Stichting Apenheul J.C. Wilslaan 21 7313 HK Apeldoorn The Netherlands Tel: +31 (0) 553 57 57 57 www.apenheul.nl |
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Du 22 mars au 31 juin : 10h00 à 17h00 Du 01 juillet au 30 aout : 10h00 à 18h00 Du 01 septembre au 31 octobre : de 10h00 à 17h00 Le parc est fermé de novembre à mars. |
![]() Coati à nez blanc - septembre 2010 |
![]() Titi roux - septembre 2010 |
Tarifs individuels Adultes : 18,50 € Enfants (3 à 9 ans) : 15,50 € Tarifs groupes Adultes : 15,50 € Enfants (3 à 9 ans) : 12,50 € Scolaires : 8,00 € |
Une fois
l'entrée du zoo franchie, le visiteur est invité à
prendre un sac fermé pour y mettre tous ses bagages. Le zoo a été construit dans une vaste forêt de feuillus. La visite débu- te sur la gauche. Un premier pont éléctrifié marque l'entrée du premier enclos de contact, mode de présentation très répan- du à Apenheul. Ce premier enclos, qui est aussi le plus imp- ressionnant est le territoire des deux troupes de saïmiris à cas- que noir (Saimiri boliviensis) du zoo. Plus de 130 individus composent les deux groupes, dont un de taille importante qui regroupe près de 100 singes. Une famille de 30 animaux a quitté Apenheul en 2010, pour rejoindre le zoo d'Amnéville. Le territoire des saïmiris se compose d'une grande forêt où se cotoient chênes, hètres et bambous. Une grande maison abrite les loges de nuit des animaux. |
![]() Territoire des saïmiris - septembre 2010 |
![]() Ile des capucins - septembre 2010 |
Au détour du sentier, sur
la droite, le visiteur découvre un petit enclos naturel, agrémenté de fougères et de rochers, et qui est consacré à un groupe de cochons d'Inde sauvages (Cavia aparea). En poursuivant sa visite, le visiteur peut observer sur sa gauche, une île de taille moyenne, densément végétalisée et agrémentée de structures en bois et de cordages. Cette installation est le lieu de vie d'une famille de capucins à poitrine jaune (Cebus xantosthernos). Mitoyen aux capucins, une seconde île de grande taille, plantée de grands arbres reliés entre eux par des structures d'escalade en corde, et agrémentée de rochers et de bambous, est consacrée à l'élevage de singes hurleurs noirs (Alouatta caraya). Un dernier enclos, quelque peu dissimulé par la végétation est occupé par un couple de nandous de Darwin (Pterocnemia pennata). |
Le visiteur quitte alors le territoire des saïmiris, pour arriver au niveau d'un nouveau restaurant, ouvert en 2010. Au niveau de la terrasse du restaurant, on trouve divers panneaux pédagogiques sur les batraciens sud amé- ricains et sur les menaces qui pèsent sur eux. En face de la terrasse, un petit enclos, séparé du visiteur par une palissade métallique, planté de nombreux arbres, est occupé par le plus important groupe de coatis à nez blancs (Nasua narica) d'Europe. Cette espèce reste très peu courante en captivité. Le visiteur dispose alors d'un nouveau point d'observation sur l'île des singes hurleurs, avant de quitter la zone sud américaine. |
![]() Enclos des coatis - septembre 2010 |
![]() Ile des singes hurleurs - septembre 2010 |
![]() Enclos des cobayes - septembre 2010 |
![]() Territoire des saimiris - septembre 2010 |
![]() Maison des saimiris - septembre 2010 |
Mise à
jour suite à ma visite du 30 aout 2011: Les nandous de Darwin qui étaient jusqu'alors présentant dans un enclos situé à la sortie du territoire des saïmiris, sont désormais présentés en liberté avec ces petits singes. Leur enclos a été conservé pour les main- tenir en espace fermé lors de la période de reproduction ou durant la nuit. Au niveau du ponton qui permet de contourner la zone de contact des singes écureuils, un petit enclos de type forestier est occupé par une famille de dindons (Meleagris gallopavo). Le groupe de coatis a été pour sa part fortement réduit. |
