Uilen een Dierenpark De Paay Doctor A. Kuyperweg 120 4153 XB Beesd Pays Bas Tel : +31 (0)6 172 94 157 www.depaay.nl |
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Les mercredis : 12h00 à 17h00 Les vendredis, samedis et dimanches : 10h00 à 17h00 |
Petit duc indien - juillet 2015 |
Talève sultane - juillet 2015 |
Tarif indivuduel Adulte : 6,00 € Enfant (3 à 9 ans) : 5,00 € |
Le Uilen en dierenpark de Paay est un petit Ce parc est né de la passion de son fon- Installé au cœur d’une forêt, le
parc ac- |
Grand grison - juillet 2015 |
Après avoir franchi le porche qui marque l’entrée dans ce petit parc, le visiteur emprunte une allée pavée sur la droite de laquelle se trouve un enclos de taille moyenne. Ce dernier au sol en terre est planté de massifs de bambous et de quel- ques racines. Il accueille en alternance un mâle muntjac de Chine (Muntiacus reevesi) et la première grande rareté du zoo, la civette africaine (Civettictis civetta), une espèce qui n’est visible que dans 3 parcs européens. |
Enclos des muntjacs - juillet 2015 |
Enclos des ragondins - juillet 2015 |
Sur la gauche de cette allée se dresse une première volière en forme de « L », agré- mentée de quelques perchoirs en bois et de buissons. Cette dernière présente 4 jeunes buses de Harris (Parabuteo unicinctis) nées au parc. Dans le prolongement de ces rapaces, se trouve un enclos en béton, de petite taille, entouré de bardage métallique. Ce dernier se compose d’un bassin et d’une représen- tation de racine et accueille des ragondins (Myocastor coypus). |
Enfin, une dernière volière qui peut être divisée en 2 parties, est ombragée par de grands arbres. A l’intérieur de cette der- nière, un réseau de branches a été installé à différentes hauteurs, offrant plusieurs possibilités d’escalade au mâle ocelot (Leopardus pardalis) hébergé ici. Le visiteur arrive alors au chalet qui abrite les caisses, le snack du parc ainsi que la maison du propriétaire. |
Volière des ocelots - juillet 2015 |
Volière des harfangs - juillet 2015 |
Devant le chalet, on pourra observer un aquarium agrémenté de graminées sèches et de blé. Ce bac présente une colonie de rats des moissons (Micromys minutus). Mitoyen à ces rongeurs, plusieurs bacs en plastique servent de nurserie pour de jeunes poussins (Gallus gallus domesticus). La visite débute alors sur la gauche, sur une petite allée. Accolée à la maison, une volière au volume relativement important, au sol fait de gravillons, est décorée de quelques souches, de rochers et de jeunes plants. Elle accueille des harfangs des neiges (Nyctea scandiaca). |
Face à ces premiers rapaces, se
trouvent 2 enclos en sable, relativement longs mais peu larges. Ils sont agrémentés de rares pousses de bambous et de quelques souches. Le premier enclos est occupé par des tortues sillonnées (Geochelone sulcata), tandis que le second est consacré à des mangoustes naines (Helogale parvula). Le visiteur poursuit alors sa visite sur un petit sentier, pour longer un ensemble de plusieurs volières à l’armature métallique. Au sein des 2 premières s’est développée une véritable forêt de bambous rendant difficile l’observation des oiseaux. La volière la plus à droite, en for- me de « L » est occupée par des calaos à joues grises (Bycanistes bucinator). |
Enclos des mangoustes naines - juillet 2015 |
Volière des écureuils de Prévost - juillet 2015 |
Accolée à la volière des calaos, se trouve la seconde structure de ce complexe. Cette der- nière est bien plus dégagée et agrémentée de branches. Deux écureuils de Prévost (Callosciurus prevosti) sont hébergés à ce niveau. Face aux volières, se trouve une petite prairie délimitée par des rondins de bois. Une colonie de cobayes domestiques (Cavia porcellus domesticus) évolue au cœur de cet espace herbeux. Bordant cette prairie, on peut observer 2 petits vivariums extérieurs, fait de sable, de plantes aromatiques, de souches et de graminées. Ces vivariums accueillent des tortues grecques (Testudo graeca). |
Enclos des tortues sillonnées - juillet 2015 |
Volière des calaos - juillet 2015 |
Prairie des cobayes - juillet 2015 |
Enclos des tortues - juillet 2015 |
Le
visiteur
