notre découverte du parc, pour revenir au niveau des volières pénétrantes de l’entrée et de celle des lémuriens en cours de finitions. |
Nous traversons alors la volière des makis cattas (Lemur catta), celle des lémurs à front blanc, puis celle des simiris, avant de bifurquer sur la gauche pour traverser une autre volière de con- tact, densément plantée, au sein de laquelle évoluent un autre groupe de lémurs cattas (Lemur catta), des saimiris à casque noir (Saimiri boliviensis) et des iguanes verts (Iguana iguana). |
Zone de contact des saimiris - mars 2016 |
Enclos des dègues - mars 2016 |
En sortant de cette volière, le visiteur peut ob- server le vivarium du parc, composé de plu- sieurs terrariums à ciel ouvet. Cette installation est une zone carrée, au centre de laquelle trône un enclos vitré, représentant un monticule ro- cheux sur lequel vit une colonie de dègues (Octodon degus). Le long des 4 murs s’alignent les vitrines pré- sentant divers reptiles. Ainsi, le premier terra- rium que l’on peut observer dispose d’un sol en sable et est agrémenté de quelques rochers. |
Il présente des fouettes queues (Uromastyx acanthinurus). Un second espace du même type est consacré à des fouettes queue du Soudan (Uromastyx dispar flavifasciata). Dans l’angle, se dresse un vivarium plat de grande taille, au sol recouvert de paille. Ce dernier abrite des boas constricteurs (Boa constrictor). |
Vivarium pour lézards - mars 2016 |
Terrarium des fouettes queues - mars 2016 |
Le second mur de ce carré soutient 2 viva- riums au sol en paille, agrémentés de quel- ques amas de rochers. Ces deux bacs sont occupés respectivement par des fou- ette queue ocellés (Uromastyx ocellata) puis par des tortues marginées (Testudo marginata) cohabitant avec des tortues d’Hermann (Testudo hermanni). |
Des gerrhosaures à
plaques (Gerrhosaurus major) évoluent dans le premier terrarium du troisième mur. Ces reptiles, tout comme leurs voisins, des serpents des blés (Elaphe guttata), disposent de 2 vivariums agré- mentés de troncs et de foin. Enfin, sur le dernier mur se dresse les 2 plus grandes loges de cette maison. La première loge est agrémentée de branches mortes et de plantes tropicales et accueille une famille de ouistitis pygmés (Cebuella pygmaea). |
Loge des ouistitis pygmés - mars 2016 |
Volière des inséparables - mars 2016 |
Enfin, le dernier vivarium
dispose de quel- ques rochers et d’un bassin et présente un varan des savanes (Varanus exanthematicus). Le visiteur quitte alors le vivarium pour se re- trouver plongé au cœur d’une volière dont les parois recréent une falaise rocheuse. De nom- breux ficus, lianes et autres branches apportent de la verdure à l’ensemble et offrent divers per- choirs. Au cœur de cet espace s’ébat une co- lonie d’inséparables à face rose (Agapornis roseicollis), ainsi que diverses mutations do- mestiques (Agapornis sp.). |
Le visiteur quitte alors la volière des insépa- rables et se retrouve devant un snack et l’entrée du zoo. C’est ainsi que s’achève la découverte du Monkey Park de Ténérife. |
Ambiance dans le parc - mars 2016 |
En conclusion, le Monkey Park
est un petit espace zoologique qui semble être spécialisé dans la présentation des primates et de quel- ques becs crochus. Son créneau se base sur le contact rappro- ché entre les visiteurs et les animaux, contact d’autant plus proche que des fruits sont pro- posés à la vente pour nourrir les animaux. Les installations semblent relativement an- ciennes, le béton et les grilles étant bien pré- sents et visibles. |
Crocodile de Cuba - mars 2016 |
Ortalide de Chaco - mars 2016 |
L’ensemble des structures laisse trans- paraitre un manque de moyens de ce parc concurrencé par les 2 poids lourds de l’île et leur communication bien rodée. La collection est relativement répétitive mais très intéressante sur le plan des primates et des passériformes avec de nombreuses es- pèces que l’on ne rencontre que rarement en captivité. Une visite de 2 heures est suffisante pour la découverte de cet espace. |
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