![]() Ile des dindons - aout 2011 |
Le visiteur traverse alors un
nouveau pont éléctrifié, frontière de la zone malgache du parc. Il fait alors face à une grande volière. Cette volière à l'herbe haute, agrémentée de troncs d'arbre et agrémentée de rochers, est le lieu d'une cohabitation originale entre des propithèques couronnés (Propithecus verreauxi coronatus), des happalémurs du lac Alaotra (Hapalemur griseus alaotrensis) et de pintades vilturines (Acryllium vulturinum). Le visiteur se dirige ensuite vers une zone sauvage, organisée autour d'une marre, bordée de nombreuses plantes des marais tels les roseaux. Une autre partie est plantée de conifères et de feuillus. Des statues représentant les ancètres des lémuriens, ainsi que des maisons typiquement malgaches sont disséminées le long du sen- tier de visite. |
![]() Volière des propithèques - septembre 2010 |
![]() Territoire des lémuriens - septembre 2010 |
Cinq espèces de lémuriens évoluent en liberté dans cette partie du parc. On peut donc y observer des makis cattas (Lemur katta), des makis varis noirs et blancs (Varecia variegata), des makis varis roux (Varecia rubra), des lémurs bruns (Eulemur rubriventer) et des lémurs aux yeux turquoises (Eulemur flavifrons). Une animation a lieu plusieurs fois par jour à cet endroit. De plus, une école permet d'accueillir les groupes scolaires. Le visiteur quitte alors le territoire malgache. |
![]() Village malgache - septembre 2010 |
![]() Territoire des lémuriens - sepembre 2010 |
![]() Pintade vilturine - septembre 2010 |
![]() Propithèque couronné - septembre 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 30 aout 2011: Le premier sentier a été fermé, le visiteur doit désormais passer devant la maison et l'île des bonobos pour découvrir la zone de nourrissage des lémuriens où se déroule chaque jour une animation. |
![]() Territoire des lémuriens - aout 2011 |
La suite de la visite le conduit vers une grande île, plantée de nombreux arbres, agrémentée d'agrès en bois, alternant herbe rase, herbe haute et zone de buissons. Le visiteur la longe pour avoir différents points de vision et arriver au bâtiment qui lui est accolé. Le batiment, visible à travers de larges baies vitrées, se compose de plusieurs loges au sein desquelles ont été installées des cordes, des branches et des structures d'escalade, disposent d'un sol en paille artificielle. Cette grande installation est consacrée à une espèce d'anthro- poïdes peu représentée en captivité, les bonobos (Pan paniscus) |
![]() Ile des bonobos - septembre 2010 |
![]() Maison des bonobos - septembre 2010 |
Les
bonobos à Apenheul Kumbuka, femelle née en 1999 à Apenheul Jill, femelle née en 1985 Hortense, femelle née en 1978, arrivée en 2008 de Planckendael Zamba, mâle né en 1998 (fils de Hortense) Lingala, femelle née en 2003 (fille de Jill) Yahimba, femelle née en 2009 (fille de Kumbuka) Zuani, femelle née en 1990 (fille de Liboso) Liboso, femelle née en 1998 Makasi, mâle né en 2009, (fils de Zuani) Nayembi, femelle née en 2006 (fille de Liboso) Hongo, mâle né en 2006 (fils de Hortense) Mobikisi, mâle reproducteur né en 1981 |
![]() Ile des bonobos - septembre 2010 |
![]() Ile des bonobos - septembre 2010 |
Le visiteur poursuit sa visite en direction du restaurant d'Apenheul. En face de la terrasse, une grande volière est occupée par une colonie de loris arc en ciel (Trichoglossus haematodus). Sur cette place, on retrouve également la ferme du zoo d'Apenheul. Cette ferme se compose de divers bâtiments en bois, sur pilottis, représentant un village indonésien. Chaque cabane intègre une "mini-exposition" sur les cultures de différentes tribus. Au niveau du sol, les espèces domestiques élevées sont, des moutons du Cameroun (Ovis aries), des chèvres de Somalie (Capra hircus), des porcs laineux (Sus scofra). Une volière ac- cueille des poules naines (Gallus gallus), des canards (Anas anas) et des dindes (Meleagris gallopavo). Le visiteur ressort de la mini ferme pour se diriger vers la partie asiatique du parc. Un petit enclos boueux visible à partir d'une des terrassers de la mini ferme est occupé par un groupe de sangliers des Visayas (Sus cebifrons) |