longe alors le pré des cobayes. Sur la droite de l’allée, l’alignement de volière con- tinue, interrompu simplement par une maison vitrée, séparée en deux loges intérieures garnies de cordes et de branches et au sol recouvert de sciure. La loge de droite est consacrée aux écureuils de Prévost, tandis que la seconde loge présente des tamarins pinchés (Saguinus oedipus). Accolé à la volière, se dresse la volière des cal- lithricidés, agrémentée de quelques arbustes et de nombreuses cordes et branches. |
Volière des tamarins - juillet 2015 |
Volière des carpophages - juillet 2015 |
A
l’extrémité de la volière des tamarins, un sen- tier en cul de sac, bifurque sur la droite, pour découvrir, à l’arrière des tamarins, une autre volière identique au sein de laquelle s’ébattent des touracos paulines (Tauraco erythrolophus). Enfin, au fond de cette impasse se dresse une grande volière dénuée de végétation mais dont le fond recrée une falaise rocheuse. Cette volière est occupée par des carpophages bico- lores (Ducula bicolor). Il semblerait que des guêpiers carmins (Merops nubicus) aient également été hébergés dans cette volière par le passé. |
La visite continue alors pour découvrir, à l’extrémité du pré des cochons d’Inde, une volière carrée de faible surface au sol mais très haute. Les décors s’organisent autour d’un grand tronc mort qui pousse au centre de la structure et duquel rayonnent plusieurs branches. Cette volière est le lieu de présen- tation d’écureuils de Swinhoe (Tamiops swinhoei). Un couloir grillagé passe au-dessus du sentier de visite pour rejoindre un abri vitré situé sur la droite du sentier. Ce dernier se compose d’une caisse en bois où les écureuils peuvent s’abriter et d’autres loges situées au sol ac- cueillant un petit carnivore. |
Volière des écureuils - juillet 2015 |
Enclos des loutres - juillet 2015 |
En continuant la visite, nous découvrons, ac- colé à cette maison, un enclos composé d’une petite plage bétonnée et d’un bassin de taille moyenne. Ce complexe est occupé par des loutres naines (Aonyx cinerea), dont les lo- ges intérieures sont installées dans l’abri. Face à nous, construit sur un petit dénivelé de terre se trouve un enclos de contact au sein duquel nous allons pénétrer. |
Avant de franchir le portail, on découvre, sur la gauche, une grande volière recréant une zone marécageuse. Cette dernière s’organise autour d’un grand point d’eau peu profonde, entouré de berges en terre plantée de char- mes, hêtres, saules et autres bambous. Quelques pieux en bois offrent des possibi- lités de perchoirs au couple de cigognes noires (Ciconia nigra) présentées à ce niveau. |
Volière des cigognes noires - juillet 2015 |
Territoire des wallabies - juillet 2015 |
Le visiteur entre alors dans l’enclos de contact traversé par un sentier recouvert d’écorces. Cet enclos recrée un bush australien avec ses buissons et ses souches. Un groupe de wal- labies de Bennett (Macropus rufogriseus) y évolue. |
Le sentier remonte alors sur la bute de
cet enclos pour dominer l’espace des wallabies tandis que sur la droite se trouve une suc- cession de grandes volières accolées repré- sentant des zones marécageuses. Toutes ces volières disposent d’un sol naturel, en- herbé par endroit, disposant d’un bassin peu profond entouré de jonc et de saules. Au sein de la première volière on pourra observer des talèves sultanes (Porphyrio porphyrio), des grues cendrées (Grus grus), des hérons garde bœufs (Bubulcus ibis) et des canards mignons (Anas anas domesticus). |
Volière typique pour grues - juillet 2015 |
Volière typique pour grues - juillet 2015 |
Des
grues
demoiselles (Anthropoides virgo) cohabitent avec des hérons biho- reaux (Nycticorax nycticorax) dans la seconde volière. La troisième volière plus dégagée en ter- mes de végétation est le lieu de vie de grues du Paradis (Anthropoides paradisea) et de bernaches à cou roux (Branta ruficollis). Enfin, la quatrième volière, qui clos cette série, est dépourvue de saules et con- sacrée à un couple de grues du Japon (Grus japonensis) et des faisans de Colchide (Phasianus colchicus). |
Le visiteur redescend alors de la butte des wallabies, retrouve l’opposé de la volière des cigognes noires (Ciconia nigra) pour quitter ensuite l’espace des wallabies et plongé dans la forêt du parc. Au cœur de cette zone ombragée, on découvre, sur la gauche, une première volière de grande taille, agrémentée de quelques arbres et d’un petit bassin. Cette volière présente des grands ducs des Verreaux (Bubo lacteus) et marque l’entrée dans la zone réservée aux chouettes et hiboux, fleuron de cette collection. |
