Terra Natura Benidorm Partida Foia del Verdader 1 03502 Benidorm Province d'Alicante Espagne Tel : +34 96 607 27 70 Fax : +34 96 607 27 55 www.terranatura.com |
Gaur - avril 2016 |
Novembre à février (uniquement les weekends) : 10h30 à 17h00 Mars : première moitiée : 10h30 à 17h00 (18h00 les weekends) seconde moitiée : 10h30 à 19h00 Avril : 10h00 à 18h00 Mai : 10h00 à 18h00 (19h00 les weekends) Juin : 10h00 à 19h00 (20h00 les weekends) Juillet à mi septembre : 10h00 à 20h00 Mi septembre à octobre : 10h00 à 18h00 |
Ticket individuel Adulte : 29,00 € Enfant (4 à 17 ans) : 23,50 € Sénior : 23,50 € Famille (2 adultes + 2 enfants) : 79,00 € Entrée parc aquatique : 12,00 € Pass Annuel Adulte : 56,00 € Enfant (4 à 17 ans) : 49,00 € Sénior : 49,00 € |
Ara ararauna - avril 2016 |
Le zoo Terra Natura Benidorm, est le second parc du groupe Terra Natura et est le grand frère du parc de Murcia. Ce zoo qui s’étend sur une superficie de 32 hectares est divisé en géozones à savoir l’Amérique du Sud, l’Asie, l’Europe et une zone consacrée aux rep- tiles. |
Cerf d'Espagne - avril 2016 |
Lori noira - avril 2016 |
Du fait de l’orienation de sa collection, il est ainsi complémentaire du parc de Murcia (Afrique et Faune ibérique). A l’instar de son cousin, outre la partie zoo- logique, le parc Terra Nature dispose également d’un parc aquatique ouvert durant la saison estival. Enfin, un complexe hotelier a été ajouté à l’ensemble. |
Après avoir franchit l’entrée, le visiteur se trouve sur la place centrale du parc, plantée d’une végétation tropicale et dense. Plusieurs modèles agrandis d’in- sectes sont exposés. A fond de cette place se dresse un vol- can reconstitué. Nous allons, pour notre part, débuter la visite sur la gauche, de sorte à découvrir le premier monde de Terra Natura Benidorm, l’Amérique du Sud. |
Entrée dans la zone sud américaine - avril 2016 |
Volière des ouistitis - avril 2016 |
L’allée de visite plonge alors dans la vé- gétation et traverse une zone plantée de bambous, palmiers et autres arbres divers. Sur la droite, installé dans la végétation se trouve une première volière, au sol légè- rement surélevé par rapport au sentier de visite. Cette dernière est agrémentée de nombreuses branches et de quelques plan- tes et présente un groupe de ouistitis pyg- més (Cebuella pygmaea). |
Précédent
cette
volière, une branche a été tendue entre deux yuccas et fait office de perchoir pour la présentation d’un ara chlo- roptère (Ara chloroptera). La visite continue alors au cœur de la végé- tation pour retrouver une seconde volière plus grande et bien éclairée, disposant d’un sol en terre et agrémenté de nombreuses structures d’escalade en bois et en cordes. Des maras (Dolichotis patagonum) y coha- bitent avec des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas) et des aras araraunas (Ara ararauna). |
Perchoir des aras - avril 2016 |
Ambiance dans la zone sud américaine - mai 2016 |
Le
visiteur continue alors sa visite au milieu de la végétation et peut admirer, sur la droite, un réseau de branche faisant office de per- choirs pour un autre groupe d’aras ararauna (Ara ararauna). A la suite de ces psittacidés, le visiteur dé- couvre une autre volière vitrée en façade, comparable à celle des ouistitis pygmés, dis- posant d’un sol en terre surélevé, garnie de souches, branches et autres palmiers. Un toucan toco (Ramphastos toco) évolue à ce niveau. |
Volière des toucans - avril 2016 |
Volière des maras - avril 2016 |
La
visite continue dans ces décors représen- tant la jungle mayas et les temples incas, pour observer sur la droite, un autre ensemble de perchoirs pour aras araraunas (Ara ararauna). Face à ces oiseaux, on peut observer une qua- trième volière, de taille moyenne, bénéficiant d’un sol en terre, agrémentée de cordes et de branches. Des souches complètent et quelques arbustes complètent ces décors. Des saimiris de Bolivie (Saimiri boliviensis boliviensis) y évoluent aux cotés d’un agouti ponctué (Dasyprocta punctata), une espèce peu courante en cap- tivité. |