![]() Volière des loris - septembre 2010 |
![]() Iles des orang-outans - septembre 2010 |
Derrière une
barrière de bambous, le visiteur découvre trois petites îles, plantée de nombreux troncs d'arbre, reliés par des cordages et des tuyaux. Ces îles peu végétalisées, sont consacrées à la présen- tation de l'espèce phare d'Apenheul, les orang-outans de Bornéo (Pongo pygmaeus pygmaeus). Le visiteur contourne les îles et l'étendue d'eau qui les entoure, par un chemin bordé de nombreux panneaux pédagogiques et de jeux ludiques sur les orang-outans. La visite le conduit dans la maison des orang-outans, grande bâtisse de conception ancienne, composée de plusieurs loges au sol en écorces, tendues de cordages et de troncs d'arbre. En ressortant de la maison, le visiteur découvre trois autres îles tout en longueur, tendues de troncs d'arbre et de cordages. Des ponts levis permettent de les mettre en relation ou au contraire, de les séparer. |
Les
orang-outans à Apenheul Karl, mâle né en 1960 (un des plus vieux d'Europe) Amos , femelle née en 2000, arrivée à Apenheul en 2008 Sylvia, femelle née en 1966 Josje, femelle née en 1992 Sandy, femelle née en 1982 Samboja, femelle née en 2006 (fille de Sandy) Dayang, femelle née en 2006, (adoptée par Sandy) Katja, femelle née en 1997 Wattana, femelle née 1995, arrivée à Apenheul en 2008 Kawan, mâle né en 2010 (Fils de Wattara) Binti, femelle née en 2000 Merah, femelle née en 2006 (fille de Radja) Radja, femelle née en 1963 Willie, femelle née en 2002 |
![]() Maison des orang-outans - septembre 2010 |
![]() Ferme indonésienne - septembre 2010 |
![]() Ferme indonésienne - septembre 2010 |
![]() Ile des orang-outans - septembre 2010 |
![]() Ile des orang-outans - septembre 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 30 aout 2011: La volière des loris a été agrandie et la structure métallique recouverte d'écorces. Les sangliers des Visayas ont été remplacés par des cochons domes6 tiques. |
![]() Nouvelle volière des loris - aout 2011 |
Le visiteur se dirige alors vers
un pont traversant un étang. Sur la droite du pont se trouve une première île à l'herbe haute et plantée de nombreux arbustes. Des structures et cabanes en bois complètent les aménagements. Cette île est le lieu d'évolution d'un groupe de langurs de Java (Trachepithecus auratus auratus). Sur la gauche, une seconde île agrémentée de troncs d'arbre, mais à l'herbe rase, est le lieu de vie d'une colonie de macaques ouandérous (Macaca silenus). Le visiteur revient quelque peu sur ses pas, pour longer l'île des macaques, avant d'arriver au niveau d'une porte coulis- sante montée dans un mur de faux rochers. Il entre dans ce nouvel enclos de contact, composé de falaises rocheuses, d'une partie plaine alliant sable et herbe rase, et au milieu de laquelle se dressent quelques structures d'es- calade en bois. |
![]() Ile des langurs de Java - septembre 2010 |
![]() Enclos des magots - septembre 2010 |
Cet enclos est le lieu d'une
cohabitation originale entre des magots (Macaca sylvanus) et des moutons du Cameroun (Ovis aries). Sur la gauche, un petit terrarium creusé dans la roche, agrémenté de rochers, et occupé par des goundis communs (Ctenodactylus gundi). Le visiteur traverse le territoire des magots, pour arriver dans une volière rocailleuse, au sol en herbe, lieu de vie d'une colonie d'ibis chauves (Geronticus eremita). Le visiteur ressort alors de la volière et quitte la zone nord améri- caine, pour faire face à une vaste île. Le long du sentier de visite, se dresse un volière de grande taille, conçue récemment, au sol en herbe. Cette installation est occupée par un couple de calaos d'Abyssinie (Bucorvus abyssinicus). |