Volière des grands ducs des Verreaux - juillet 2015 |
Le sentier s’insinue alors dans la forêt et sil- lonne au milieu de plusieurs volières distantes les unes des autres, mais toutes conçu suivant le même plan. Elles ont toutes un sol en terre recouvert de feuilles mortes, disposent d’un petit bassin et sont plantées de quelques char- mes. Sur la droite, on pourra observer la seconde structure de cette section qui héberge des chouettes de l’Oural (Strix uralensis). |
Volière des chouettes - juillet 2015 |
Volière typique pour chouettes - juillet 2015 |
Le sentier tourne
alors sur la gauche pour gagner un second point de vision sur la volière des grands ducs des Verreaux, avant de découvrir deux autres volières relativement proches. La première est le lieu de vie de grands ducs du Bengale (Bubo bengalensis) tandis que la seconde, légèrement plus petite en termes de tailles présente des chouettes boobook (Ninox novaehollandiae). Sur la droite de l’allée, au détour d’un virage, se trouve une autre volière dépourvue de vé- gétation, occupée par des chouettes effraies (Tyto alba). Face aux chouettes se dresse une autre volière de taille moyenne accueillant des hiboux petits ducs (Asio otus). |
La visite continue au sein de la
forêt, avec, sur la droite de l’allée, une succession de 4 volières de grande taille occupées respec- tivement par des grands ducs africains (Bubo africanus), des grands ducs de Sibérie (Bubo bubo sibiricus), des grands ducs de Virginie (Bubo virginianus) puis des grands ducs du Canada (Bubo virginianus subarcticus). Le visiteur arrive alors devant un complexe de 4 volières accolées. Le sentier passe au centre de ces volières c’est ainsi que de part et d’autre de l’allée se trouvent 2 volières se terminant par un abris en bois. |
Volière typique pour hiboux - juillet 2015 |
Complexe des petits rapaces - juillet 2015 |
Ce complexe est agrémenté d’un sol en sable et de quelques perchoirs en bois. Sur la gauche, on pourra admirer des nyctalles de Tengmalm (aegolius funereus) puis des petits ducs indiens (Otus bakkamoena). Tandis que sur la droite vivent hiboux à face blanche (Otus leucotis) dans la première volière et des chouettes des terriers (Athene noctua) dans la seconde. Le visiteur continue alors sa découverte du parc de Paay, avec encore 3 grandes volières con- sacrées aux rapaces nocturnes. |
Dans l’ordre de visite on pourra y observer des chouettes leptogrammes (Strix leptogrammica), des chouettes lapones (Strix nebulosa) puis des grands ducs d’Europe (Bubo bubo bubo). Une dernière volière complète ce complexe et est occupée par des corbeaux (Corvus corax). |
Volière des chouettes lapones - juillet 2015 |
Le visiteur arrive alors à un escalier qui nous per- met de traverser la route conduisant à l’entrée du zoo et de rejoindre la seconde partie du parc. Arrivé dans la seconde partie du parc, le visiteur découvre sur la droite, une parcelle de forêt clair- semée relativement vaste, plantée de nombreux saules, en légère pente, au bas de laquelle s’étend un grand bassin. Cet enclos est le lieu d’une coha- bitation entre des grues à cou blanc (Grus vipio), des faisans de Colchide (Phasianus colchicus), de canards carolins (Aix sponsa) et des muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi). |
Enclos des grues et muntjacs - juillet 2015 |
Volière des vautours néophrons - juillet 2015 |
Le visiteur peut soit poursuivre sa visite le long de l’enclos des grues ou bifurquer sur la gauche. Nous allons opter pour la seconde option, là sur la droite se dresse une petite volière relati- vement sombre organisée autour d’un monticule de terre, agrémenté de quelques arbustes. Des cariamas huppés (Cariama cristata) y évoluent. Sur la gauche se dresse une grande volière rela- tivement longue agrémentée de quelques bam- bous. Cette volière est le lieu de vie de vautours néophrons (Necrosyrtes monachus) et de faisans d’Edwards (Lophura edwardsi). |
Le sentier débouche alors sur une petite place. A l’extrémité droite, se dresse une volière re- lativement haute, mais de faible surface au sol, traversée par de nombreuses branches. Cette installation est le lieu de vie d’un couple de faucons kobez (Falco vespertinus). A l’arrière des faucons, on peut observer un complexe composé de deux cubes grillagés, agrémentés chacun de cabanes en bois et de poutres, et reliés entre eux par un tunnel gril- lagé. Ce complexe est le lieu de vie de coatis à queue annelée (Nasua nasua). |
