Zoo Aquarium de Madrid Casa de Campo 28011 Madrid Espagne Tel : +34 902 345 014 www.zoomadrid.com |
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Les horaires sont très variables, il est nécessaire de consulter le site du zoo. Généralement : Eté : 10h30 à 19h00 Hiver : 11h00 à 16h00 |
Tigre doré - novembre 2017 |
Sur la gauche de l’enclos, une avancée nous conduit vers une volière ancienne, ombragée par quelques hauts arbres. Au sein de la volière se développent de nombreux buissons complétés de branches verticales dont les ramifications font office de perchoirs aux grands ducs (Bubo bubo) qui y évoluent. Nous allons alors revenir sur nos pas pour contourner la volière des lynx et continuer la découverte du zoo. |
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Sur la droite de l’allée, se
dresse un
ancien bâtiment en béton, dont une partie a été réaménagée. Ce bâtiment est maintenant entouré de deux volières de taille moyenne. Chaque volière dispose d’un sol en herbe, d’un petit bassin, de quelques souches et de buissons. Ces volières sont consacrées à un mustélidé menacé, le vison d’Europe (Mustela lutreola). Tout autour de ce complexe, plusieurs panneaux pédagogiques rappellent la campagne de l’EAZA sur la protection des carnivores européens. |
Le
visiteur poursuit alors son avancée pour découvrir, sur la gauche, une grande fosse, au sein de laquelle des amas de terre for- ment une colline, quelque peu enherbée. Des pins et autres grands chênes ainsi que des rochers complètent les décors du ter- ritoire des loups gris (Canis lupus). Dans le prolongement de la fosse des loups, se trouve un plateau garni de faux rochers et de troncs morts, au sein du- quel évolue un groupe d’ours bruns (Ursus arctos). Un profond et large fossé sec délimite ce plateau qui dispose également d’un point d’eau. |
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Face à l’espace des ours, le visiteur tourne sur la droite, pour franchir un autre pont et arriver au niveau d’une intersection où nous allons continuer la visite sur le chemin le plus à droite. Là, sur la gauche du sentier, se dresse un enclos typique des installations du zoo de Madrid. Ce dernier, relativement long, est bordé par un fossé en eau qui marque la sépa- ration entre les visiteurs et les animaux. |
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Cet enclos en sable est doté à chaque extrémité d’un bâtiment bétonné, dont les portes alignées en façade s'ouvrent sur les boxes intérieurs. Cet espace est le lieu de vie de bisons d’Europe (Bison bonasus) et de sangliers ibériques (Sus scofra castillianus). La visite continue alors sur cette allée pour retrouver le rocher des bouquetins des Pyrénées (Capra pyrenaica) et achève ainsi la découverte de la zone consacrée aux espèces locales. |
Nous traversons alors la grande place de l’entrée, de sorte à rejoindre une grande prairie paysagée au centre de laquelle s’étend un point d’eau de profondeur moyenne. Des zones en herbe et des rochers com- plètent les décors de la lagune des flamants de Cuba (Phoenicopterus ruber) qui cohabitent ici avec des cigognes blanches (Ciconia ciconia). |
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Le sentier de visite encercle alors cette étendue verte, pour arriver devant le complexe aquatique du zoo de Madrid. Ce dernier, situé sur la droite de l’allée, compte trois enclos distncts. Les deux premiers sont entourés de faux rochers, faisant office de séparation avec le public. Chaque enclos dispose d’un grand et profond bassin central entouré de plages rocailleuses. |
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L’enclos le plus grand est occupé par des phoques gris (Halichoerus grypus) tandis que le plus petit héberge une colonie de manchots du Cap (Spheniscus demersus). Enfin, le dernier enclos de ce complexe est plus artificiel et se compose d’un grand bassin entouré de plages en béton. Un spectacle y est donné plusieurs fois par jour en fonction de l’affluence. Au cœur de ce complexe, nous pouvons ob- server un groupe d’otaries de Patagonie (Otaria flavescens). |
Nous allons alors quitter le complexe