![]() Enclos des goundis - septembre 2010 |
![]() Enclos des magots - septembre 2010 |
![]() Volière des ibis - septembre 2010 |
![]() Volière des calaos - septembre 2010 |
Mise à
jour suite à ma visite du 30 aout 2011: L'ile des langurs de Java a été transformée, toujours aussi végétalisée, une cloture métallique electrisée a été érigée au milieu du fossé en eau en vue d'accueillir 3 mâles nasiques (Nasalis larvatus). Cette espèce unique en Europe, dispose de 3 loges intérieures agré- mentées de troncs d'arbres et d'une volière arrière. Les langurs disposent pour leur part d'une nouvelle île située en face des orang-outans. Leur ile légèrement vallonée est plantée de nom- breux conifères et autres feuillus. Dans la zone des magots, un second terrarium a été construits à coté de celui des gundis. Il accueille un groupe de souris épineuses (Acomys sp.). |
![]() Ile des nasiques - aout 2011 |
![]() Nouvelle ile des langurs - aout 2011 |
![]() Volière des nasiques - aout 2011 |
![]() Nasique - aout 2011 |
![]() Nasique - aout 2011 |
Le visiteur longe alors la plus grande île du parc, qui était bordée par les gradins. Cette île, organisée autour d'une colline, alterne les zone herbacées, les plantations d'arbres, les zones rocheuses, les zones en sable et les zones agrémentées de structures d'es- calade. Cette vaste île est le lieu de vie de la famille de gorille des plaines (Gorilla gorilla gorilla), qui cohabitent avec des patas (Cercopithecus patas). En face du point d'observation sur l'île des gorilles, un petit en- clos séparé du visiteur par un fossé en eau, planté de nombreux conifères et de buissons. Cet enclos est le lieu de vie de man- goustes fauves (Cynictis penicillata). |
![]() Ile des gorilles - septembre 2010 |
![]() Ile des gorilles - septembre 2010 |
Les gorilles à Apenheul Jambo, mâle reproducteur né en 1993, arrivé à Apenhel en 2006 Mandji, femelle née en 1975 Lobo, femelle née en 1973 Wimbé, mâle né en 2008, fils de Lobo Mintha, femelle née en 1974 M'Fugaji, femelle née en 2009 Nemsi, femelle née en 2001 Mapasa, mâle né en 2007, fils de Kisiwa Kisiwa, femelle née en 1997 Gyasi, femelle née en 2002 |
![]() Ile des gorilles - septembre 2010 |
![]() Enclos des mangoustes fauves - septembre 2010 |
Le visiteur se dirige alors dans
la forêt du parc. Un nouvel enclos de contact sud américain s'étend au milieu des conifères. Un im- portant groupe de sakis à face blanche (Pithecia pithecia) et de tamarins lions dorés (Leonpithecus rosalia rosalia). Un îlot central constitue un lieu de nourissage tissé de branchages. Le visiteur poursuit sa visite dans le territoire des sakis, et longe une longue île que l'on peut distinguer au milieu d'une végétation dense. Cette île, plantée de nombreux grands arbres et d'échelles d'escalade, est consacrée à une famille de gibbons à favoris blancs (Hylobates concolor leucogenys). Le visiteur quitte alors la zone des tamarins, délimitée par un pont électrisé, pour entrer sur la terrasse du troisième restaurant. Le visiteur traverse alors un autre pont électrisé, marquant l'en- trée d'un second territoire sud américain, organisé autour d'une forêt plantée sur une colline. |
![]() Zone de nourrissage des sakis - septembre 2010 |
![]() Volière des tamarins empereurs - septembre 2010 |
Le visiteur fait directement