Volière des faucons - juillet 2015 |
Enclos des flamants - juillet 2015 |
Sur
l’extrémité droite, se
dresse un bassin circulaire entouré de plage en herbe sur lesquelles poussent de rares arbustes. Cet enclos accueille des flamants roses (Phoenicopterus roseus) et des érisma- tures rousses (Oxyura jamaicensis). Enfin, mitoyen aux flamants roses et face aux coatis, se dresse une volière triangulaire, tra- versée par un réseau de branches et plantée de quelques buissons de taille moyenne. Cette volière est consacrée à la principale rareté du parc, un grand grison (Galictis vittata). |
A noter que le parc recherchait une femelle pour le mâle présenté, mais il s’est avérée que cette dernière était un petit grison (Galictis cuja). Elle a donc été mise en pension chez un éleveur privé. La visite se poursuit entre les coatis et le grison, pour faire face à un en- clos circulaire, situé sur la gauche du sentier. Ce dernier délimité par des tôles, est om- bragé par de grands arbres, accessibles via des troncs couchés et est planté de lauriers. |
Volière des grisons - juillet 2015 |
Une maison dont l’intérieur est visible à travers une vitre complète cet ensemble occupé par une femelle binturong (Arctictis binturong). Face à ces carnivores et accolé à l’enclos du grison, on trouve une autre installation de grande taille, entièrement grillagée, agré- mentée de troncs, de branches et de tuyaux de pompier. Cette volière héberge des mar- tres à gorge jaune (Martes flavigula). |
Enclos des binturongs - juillet 2015 |
Complexe des mangoustes - juillet 2015 |
Toujours dans l’alignement des martres, on peut observer un clocher vitré entouré de deux volières en sable, disposant toutes deux de fourmilières artificielles. Les loges sont pour leur part agrémentées de souches et de quelques branches. Des mangoustes fauves (Cynictis penicillata) sont présentées à ce niveau. |
Volière des coatis - juillet 2015 |
Enclos des martres à gorge jaune - juillet 2015 |
Le sentier se divise alors en 2, sur la droite, on trouvera la sortie du zoo tandis que sur la gauche, la visite continue. Face à nous se dresse un enclos de taille moyenne, creusé d’un bassin qui occupe la plus grande sur- face de cette installation. Des berges recou- vertes d’écorces offre un espace terrestre aux cabiais (Hydrochaeris hydrochaerus) qui évoluent dans ce complexe aux côtés de sarcelles à collier (Anas leucophrys). |
Enclos des cabiais - juillet 2015 |
Enclos des suricates - juillet 2015 |
Nous
allons alors
nous diriger sur la gauche pour longer, sur la gauche de l’allée, accolé à la plaine des capybaras, un second enclos relativement long, au sol en terre, agrémenté de nombreuses souches offrant des points de guet aux suricates (Suricata suricatta) hébergées à ce niveau. Face à ces petits carnivores se dresse une volière au volume conséquent, au fond tapissé de faux rochers. Le sol en sable limite la végétation qui s’y développe. Quelques artificiels complètent les amé- nagements de ce qui compose le milieu de vie de caracals (Caracal caracal). |
Face
à cette volière se dresse une autre volière, légèrement en retrait du sentier de visite, densément plantée, de bambous et autres charmes, et creusée d’un bassin. Cette dernière accueille des caracaras huppés (Caracara plancus). Le sentier se divise alors en direction de la droite. Nous allons continuer face à nous pour découvrir l’enclos le plus vaste du zoo de Paay. Ce dernier consiste en une praire divisée en deux sections en- tourées de fossés en eau. Ce pré accueille les plus gros mammifères du parc à savoir des chameaux (Camelus bactrianus) et un troupeau de watussis (Bos primigenius domesticus). |
Volière des caracaras - juillet 2015 |
Loge des clapiers - juillet 2015 |
Face à la plaine des chameaux un toît court abrite une série de clapiers présentant plu- sieurs races de lapin domestiques (Oryctolagus caniculus domesticus). Le visiteur revient légèrement sur ses pas, pour bifurquer sur le second sentier. Là, sur la droite on retrouve la volière des caracals, tandis que sur la gauche se trouve un petit espace en herbe, planté de nombreux roseaux. Cette installation était vide lors de ma visite. |