marin pour nous diriger légèrement sur la gauche en direction du prochain îlot d’enclos. Ce dernier a pour thème principal l’Asie. Ainsi, nous pouvons admirer le premier espace de cet îlot qui se compose d’un sol recouvert d’écorce, ombragé par trois grands arbres doublé d’un fossé en eau accessible aux animaux. Au fond de l’enclos on retrouve les anciens bâtiments de nuit typiques du parc. Cet es- pace est le lieu de vie de tapirs malais (Tapirus indicus). |
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Le visiteur continue alors sa visite sur la gauche de sorte à contourner l’îlot dans le sens des aiguilles d’une montre. A l’ar- rière de l’espace des tapirs se trouve un enclos en sable, planté de pins, qui ac- cueille un troupeau de cerfs du Père David (Elaphurus davidianus) qui coha- bitent avec des bernaches à cou roux (Branta ruficollis) et des oies naines à front blanc (Anser erythropus). Ces ana- tidés qui profitent du fossé en eau. |
Dans le prolongement de l’enclos des cervidés, se dresse un plateau en herbe, de surface moyenne. Ce dernier, légèrement valloné, est traversé par quelques structures d’escalade en bois et ombragé par de grands chênes. Il accueille depuis 2008 les pandas géants (Ailuropoda melanoleuca) du parc - seuls représentants de leur es- pèce en Espagne. Face aux pandas, en contrebas de l’allée, on retrouve l’aire de jeux visible au niveau de l'entrée ainsi que l’installation des bouquetins des Pyrénnées (Capra pyrenaica). |
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Plus loin sur la gauche de l’allée, nous pouvons encore observer 3 enclos ap- partenant à l’îlot des ongulés – qui regroupait les bouquetins et les bisons d’Europe. Ces trois enclos sont tous aménagés suivant le même schéma à savoir un fossé en eau séparant les animaux des visiteurs, un plateau en sable et de hauts pins dont les troncs ont été pro- tégés. |
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Le premier enclos présente une harde de rennes (Rangifer tarandus), le second enclos est le lieu de vie de daims (Dama dama) tandis que le dernier qui marque la jonction entre le plateau des daims et celui des bisons accueille des cerfs ibériques (Cervus elaphus hispanicus). |
Face au second enclos, se dresse une petite maison dont l’intérieur est visible à travers une vitre. Cette maison est agrémentée de nombreuses branches et cordes et est reliée à un ensemble de deux îles au sol en herbe, reliées entre elles par des structures en bois, en cor- des et en tuyaux d’incendie. Ce complexe est occupé par un grand groupe de capucins bruns (Cebus apella). |
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Nous allons revenir quelque peu sur nos pas, pour terminer la découverte de l’îlot asiatique. Au niveau du plateau herbeux du panda géant (Ailuropoda melanoleuca), nous tournons sur la gauche pour laisser le plateau de l’ursidé sur la droite tandis que sur la gauche se trouve un enclos de grande taille, au sol en sable, agrémenté d’amas de troncs et de rochers. Cet enclos qui reste dans le thème de l’îlot est consacré à des takins de Mishmi (Budorcas taxicolor). |
Au bout de cette allée, une grande arche de style chinois marque la fin de cet îlot. Sur la droite du sentier nous retrouvons l’installation des tapirs malais (Tapirus indicus) tandis que la gauche, se trouve une structure relativement grande, au sol recouvert d’écorces, ombragée par des pins et agrémentée d’un bassin. Cet espace est consacré à un rhinocéros indien (Rhinoceros unicornis). |
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Le visiteur
contourne alors le premier enclos des rhinocéros sur la droite. Dans le prolongement de ce dernier, se trouve une seconde structure du même type, à la surface plus grande, aménagée selon les mêmes critères, entourée d’un fossé en eau, formant le bassin des animaux et d’une cloture décorée représentant une palissade de bambous. Au centre de l’enclos, une palissade permet de le séparer en deux sec- tions distinctes. Ce second enclos accueille le second rhinocéros indien (Rhinoceros unicornis) du parc. |
Face à ces
mastodontes, on retrouve le complexe des otaries sur la gauche duquel un porche nous invite à entrer dans « La Pequeña Granja » (La petite ferme). Une fois entré dans cet espace où le bois est à l’honneur aux cotés des couleurs vives, le visiteur fait face à une première volière octogonale. Cette dernière au sol en sable, est agrémentée de bottes de paille, et d’amas de branches et héberge des chouettes effraies (Tyto alba). |