Volière des agoutis - avril 2016 |
Volière sud américaine - avril 2016 |
La visite continue alors sur un sentier sillonnant entre le massifs de végétation jusqu’à arriver devant un haut mur de faux rochers représentant des statues incas. Une ouverture dans ce mur nous conduit vers un couloir et un sas de visite pour pénétrer dans une impressionnante volière de contact, densément plantée. |
En parcourant cette installation, on pourra ob- server un écosystème forestier, un écosystème marécageux, un grand bassin et une zone dé- gagée. Plusieurs espèces cohabitent au sein de cette vaste volière à savoir : cigogne maguari (Ciconia maguari), cigogne blanche (Ciconia ciconia), héron flute de soleil (Syrigma sibilatrix) – une espèce qui n’est aujourd’hui présentée au public qu’à Benidorm en Europe – héron garde bœuf (Bubulcus ibis),... |
Grande volière - avril 2016 |
Grande volière - avril 2016 |
..., héron
strié (Butoroides striatus), bihoreau (Nycticorax nycticorax), savacou huppé (Cochlearius cochlearius), ibis sacré (Threskiornis aethiopicus), ibis rouges (Eudocimus ruber), grand hocco (Crax rubra), hocco pierre (Pauxi pauxi), kamichi à collier (Chauna torquata), ortalide du Chaco (Ortalis canicollis), agami trompette (Psophia crepitans), râle ypecaha (Aramides ypecaha), canard man- darin (Aix galericula), canard carolin (Aix sponsa), pilet des Bahamas (Anas bahamaensis), dendrocygne à ventre noir (Dendrocygna autumnalis), ... |
...,dendrocygne veuf
(Dendocygna
viduata), dendrocygne fauve (Dendrocygna bicolor), oie de l’Orénoque (Neochen jubata), guira (Guira guira), cassique vert (Psarocolius viridis), co- lombe de Verreaux (Leptotila verreauxi), ara ararauna (Ara ararauna), conure de Patagonie (Cyanoliseus patagonium), conure soleil (Aratinga solstitialis), conure de Wagler (Aratinga wagleri), pione à couronne blanche (Pionus senilis), amazone à front bleu (Amazona aestiva), amazone à tête jaune (Amazona oratrix), tamarin à mains rousses (Saguinus midas) ou encore ouistiti à toupets blancs (Callithrix jacchus). |
Grande volière - avril 2016 |
Héron flute de soleil - avril 2016 |
Cigogne maguari - avril 2016 |
Le visiteur,
après avoir traversé cette jungle,
res- sort de la volière, pour se retrouver dans une caverne sombre, sur la droite de laquelle une vitre s’ouvre sur une loge intérieure, garnie de faux ro- chers et occupée par une colonie de chauves souris (Carollia perspicillata), pour ensuite quit- ter cett grotte et revenir à l’air libre. Là, le sentier s’enroule autour d’une île au sol en terre et en herbe, sur laquelle ont été disposées de nombreux troncs, structures d’escalade en bois et cordes. Cette île héberge une famille de capucins bruns (Cebus apella apella). |
Ile des capucins - avril 2016 |
Enclos des ocelots - avril 2016 |
Au détour
d’un virage, face aux singes, sur la gauche de l’allée, s’élève un complexe de plusieurs enclos vitrés, installés à l’ombre de huttes. Le premier, au sol en sable, est agré- menté de quelques rochers, de branches et de palmiers et présente un couple d’ocelots (Leopardus pardalis). Le second enclos, du même type bien que plus densément planté, héberge des tamarins pinchés (Saguinus oedipus). Enfin, ce complexe com- pte un dernier enclos, totalement en sable, en- touré de murs de faux rochers et occupé par une colonie de chiens de prairie sociaux (Cynomys ludovicianus). |
L’allée
continue de border l’installation des ca- pucins, pour arriver à l’arrière de cette île, où la plage en sable ainsi que le fossé en eau, sont consacrés à des capybaras (Hydrochaerus hydrochaeris). Il est à noter que la plage des cabiais est acce- ssible aux capucins. A l’extrémité de cette île se dresse un enclos en sable, délimité par des faux rochers percés de vitres. Ce dernier om- bragé par de nombreux caoutchoutiers et creusé d’un bassin est le lieu de vie de nandous (Rhea americana). |