face à un mur de pierres, rompu par une volière sombre, visible à travers une vitre. Cette volière est agrémen- tée de nombreux troncs d'arbre. Elle est le lieu de vie d'un groupe de singes nocturnes, les douroucoulis (Aotus lemurinus griseimembris). Cette espèce reste peu courante dans les parcs eu- ropéens. Le visiteur bifurque sur la droite, pour contourner le complexe en bois qui abrite la volière des douroucoulis. A l'arrière de ce dernier, deux autres volières plantées de massifs de bambous et d'autres plantes tropicales, sont consacrée à une famille de tamarins em- pereurs (Saguinus imperator). En face des tamarins, un bâtiment en briques, dans lequel le visiteur est invité à entrer, accueille les loges de nuit des gorilles, loges agré- mentées de cordages et de structures en bois. Le visiteur revient alors au niveau du pont et de la volière des dou- roucoulis, pour se diriger vers la gauche. |
![]() Loge des gorilles - septembre 2010 |
![]() Ile des gibbons - septembre 2010 |
Le visiteur monte alors le
sentier sinueux pour se diriger vers le sommet de la colline. Sur la droite, une vaste volière, plantée de nombreux feuillus, est consacrée à un groupe reproducteur de ouistitis pygmés (Callithrix pygmaea). Les derniers jeunes sont nés en avril 2010. Le visiteur arrive alors au sommet de la colline, où un parcours en bois sillone entre les arbres et leur cime, parcours qui permet aux visiteurs d'être au plus près de la population de saïmiris à casque gris (Saimiri sciureus sciureus) et de ouistitis de Goeldi (Callimico goeldi). Divers statues représentant les mamifères et les insec- tes de la forêt amazonienne. Le visiteur emprunte un des sentiers en bois pour gagner la cime des arbres. |
![]() Volière des ouistitis pygmés - septembre 2010 |
![]() Enclos des fourmiliers - septembre 2010 |
Sur la gauche de ce ponton, en
contrebas, on peut voir un enclos en terre, parcouru par une petite rivière et couvert par les grands arbres. Cet enclos est le lieu de vie de four- miliers (Myrmecophaga tridactyla). Le visiteur poursuit son cheminement dans la canopée, pour arriver au niveau d'une terrasse. Sur la gauche de cette ter- rasse, une grande volière de type forestière est occupée par des ouistitis à toupets blancs (Callithrix geoffroyi). Des cabanes accueillent une exposition sur la forêt amazoni- enne et quelques terrariums consacrés aux dendrobates. Les espèces présentées ici sont des petits dendrobates (Epipedobates tricolor) pour le premier, des phyllobates rayées (Phyllobates vittatus) qui cohabitent avec des dend- robates vertes (Dendrobates auratus) dans le second et des rainettes des arbres (Phrynohyas resinifictrix). |
Les terrariums sont tous agrémentés de mousses et de plantes tropicales. En contrebas du sentier arboricole, un bassin au sol en sable, accueille des esturgeons sibériens (Acipenser baerii). Le visiteur redescend alors vers le sol, où il découvre un petit enclos ombragé par les grands arbres, au sol boueux, agrémenté de rochers et consacré à un couple de pécaris à lèvres blanches du Sud (Tayassu pecari pecari). Le visiteur longe l'enclos des pécaris avant d'être invité à franchir un pont et de quitter le territoire des saïmiris à casque gris. |
![]() Chemin forestier des saïmiris - septembre 2010 |
![]() Volière des ouistitis à toupet blanc - septembre 2010 |
![]() Terrarium des dendrobates - septembre 2010 |
Mise à
jour suite à ma visite du 30 aout 2011: De nombreux changements ont été opérés dans cette zone sud américaine. Les douroucoulis ne sont plus visibles du public, leur loge est cachée par des planches en bois. Le fourmilier géanté a laissé sa place aux sangliers des Visayas qui sont maintenant présentés en contrebas de la parcelle. Les ouistitis à toupets blancs ont été transférés dans une autre partie du parc et ont été remplacés par des guiras (Guira guira). Une nouvelle de nourrissage des singes a été érigée à coté des guiras. Enfin, les coatis à lèvres blanches ne sont présentés au public et ont laissé leur place au fourmilier géant. |
![]() Nouvelle zone de nourissage - aout 2011 |