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Nous allons alors nous diriger sur la droite, pour silloner entre plusieurs enclos tous entourés de palissades de bois. Ces enclos, consacrés aux animaux de la ferme disposent d’un sol en sable et en terre et sont om- bragés par les arbres alentours. Le premier, situé sur la gauche de l’al- lée est le lieu de vie de moutons (Ovis aries). Sur la droite, se dresse une piste où les enfants peuvent s’adon- ner à l’équitation. |
Mitoyen à l’enclos des moutons se
trouve un espace octogonal entouré d’un muret jaune surmonté d’un toit. Cet enclos au sol bétonné est agré- menté de souches de bois et présente des lapins (Oryctolagus caniculus). Le sentier traverse alors l’étable de la mini ferme. Cette grange en bois, est composée de plusieurs boxes situés de part et d’autre de l’allée. Ces boxes sont tous paillés et accueillent les poneys (Equus caballus), moutons (Ovis aries) et cochons (Sus scofra) de la mini ferme. |
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A noter que les races présentées ici sont d’origine espagnole. Nous quittons alors l’étable pour longer, sur la droite, l’enclos extérieur des cochons formé d’une plateforme en béton et d’un bac de sable où les suidés peuvent pratiquer leur activité favorite, la recherche de glands. Plus loin, un autre parc en sable, ombragé par des pins, est occupé par des ânes (Equus asinus). |
Face à ces équidés,
se
dresse une haute volière entourée de hauts murs et re- couverte d’un filet. Cette volière traversée par de nombreux fils et des bottes de paille est le lieu de vie d’une colonie de faucons crécerellettes (Falco naumanni). Nous continuons notre avancée à l’arrière de la volière des rapaces, où se dressent trois volières octogonales. Ces volières au grillage épais, bénéficient d’un sol bétonné, d’un bac de sable et de nombreux perchoirs en bois. |
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La première est le lieu de vie de
poules dorées (Gallus gallus), la seconde pré- sente des pigeons capucins (Columba livia domesticus) tandis que la dernière est consacrée à la race de poules (Gallus gallus) locales la Cara Blanca. Le visiteur revient alors devant l’entrée de la mini ferme. Avant de quitter cet espace, nous allons bifurquer sur la droite, pour admirer un bâtiment vitré en façade, abritant les cages d’élevage, les couveuses et les éleveuses du zoo. Des poussins (Gallus gallus) animent l’ensemble. |
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Jouxtant la
nursery on trouve un vaste enclos en sable, au sein duquel le vi- siteur peut entrer pour caresser les chèvres naines (Capra hircus) qui y évoluent. Face aux chèvres, on trouve un parc en sable, occupé par des chevaux (Equus caballus), tandis qu’une fosse agrémentée d’une plage rocheuse et d’un bassin présente des tortues de Floride (Trachemys scripta). C’est ainsi que s’achève la découverte de la mini ferme du zoo de Madrid. |
De retour sur l’allée
principale, nous allons nous diriger sur la droite, pour laisser l’îlot des rhinocéros indiens (Rhinoceros unicornis) derrière nous et contourner un complexe dont l’ar- chitecture ancienne témoigne des présentations passées. Cet îlot se compose d’un bâtiment central en béton, entouré de cinq fosses en béton. Des troncs d’arbres et un bassin apportent un coté na- turel à l’ensemble. Les deux pre- mières fosses sont consacrées à des ours malais (Helarctos malayanus). |
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La troisième fosse qui est plantée de quelques buissons est le lieu de vie de ratons laveurs (Procyon lotor). Des ours baribals (Ursus americanus) évoluent sur le quatrième plateau tan- dis que le dernier est consacré à des ours du Tibet (Ursus thibetanus). |
Sur la droite du complexe des ours un chemin nous amène sur la droite, à l’abri d’un auvent, sous lequel une baie vitrée s’ouvre sur un enclos de taille moyenne, au sol en terre, traversé par une rivière se jetant dans un bassin et agrémenté de buissons et de nombreux arbres offrant des possibilités d’es- calade. Cette structure est le lieu de présentation de lynx d’Europe (Lynx lynx). |