Ile des cabiais - avril 2016 |
Enclos des jaguars - avril 2016 |
La découverte
sud
américaine continue alors le long de la paroi de faux rochers, pour ar- river devant un enclos en sable, visible à tra- vers plusieurs vitres. Ce dernier est agrémenté de troncs d’arbres et de rochers et présente des pécaris à collier (Pecari tajacu). Au bout de l’allée, se dresse un grand temple « El Templo del Jaguar » abritant un point de vision. Comme son nom le laisse deviner, ce point de vision vitré s’ouvre sur une volière en herbe, de taille moyenne, agrémentée d’un bassin dans lequelle se jette une cascade, l’ensemble étant garni de rochers et de quel- ques arbres. Deux jaguars (Panthera onca) y ont été installés. |
Enclos des nandous - avril 2016 |
Enclos des pécaris - avril 2016 |
Sur la droite du temple, une autre vitre s’ouvre sur une petite installation, située sous le couvert de hauts arbres. Cette dernière, bien végétali- sée et traversée de branches, est le lieu d’une cohabitation entre des ouistitis de Goeldi (Callimico goeldii), des aras militaires (Ara militaris) et des tortues charbonnières (Geochelone carbonaria). |
Volière des ouistitis - avril 2016 |
Aire de spectacle - avril 2016 |
Le visiteur quitte alors le temple pour rejoindre une grande place où se dresse un amphithéatre. Un spectacle de perroquets y est proposé. Sur la droite de cette esplanade, on regagne l’entrée de la vaste volière de contact. Nous allons pour notre part tourner sur la gauche et continuer la visite, pour franchir une barrière en bois et pénétrer au sein d’un enclos en sable, agrémenté de cailloux et de rochers et planté de quelques arbres. |
Cet espace de contact intitulé « La Granja América » est le lieu de vie de lamas (Lama glama), de chèvres (Capra hircus) et de moutons (Ovis aries). Sur la droite de l’enclos, un ranch abrite les loges de nuit des animaux. |
Granja America - avril 2016 |
Lagune des flamants - avril 2016 |
Le visiteur traverse alors cet enclos et en res- sort à l’opposé pour continuer sa visite au cœur de la végétation dense. Sur la droite de l’allée, installé à l’ombre des bambous, on trouve un petit plan d’eau peu profond pré- sente quelques flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis). En continuant nous droit, nous rejoignons l’entrée de la section sud américaine. |
Nous allons alors
tourner sur la gauche,
de sorte à emprunter une allée en hauteur, bor- dant la partie haute du volcan reconstitué. Ce chemin nous conduit dans la zone Asiatique de Terra Natura. En contrebas, on aperçoit le plus grand en- clos du parc, composé d’une grande prairie accolée à un imposant bâtiment de style in- dien et de couleur rouge. Cette plaine est le lieu de présentation d’un troupeau d’éléphant d’Asie (Elephas maximus) qui cohabite avec des antilopes cervicapres (Antilopa cervicapra) et des cerfs sambars (Rusa unicolor). |
Vallée asiatique - avril 2016 |
Aire de spectacle - avril 2016 |
Le sentier redescend alors le long du volcan, pour arriver devant un amphithéatre de grande taille, au bas duquel se trouve un pla- teau en sable entouré de fossés en eau. Cette arène est le lieu d’un spectacle de rapaces. En dehors de cette présentation, il accueille un cheval (Equus caballus domesticus). |
Le visiteur
arrive alors dans un jardin den- sément planté que l’on traverse. A l’arrière d’une haie de buis bordant le sentier, on peut observer un bassin de taille consé- quente, doublé de plages en herbe. Cet espace consacré aux anatidés, ac- cueille des oies communes (Anser anser), des canards de Barbarie (Cairina moschata domesticus), des cygnes blancs (Cygnus olor), des cygnes noirs (Cygnus atratus), des casarcas roux (Tadorna ferrugina) ou encore des carnards colverts (Anas platyrhynchos). |