Futur vivarium - juillet 2015 |
Plaine des chameaux - juillet 2015 |
Surplombant
cet enclos, se trouve un con- tainer en cours d’aménagement. Ce dernier sera équipé de plusieurs vivariums ayant pour objectif de compléter la collection du parc en se diversifiant dans la présentation de reptiles. Plus loin, sur la droite de cette allée se dres- se une volière de hauteur moyenne, au sol recouvert d’écorces, plantée de bambous et de conifères. Cette volière est le lieu de vie de lophophores resplendissants (Lophophorus impejanus). |
Volière des lophophores - juillet 2015 |
Volière des faisans - juillet 2015 |
Dans le prolongement des phasianidés, on trouve une autre volière plus récente et plus volumineuse, disposant de quelques bran- ches de sapins composant les aménagements de cette structure. Des pirolles à bec rouge (Urocissa erythroryncha) y cohabitent avec des faisans dorés (Chrysoptilon pictus). La visite continue alors avec toujours sur la droite de l’allée, une volière en terre, creusée d’un bassin et agrémentée d’un monticule de faux rochers. Cette installation est occupée par des renards corsacs (Vulpes corsac). |
Le
visiteur arrive alors
au bout de l’allée et fait face à un poulailler grillagé qui s’ouvre sur un enclos en herbe partant sur la gauche. Cet enclos est doublé d’un grand point d’eau et est agrémenté de souches et de quelques troncs. Ce complexe est le lieu de vie de chèvres naines (Capra hircus) et de poules domestiques (Gallus gallus domesticus). Le visiteur continue alors sa découverte en longeant l’enclos des grues à cou blanc (Grus vipio) et des muntjacs (Muntiacus reevesi) pour repasser devant les installations des cariamas, grisons et binturongs et continuer la visite sur la gauche. |
Enclos des chèvres - juillet 2015 |
Volière des kéas - juillet 2015 |
Là, se dresse une volière, de taille moyenne, plantée de nombreux bambous et agrémentée d’un bassin. Elle accueille des kookaburas à ailes bleues (Dacelo novaeguineae). Le visiteur continue alors sa découverte du parc de Paay pour gagner la zone des psit- tacidés. Cette dernière débute par une haute volière en bois garnie de faux rochers et consacrée à des kéas (Nestor notabilis). |
Sur
la
droite de l’allée, on découvre une suc- cession d’autres volières à l’armature métal- lique. Ces dernières sont agrémentées d’un petit point d’eau, de rares bambous et de branches. La première volière est occupée par des aras macaos (Ara macao). La seconde, reliée à la structure en bois par un tunnel passant sous l’allée, est consacrée aux kéas. La troisième et quatrième volière de cette allée sont occupées respectivement par des aras araraunas (Ara ararauna) puis par des aras de Lafresnay (Ara rubrogenys). |
Faisanderie - juillet 2015 |
Volière des aras - juillet 2015 |
L’allée compte encore 2 volières. Celle ac- colée aux aras de Lafresnay héberge un saimiri (Saimiri sciureus) Un tunnel grillagé part de cette volière, surplombe l’allée de visite pour rejoindre une autre volière située sur la gauche de l’allée, densément plantée et agrémentée de nombreuses branches. Enfin, des aras chlo- roptères (Ara chloroptera) s’ébattent dans la dernière volière de cette section. |
Plus
loin, sur la gauche
de l’allée, on retrouve l’enclos où sortent en alternance les muntjacs et la civette. Mitoyen à cet enclos peut encore observer un ancien lavoir entouré de murets de pierres, au sol recouvert d’écorces, et occupé par des porc épics à crête (Hystrix cristata). Avant de revenir vers le snack, on pourra en- core observer, au travers d’une porte, un véritable élevage industriel de souris. Le visiteur termine ainsi sa visite du parc de Paay et est invité à repasser devant les ragondins et les buses de Harris pour quitter le parc. |
Enclos des porc épics - juillet 2015 |
En conclusion, le parc de Paay est un petit éta- blissement privé qui a ouvert ses portes au public. L’attrait du propriétaire pour les rapaces noc- turnes et les petits carnivores se ressent au niveau de la collection. On notera la présence de plusieurs espèces très peu courantes en captivité. Les installations sont relativement artisanales et de taille moyenne témoignant des moyens limités de l’établissement. |
Poule domestique - juillet 2015 |
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