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En quittant l’auvent, nous découvrons, sur la droite, derrière de hauts murs en béton, doublés d’un large fossé en eau, un ensemble de terrasses au sol en her- be, agrémentées de quelques arbres et offrant un accès au bassin. Ce complexe forme l’enclos des tigres (Panthra tigris) du zoo de Madrid. Le visiteur pourra admirer deux formes d’anomalies génétiques, puisqu’un tigre blanc cohabite avec un tigre doré. |
A l’extrémité du plateau
des éléphants, nous pouvons bifurquer sur la gauche pour contourner ce dernier et revenir vers le complexe des cervidés. Nous al- lons pour notre part continuer la visite tout droit, pour gagner un îlot consacré à l’Amérique du Sud. Avant de gagner cet espace, nous pou- vons observer, sur la gauche, un pla- teau en sable, au centre duquel se dresse une fourmilière artificielle. Cet espace au fond duquel se dresse un bâtiment bétonné est entouré d’un fossé en eau et présente un groupe de bisons d’Amérique (Bison bison). |
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Face à ces ruminants, se dresse le pre- mier enclos sud américain qui forme une larme enherbée, planté de hauts arbres et d’herbes de la pampa et oc- cupé par un tamanoir ou fourmilier géant (Myrmecophaga tetradactyla). Dans le prolongement de cette prairie se dresse le bâtiment de nuit de ces édentés, composé de deux loges car- relées agrémentées de quelques troncs. |
C’est ainsi que sur la droite, on peut observer un grand enclos en pente légère, descendant vers l’installation des foumiliers. Au bas de cette installation on trouve un bassin accessible aux habitants de la plaine sud américaine qui profitent également de quelques rochers et d’arbres. |
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Au sein de cet enclos on peut voir co- habiter des tapirs terrestres (Tapirus terrestris), des guanacos (Lama guanicoe), des cabiais (Hydrochaeris hydrochaerus), des maras (Dolichotis patagonum), des fourmiliers (Myrmecophaga tetradactyla) et des nandous (Rhea americana). |
Quelques ouettes d’Egypte (Alopochen aegyptiacus) profitent du bassin. Face à cette plaine, on découvre, à proximité de l’allée, un plateau où le sable alterne avec l’herbe et les ro- chers. Ce plateau est le lieu de vie de bongos (Tragelaphus eurycerus) qui évoluent aux cotés de tadornes casarcas (Tadorna ferruginea). |
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Jouxtant cet espace relativement sec se dresse un autre enclos en pente douce, au sol recouvert d’une épaisse couche de sable et de gravier, agrémenté de troncs couchés et de buissons morts. Ce vaste espace est le lieu de vie d’une colonie de suricates (Suricata suricatta). |
Nous allons continuer notre
avancée entre la plaine sud américaine et la zone consacrée à l’Afrique, pour obser- ver, sur la gauche, un vaste enclos en pente douce, agrémenté de nombreux rochers, palissades en bois et de quel- ques arbres. Cette installation forme la plaine afri- caine du zoo occupée par des girafes de Rotschild (Giraffa cameopardalis rotschildii), des gnous à queue blanche (Connochaetes gnu), des zèbres de Grant (Equus quagga boehmi), des ga- zelles dorcas (Gazella dorcas neglecta), des dromadaires (Camelus dromedarius) et des autruches (Struthio camelus). |
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Au bout de l’allée, nous
arrivons au ni- veau d’un carrefour. En empruntant le sentier le plus à droite, nous longeons la plaine sud américaine pour revenir devant l’enclos des éléphants (Elephas maxima). En optant pour le second sentier, nous revenons vers l’espace des tigres (Panthera tigris). |
Entre ces deux allées a été érigé un en- clos en herbe, de forme ronde, au cen- tre duquel se dressent plusieurs stru- ctures d’escalade en bois et en cordes. Cette installation est le lieu de vie d’un groupe de varis noirs et blancs (Varecia variegata). |
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En choisissant