Prairie des anatidés - avril 2016 |
Plaine des dromadaires - avril 2016 |
Le sentier arrive
alors au niveau d’un car- refour. Nous allons dans un premier temps poursuivre la visite face à nous, pour fran- chir une porte imposante et longer, en demi-cercle, un enclos en sable, agrémenté d’un grand bassin à l’eau clair. Cette étendue, qui peut être consacrée aux éléphants d’Asie (Elephas maximus), était, lors de ma visite, le lieu d’une coha- bitation entre des dromadaires (Camelus dromedarius), des zébus nains (Bos primigenius) et un groupe de mâles cerfs sambars (Rusa unicolor), une espèce qui n’est visible que dans 6 parcs européens. |
Enclos des éléphants - avril 2016 |
Enclos des éléphants - avril 2016 |
Sur la gauche du
sentier, le visiteur
retrouve l’installation des pachydermes, que l’on peut voir au niveau du sol. Plusieurs bancs offrent un moment de répis, tandis qu’une tourelle permet de prendre de la hauteur. Nous allons alors revenir sur nos pas, jus- qu’au carrefour, pour tourner sur la gauche et emprunter une allée située entre le pla- teau des dromadaires et l’espace des ana- tidés. |
Grand volcan - avril 2016 |
Enclos des muntjcas - avril 2016 |
Au bout de ce chemin, sur la gauche, une vitre et des murs de faux rochers délimitent un enclos en sable, ombragé par quelques arbustes et agrémenté de quelques souches. Une famille de muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi) évolue à ce niveau. Le sentier contourne alors une tour dont la façade est recouverte de faux rochers. Cette tour, est percée d’une vitre qui s’ou- vre sur deux cages intérieures, traversées de branches et consacrées à des loris nains (Nycticebus pygmaeus). |
La suite de la visite se déroule sous un tun- nel représentant un tronc d’arbre couché. Sur la droite, ce faux arbre est percé de vitres. Les deux premières s’ouvrent sur un espace intérieur au sol recouvert de galets et creusé d’un bassin, au sein du- quel cohabitent un varan de Salvador (Varanus salvadori) et des tortues asia- tique géante des marais (Heosemys grandis). |
Bassin des anatidés - avril 2016 |
Maison des éléphants - avril 2016 |
La troisième vitre permet de découvrir un ter- rarium au sol recouvert d’écorces et agré- menté de branches où vit un python molure (Python molurus bivittatus). Le sentier nous mène alors vers un auvent, qui fait office de point de vision sur le second enclos des éléphants d’Asie (Elephas maximus). |
Statue d'insecte - avril 2016 |
Enclos des éléphants - avril 2016 |
A ce niveau, nous nous trouvons face au tem- ple qui abrite les loges de nuit des pachyder- mes et face à une prairie creusée d’un bassin et plantée de palmiers. La visite continue alors pour arriver sur une petite place située à l’arrière de la zone de spectacle des rapa- ces, place sur laquelle se dresse une structure en bois qui permet d’admirer quelques oi- seaux participants au spectacle parmis les- quels : |
Stand asiatique - avril 2016 |
Zone des rapaces - avril 2016 |
chouette effraie de Tao Tomeh (Tyto alba thomensis), grand duc d’Europe (Bubo bubo), grand duc d’Amérique (Bubo virginianus), faucon sacre (Falco cherrug), faucon crécerelle (Falco tinnunculus). Le visiteur remonte alors une allée sur la droite, pour longer l’enclos des éléphants et gagner un village construit dans le style indien. |
Plusieurs, restaurants et boutiques jouxtent une petite maison, percée de vitres, com- posée de plusieurs loges intérieures agré- mentées d’écorces et de quelques branches. Ce complexe constitue le centre de repro- duction du cobra royal (Ophiophagus hannah) du zoo de Benidorm. L’un des bâtiments de ce village abrite pour sa part un rucher tandis que l’édifice qui le jouxte présente une salle pédagogique. La visite continue alors dans la section asiatique, pour sillonner au travers de la végétation et arriver devant un palais indou. |