Le visiteur emprunte alors une
grande passerelle qui surp- lombe un petit étang. Sur la droite, deux premières îles de taille moyenne, agrémentées de structures en bois et de quelques buissons, reliées entre elles par des cordages et où l'herbe est haute, sont occupées par une famille de ca- pucins à poitrine blanche (Cebus capucinus). En face, sur une grande île au sol en herbe, bordée par l'eau, à l'herbe rase et agrémentée d'arbres et de cordages est consac- rée à une famille d'atèles noirs de l'Equateur (Ateles fusciceps robustus). Au sol, en cohabitation avec les atèles, on peut observer le plus gros rongeur du mon- de, le capybara (Hydrochoerus hydrochaeri). Sur la droite, mitoyenne à l'île des capucins, le visiteur dispose de nouveau points de vision sur la vaste instal- lation des bonobos. |
![]() Ile des capucins à poitrine blanche - septembre 2010 |
![]() Volière sud américaine - septembre 2010 |
Au bout de ce ponton en bois, le
visiteur est invité à pénétrer dans une volière de contact. Cette volière, traversée par un sentier en bois couvert, se divise en une zone humide avec bassin et cascade, une zone en terre et sable et une zone en herbe. Des saules et d'autres arbustes viennent agrémenter le tout. Diverses espèces sont présentées en parfaite harmonie. On peut ainsi y observer des sarcelles à collier (Callonetta leucophrys), de rares pénélopes à gorge bleue (Pipile cumanensis), des hérons garde boeufs (Bubulcus ibis), des hérons bihoreaux (Nycticorax nycticorax), des cariamas huppés (Cariama cristata), des dendrocygnes bicolor (Dendrocygna bicolor) et des échasses américaines (Himantopus himantopus mexicanus). Le visiteur ressort alors de la volière, repasse devant l'enclos des pécaris et rejoint une place pavée, où évoluent en liberté, des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas) et de très rares titis roux (Callicebus cupreus). Cet enclos constitue le dernier enclos de contact du parc. |
![]() Enclos des pécaris - septembre 2010 |
![]() Volière sud américaine - septembre 2010 |
![]() Pénélope à gorge bleue - septembre 2010 |
![]() Pénélope à gorge bleue - septembre 2010 |
Avant de quitter la zone des
tamarins, le visiteur longe une grande île plantée de grands conifères et agrémentée de structures en cordes. Cette île au sol en herbe, est occupée par des singes laineux (Lagothrix lagotricha) qui coha- bitent avec des petits poudous (Pudu puda). Un autre petit enclos situé au bas de la zone de nourris- sage des titis, est consacré à la présentation de tortues charbonnières (Geochelone carbonaria) A ce niveau, au cours de l'année 2010, le visiteur pouvait se diriger vers un bâtiment en bois accueillant un concours de photographies animalières. Le visiteur quitte alors la zone des titis, via un pont électrifié et découvre sur sa gauche, une volière de taille moyenne, non végétalisée, au sol en écorces, consacrée à la présentation de aras ma- caos (Ara macao). |
![]() Ile des singes laineux - septembre 2010 |
![]() Volière des perroquets aras - septembre 2010 |
Les aras peuvent sortir de la volière et évoluer en liberté au milieu d'un massif de bambous. Le visiteur passe devant un carroussel et est invité à quitter le parc en franchissant la boutique et en rendant le sac de protec- tion. |
![]() Zone de contact des titis roux - septembre 2010 |
![]() Manège - septembre 2010 |
En conclusion, le zoo d'Apenheul est un grand parc spécialisé dans la présentation des primates, où alternent îles végétalisées et enclos de contact où les singes évoluent en liberté. Le visi- teur pourra découvrir de nombreuses espèces dont bon nom- bre sont peu courantes en captivité. Un tour du monde des espèces est proposé aux visiteurs. |
![]() Karl, orang-outans de Bornéo - septembre 2010 |
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