l’allée la plus à gauche, nous bordons la plaine des girafes. Nous allons pour notre part nous diriger face à nous, de sorte à faire front à une baie vitrée s’ouvrant sur une volière de taille moyenne. Au premier plan, le sol est recouvert d’un tapis de faux gazon, tandis qu’à l’arrière de la volière on trouve un sol en terre, agrémenté de troncs, de bambous et de plateformes en bois. Cette volière est le lieu de présentation de panthères (Panthera pardus). |
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Au niveau de cet enclos nous bifurquons sur la gauche de sorte à découvrir un grand enclos séparé du sentier de visite par un profond fossé en eau. Délimitant un plateau escarpé, composé de plu- sieurs terrasses où le béton se marie avec la terre et l’herbe du sol. Quelques arbres apportent un peu d’om- bre à cet ensemble consacré à des lions (Panthera leo). |
Le visiteur amorce alors la descente de cette colline en découvrant sur la gauche de l’allée, un enclos en pente douce, om- bragé par des pins et creusé d’un bassin. Cet enclos forme la plaine des montagnes asiatiques représentées par un groupe de yacks (Bos grunniens) qui cohabitent avec des chameaux (Camelus bactrianus). Le chemin sillone autour de cet enclos en contrebas duquel se dresse un autre plateau séparé en deux zones en herbe, agrémentées d'un bassinpour l'une et d’un bac de sable pour l'autre. Des amas de rochers complètent les décors de ce qui forme le complexe des hippopotames (Hippopotamus amphibius). |
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Là encore, l’allée serpente autour de cet enclos tout en continuant sa descente. Pour découvrir, en contrebas de l’enclos des hippopotames, un autre plateau en sable, entouré de fossés secs. Au cœur du plateau, on distingue quel- ques arbres et une marre de boue. Un groupe de gazelles dorcas (Gazella dorcas) s’y ébat aux cotés d’imposants rhinocéros blancs (Ceratotherium simum). |
Au bout de l’allée passant entre les deux espèces de mastodontes africains, sur la droite de l’épingle, le visiteur peut obser- ver une grande fosse bétonnée. Cette fosse remontant en escalier est agré- mentée de nombreux rochers et de souches mortes. Une bruyante troupe de babouins de différentes souches (Papio sp.) y évolue. |
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Le visiteur poursuit alors sa descente pour se retrouver en contrebas du plateau des rhinocéros blancs, avant d’arriver devant un autre enclos en terre, creusé d’un bassin et d’un fossé en eau, et disposant d’une zone re- créant une petite forêt. Cet enclos est le lieu de vie de sita- tungas (Tragelaphus spekei). |
Enfin, dans le prolongement de la forêt des sitatungas, on peut observer, en- touré par de hauts arbres formant une haie, un enclos de taille moyenne, au sol en terre, creusé d’un bassin de taille moyenne. Cet enclos est doublé d’une maison vitrée sur toutes ses faces. Des tortues léopards (Geochelone pardalis) y cohabitent avec des tortues géantes des Seychelles (Geochelone gigantea) et des tortues à éperons (Geochelone sulcata). |
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A la suite de l’enclos des tortues, le vi- siteur se retrouve sur une grande place, sur la droite de laquelle se dresse un restaurant ainsi qu’une terrasse et une aire de jeux. L’allée située face à nous, nous conduit vers l’enclos des bisons d’Amérique (Bison bison) et l’enclos des bongos (Tragelaphus eurycerus). |
A ce niveau, nous allons bifurquer
à 90 degrès sur la gauche, de sorte à longer la maison des reptiles, qui dispose d’un sol en sable. Face aux tortues, se trouve un grand enclos entouré de murs de couleur verte surmontés de vitres. Cet enclos compte deux grands bassins reliés entre eux par une cascade. Ces bassins sont jouxtés par une plage en sable, de bonne surface, plantée de bambous et de souches. Cet espace est le lieu de vie d’une famille de loutres du Brésil (Pteronura brasiliensis). |
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Un passage sous terrain permet aux loutres de rejoindre leur loge intérieure, située sur la gauche de l’allée, au sol en sable, agrémentée de quelques stru- ctures d’escalade en bois. Face à nous, un escalier nous invite à gagner un couloir abrité des intempéries, contour- nant un enclos extérieur en pente légère, au sol en herbe, agrémenté de monticules rocheux, de quelques arbres et de massifs de bambous. |
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