Enclos pour cobra - avril 2016 |
Enclos des tigres de Sumatra - avril 2016 |
Sur la droite de ce
dernier, visible au travers de hautes baies vitrées, se dresse un enclos de taille moyenne, composé d’un sol en terre et en herbe, ombragé par un grand arbre et doublé d’un fossé en eau. Cet espace est le lieu de vie d’un tigre de Sumatra (Panthera tigris sumatera). Nous allons alors traverser le palais, pour ar- river devant une autre baie vitrée, s’ouvrant sur une volière garnie de hauts arbres touffus. Cet enclos est le lieu de vie de gibbons à mains blanches (Hylobates lar) et de porcs épics indiens (Hystrix indica). |
Marché indien - avril 2016 - avril |
Temple des tigres - avril 2016 |
Ambiance dans le temple indien - avril 2016 |
Enclos des gibbons - avril 2016 |
Nous quittons alors le palais indien pour ga- gner une zone plus montagneuse, où la végé- tation se fait aussi plus rare. Sur la gauche de l’allée, une palissade de rondins de bois délimite un enclos minéral au sol recouvert de cailloux, agrémenté de quelques rares yuccas. Cette steppe asiatique héberge des yacks (Bos grunniens), des gaurs (Bos gaurus), des cerfs axis (Axis axis) et des nilgaus (Boselaphus tragocamelus). |
Enclos des ongulés asiatiques - avril 2016 |
Enclos des lions - avril 2016 |
Sur la droite, face aux bovidés, un enclos en herbe, agrémenté d’un arbre de petite taille, est entouré de hauts murs et consacré à une troupe de lions d’Asie (Panthera leo persica). En contrebas des lions, adossée aux fonda- tions du palais, on peut observer une pres- qu’ile en herbe, au sol pentu se terminant par un large fossé en eau. Cet enclos de grande taille est le lieu de vie de tigres (Panthera tigris), dont un tigre blanc. |
Nous continuons alors la visite pour entrer sous un auvent en bois, fortement ombragé. Face à nous, une vitre s’ouvre sur les fos- sés en eau de l’enclos des tigres. Sur la droite de cet enclos, un grand viva- rium vitré en façade se compose d’un grand bassin en aqua-vision et d’une plage en sable agrémentée de rares papyruss. De rares crocodiles du Siam (Crocodylus siamensis) sont présentés à ce niveau. |
Enclos des crocodiles du Siam - avril 2016 |
Enclos des loutres - avril 2016 |
Face aux reptiles,
une ouverture dans le mur permet d’observer un grand bassin à l’arrière duquel s’étend un enclos en sable agrémenté de petites collines et de rochers. Le visiteur retrouvera cet enclos plus tard. Le visiteur ressort alors de l’auvent pour traverser les bambous. Sur la droite du sentier de visite, le visiteur découvre un enclos en sable agrémenté d’un bassin percé d’une vitre. Des racines complètent les décors de cette installation occupée par des loutres naines (Aonyx cinerea). |
Le visiteur continue
alors sa visite pour ar- river au niveau d’une passerelle en bois. Cette dernière traverse un ensemble de 3 enclos qui peuvent être mis en commun entre eux ou au contraire divisés. Le premier situé sur la droite, est entiè- rement en sable et fait de cailloux, une petite mare complète les décors. Cette plaine est le lieu de vie de cerfs sambars (Rusa unicolor), de cerfs de Duvaucel (Rucervus duvaucelii) et d’antilopes cervicapres (Antilopa cervicapra). |
Plaine des cervidés - avril 2016 |
Plaine des rhinocéros - avril 2016 |
Accolé à la plaine des cerfs, se trouve un second enclos du même type, dont le bas- sin est plus grand. Ce dernier est le lieu de vie d’un rhinocéros indien male (Rhinoceros unicornis). Sur la gauche de la passerelle en revanche, on peut observer la partie terrastre de l’en- clos que l’on a aperçu depuis l’auvent. Ce dernier complète le complexe des rhinocé- ros indiens (Rhinoceros unicornis) et voit cohabiter la femelle et son jeune, avec des nilgaus (Boselaphus tragocamelus). |
Le sentier offre alors plusieurs points de vision sur ces enclos, pour remonter une pente avant d’arriver vers un enclos pentu, au sol en herbe, traversé par un ruisseau, doté d’un bassin et de quelques troncs d’arbres couchés. Une baie vitre permet d’admirer cette instal- ation occupée par une meute de dholes (Cuon alpinus). Un second point de vision s’offre alors aux visiteurs, avant que ces der- niers ne débouchent sur un carrefour où nous allons bifurquer sur la droite. |
Enclos des dholes - avril 2016 |
Volière des roussettes - avril 2016 |
Cette allée longe, sur la droite, une ancienne cage à gros barreaux, dont les parois on été recouvertes d’un grillage à mailles fines. Cette volière est densément plantée, agré- mentée de nombreux buissons et de bran- ches mortes. Une colonie de chauves souris de Lyle (Pteropus lylei) y cohabite avec des faisans d’Edwards (Lophura edwardsi) et des loris noiras (Lorius garrulus). |
A l’extrémité de cette volière, nous allons alors tourner sur la droite, pour entrer dans une vaste aire de jeux. Divers enclos s’organisent tout autour de cet espace où divers toboggans, tyroliennes, et autres structures d’escalade font la joie des en- fants. Le premier enclos que nous pouvons y voir est un enclos en herbe entouré d’nu haut grillage. Il présente un petit groupe d’émeus (Dromaius novaehollandiae). |
Enclos des émeus - avril 2016 |
Enclos des siamangs - avril 2016 |
Dans le
prolongement des ratites, nous al- lons retrouver les plaines du rhinocéros mâle et des cervidés. Cette configuration n’offre cependant que très peu de zones de retrait aux animaux, leur enclos étant en- cerclé par les chemins de visite. Enfin, plus loin, accolé aux fondations du palais indien, on trouve un enclos en herbe, en pente, entouré de hauts murs percés de baies vitrées. Plusieurs palmiers et structures d’escalade en bois agrémentent cet ensemble occupé par une famille de siamangs (Hylobates syndactylus). |
Nous allons alors traverser l’aire de jeux pour revenir au carrefour jouxtant l’instal- lation des chauves souris. Là, nous allons continuer tout droit, de sorte à emprunter la dernière allée, qui nous permet de quit- ter la section asiatique, pour retrouver l’avant dernière section du zoo à savoir l’Europe. |
Aire de jeux - avril 2016 |
Ce sentier est bordé par des ruines repré- sentant des temples grecs et nous conduit vers un village grec recréé. Au milieu de ces maisons blanches aux toits bleus, le visiteur pourra profiter de divers points de restauration et de plusieurs boutiques. A l’extrémité de ce village nous pouvons soit tourner sur la droite et rejoindre l’es- pace aquatique de Terra Natura Benidorm, soit emprunter le sentier de gauche de sorte à poursuivre notre découverte animalière. |
Village grec - avril 2016 |
Mini ferme - avril 2016 |
Au bout de quelques dizaines de mettre,
un potager a été créé sur la gauche tandis que sur la droite une porte nous invite à entrer dans un enclos de contact en terre, bordé de granges agricoles. Cet espace de contact constitue la « Granja de Europa », la mini ferme européenne où vivent des ânes nains (Equus asinus domesticus), des chèvres naines (Capra hircus), des moutons (Ovis aries domesticus), des poules Sussex (Gallus gallus domesticus), des dindons (Meleagris gallopavo domesticus). |
Village grec - avril 2016 |
Enclos des ânes - avril 2016 |
Deux
boxes accueillent pour leur part des lapins nains (Oryctolagus caniculus domesticus) et des cobayes (Cavia porcellus domesticus). Le visiteur ressort alors de cette zone de contact pour traverser une zone à la vé- gétation méditerranéenne très développée avant d’arriver devant un sas d’entrée in- stallé sous une cabane en pierres. Ce sas nous permet de rejoindre un second enclos de contact traversé par une rivière, les bords étant plantés de nombreux lauriers roses. |
Enclos des ongulés d'Europe - avril 2016 |
Enclos des ongulés d'Europe - avril 2016 |
Cet enclos relativement vaste est le lieu d’une cohabitation entre des daims (Dama dama), des cerfs élaphes (Cervus elpahus), des mouflons (Ovis musimom). Le visiteur parcours alors cette étendue, pour en ressortir et déboucher sur la place centrale du zoo, là où sont présentées les statues d’in- sectes. C’est ainsi que s’achève la découverte de la partie européenne de Benidorm. |
Nous allons alors continuer la visite sur la droite de cette place, en direction du volcan, pour entrer au cœur de ce dernier qui abrite le vivarium du zoo. Le visiteur est alors plongé dans le noir, pour découvrir un ensemble de petits terrariums situés de part et d’autre du couloir. |
Grand volcan - avril 2016 |
Enclos des fourmis - avril 2016 |
Le
premier vivarium que nous
pouvons ob- server sur la droite, se compose d’une partie en eau de laquelle ressortent plusieurs mor- ceaux de terre reliés entre eux par des bran- ches. Une colonie de fourmis mangeuses de feuilles (Atta cephalotes) y évolue tandis que des scalaires (Pterophyllum scalare) et des guppys (Poecilia reticulata) nagent dans la partie aquarium. Plus loin, nous entrons à proprement parler dans la grande salle du vivarium. Sur la droite, on peut observer un ensemble de 2 terrariums accolés au sol en sable, agré- mentés de souches et de quelques plantes vertes. |
Le premier est occupé par des vipères am- modytes (Vipera ammodytes) tandis que le second présente des serpents mangeurs d’œufs (Dasypeltis atra). Sur la gauche, on peut observer un ensemble de 3 vitrines renfermant chacune 3 boules vitrées. Ces dômes forment de petits enclos destinés aux arachnides. Ils disposent tous d’un sol en sable, de quelques rochers et de cactus. |
Ambiance dans le vivarium - avril 2016 |
Terrarium pour mygale - avril 2016 |
Dans l’ordre de visite on pourra y admirer : mygale à pattes rouges (Brachypelma smithi) ; millipède géant (Archispirostreptus gigas) ; mygale saumonnée (Lasiodora parahybana) ; mygale rouge et blanche (Nhandu vulpinus) ; mygales à genoux blancs du Brésil (Acanthoscurria geniculata) ; mygale de Porter (Grammostola porteri) ; scorpion noir d'Asie (Heterometrus longimanus) ; scorpion d’Arizona (Hadrurus arizonensis) ; scorpion empereur (Pandinus imperator). |
Le visiteur arrive alors dans le second couloir du vivarium et peut observer, sur la droite, deux terrariums mitoyens. Le premier au sol en sable est agrémenté de terrasses en rochers et héberge des héloder- mes du Mexique (Heloderma horridum). Le second au sol en mousse est planté de quelques ficus et abrite un caméléon panthère (Furcifer pardalis). Une pause est alors mar- quée dans la présentation des reptiles. |
Ambiance dans le vivarium - avril 2016 |
Terrarium pour serpent - avril 2016 |
En effet, une
vitrine pédagogique les différents poisons et espèces toxiques qui peuplent notre planète. Suite à cette vitrine, on peut observer un vaste terrarium, agrémenté de faux rochers et de branches, dans lequel évolue un mamba noir (Dendroaspis polylepis). Sur la gauche on retrouve, à hauteur d’homme, une succession de vivariums de grande taille séparés l’un de l’autre par une distance d’au moins 50 centièmtres. Ces derniers disposent d’un sol en mousses ou en feuilles mortes et sont agrémentés de branches et de fougères de sorte à recréer un environnement de forêt tropicale. |
Dans l’ordre de visite on pourra y voir : vipère du Gabon (Bitis gabonica), cobra à monocle (Naja kaouthia), python vert (Morelia viridis), vipère rhinocéros (Bitis nasicornis). Les deux terrariums qui suivent tranchent avec les précédents puisqu’ils représentent un milieu désertique avec son sable et ses rochers. Le premier est occupé par des monstres de Gila (Heloderma suspectum) tandis que le second est le lieu de vie de vipères hertantes (Bitis arietans). |
Exemple de vivariums - avril 2016 |
Exemple de terrarium - avril 2016 |
Enfin, le dernier grand terrarium
de cette allée, renoue avec les premiers et représente une forêt tropicale consacrée à une vipère du Mont Mangh (Zhaoermia mangashanensis). C’est avec ce serpent que se termine la série des vivariums situés sur la gauche du couloir. De retour sur la droite, on peut alors observer 3 terrariums à la végétation dense, installés cote à cote et agrémentés de quelques bran- ches. Le premier de ces vivariums est le lieu de vie de serpents à nez en feuille de Madagascar (Langaha madagascariensis), le second héberge des crotales des bambous à lèvres blanches (Trimeresurus albolabris) tandis que le dernier présente des serpents lianes bruns (Oxybelis aeneus). |
Nous continuons alors la découverte du cœur du volcan, pour retrouver, sur la gauche, une succession de 3 tables supportant divers vi- variums. La première série compte 3 bacs densément plantés et à l’atmosphère humide, consacrés à des batraciens à savoir : dendrobates bleus (Dendrobates azureus), dendrobates à tapirer (Dendrobates tinctorius) puis den- drobates dorés (Dendrobates aureus). |
Exemple de terrarium - avril 2016 |
Vipère rhinocéros - avril 2016 |
La rangée
suivante récrée pour un sol de forêt tropical tapis de feuilles mortes. Dans l’ordre de visite on pourra admirer des crapauds du Paraguay (Bufo paracnemis), des grenouilles mousses (Theloderma corticale) ou encore des crapauds cornus du Brésil (Ceratophrys cornuta). Enfin, sur la dernière table, les vivariums re- présentent des landes au sol en sable, garnies de quelques rochers et autres graminées. Les animaux peuplant respectivement chaque bac sont : serpent faux corail (Lampropeltis sinaloe), des crotales du Sri Lanka (Trimeresurus trigonocephalus) puis des vipères à cornes d'Afrique du Sud (Bitis caudalis). |
Face aux serpents,
la pièce
compte encore 4 vivariums. Le premier recréer une grotte désertique agrémentée de sable et de ro- chers. Des vipères à cornes (Cerastes cerastes) y ont été installés. Les 2 vivariums suivant sont plus végétalisés et agrémentés de quelques rochers et bran- ches en bois. On pourra y voir des serpents lianes (Oxybelis fulgidus) puis des pythons tapis des Indes (Morelia cheynei). |
Serpent liane brun - avril 2016 |
Vipère du Mont Mangh - avril 2016 |
Enfin, des mocassins à tête cuivrée (Agkistrodon contortrix) évoluent au milieu d’écorces et de plantes. Le visiteur quitte alors le vivarium pour traverser un couloir abritant le noctarium du zoo. Ce dernier, de petite taille, com- pte 5 loges intérieures agrémentées de terre, de sciures et de branches mortes. |
Dans l’ordre de visite et à raison d’une espèce par enclos, on découvrira : des chinchillas (Chinchilla lanigera), des scorpions empereurs (Pandinus imperator), des basilics à crête (Basiliscus plumifrons), des hérissons à longues oreilles (Hemiechinus auritus) puis des pythons royaux (Python regius). |
Loge des chinchillas - avril 2016 |
Statue d'insecte - avril 2016 |
Le visiteur ressort alors du volcan et se re- trouve à l’air libre sur la place où se dres- sent les statues des insectes. Nous gagnons alors une boutique située sur la gauche de cette place, avant de quitter le zoo. C’est ainsi que se termine la découverte du zoo de Benidorm. |
asiatique et sud américaine. Cette orientation est complétée par un impressionnant vivarium abritant de nombreuses espèces de reptiles vénimeux dont certaines sont peu courantes en captivité en Europe. |
Tigre de Sumatra - avril 2016 |
Dhole - avril 2016 |
Les décors sont
particulièrement soignés et le Une visite de l’ordre de 6 heures est
à prévoir |
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