Zoo de
Dortmund Mergelteichstrasse 80 44225 Dortmund Allemagne Tel: +49 (0)2 31 50 28 581 Fax: +49 (0)2 31 71 21 75 www.zoo.dortmund.de |
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Du 16 mars au 15 octobre : de 9h00 à 18h30 Du 01 au 15 mars et du 16 au 30 octobre : de 9h00 à 17h30 Du 01 novembre au 28 février : de 9h00 à 16h30 Derniers billets vendus 30 minutes avant la fermeture du zoo. |
Ocelot - mai 2010 |
Mangoustes fauves - mai 2010 |
Ticket journalier: Adulte : 7,50 € Tarifs réduits : 4,00 € Tarifs résidents: 2,00 € Tarifs groupes (plus de 10 personnes): Adulte : 6,00 € Tarifs réduits : 3,50 € Ticket annuel: Adulte : 45,00 € Tarifs réduits : 24,00 € Tarifs résidents: 12,00 € |
La visite du zoo de Dortmund
commence par une grande entrée, en arc de cercle, au niveau de laquelle le visiteur acquite son droit d'entrée. Dès l'entrée franchie, le visiteur plonge dans un grand jardin et se dirige vers un grand lac central, sur lequel évoluent de nombreuses espèces d'oiseaux d'eau. Avant d'arriver au lac, sur la droite, une petite volière est le lieu de vie d'un couple de civettes palmistes masquées (Paguma larvata), seuls représentants de leur espèce en Europe. On peut y observer des cygnes à col noir (Cygnus melanocorypha), des bernaches du Canada (Branta canadensis), des bernaches des Andes (Chloephaga melanopetra), des oies d'Egypte (Alopochen aegyptiaca), des canards mandarins (Aix galericulata), des canards carolins (Aix sponsa), des nettes rousses (Netta rufina), des fuligules nycoras (Aythya nyroca), des fuligules milouins (Aythya ferina), des fuligules morillons (Aythya fuligulla), des canards colverts (Anas platyrhynchos), des sif- fleurs du Chili (Anas sibilatrix), des nettes peposacas (Netta peposaca), des garrots à oeil d'or (Bucephala clangula), des hérons cendrés (Ardea cinerea), des foulques macroules (Fulicula atra), des poules d'eau (Gallinula chloropus), des cigognes blanches (Ciconia ciconia) et des mouettes rieuses (Larus ridibundus). Le visiteur longe alors le lac pour arriver au niveau d'une plage de terre où il peut observer la colonie de flamants roses du zoo. Celle-ci se compose de flamants rouges (Phoenicopterus ruber) et de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis). La suite de la visite conduit le visiteur dans le premier bâtiment du zoo. |
Lac des flamants roses - mai 2010 |
Aquarium et zone des oiseaux dans la serre - mai 2010 |
Celui-ci constitue la serre
tropicale du parc et s'élève sur trois étages. Au niveau du rez de chaussée, le visiteur peut observer une rangée d'aquariums et de terrariums. Le premier terrarium, au sol en terre, et planté de quelques végétaux, est occupé par des tortues charbonnières à pattes jaunes (Geochelone denticulata), le second aquarium est occupé par des scalaires (Pterophyllum altum), des ancistrus (Ancistrus dolichopterus) et des néons noirs (Nematobrycon palmeri), un groupe de veuves noires (Gymnocorymbus ternetzi) est présenté dans le troisième terrarium. Un autre bac est le lieu de vie de piranhas (Pygocentrus nattereri), alors que le dernier aquarium accueille une cohabitation entre des anostomus rayés (Anostomus anostomus), des silures aiguielles (Farlowella gracilis), des discus (Symphysodon aequifasciatus), des fantômes rouges (Magalamphodus sweglesi), des cardinalis (Paracheirodon axelrodi), des nez rouges (Hemigrammus bleheri) et des poissons crayons (Nannostomus harrisoni). Au bout de la rangée des aquariums, une zone densémment végétalisée, dispo- sant d'un bassin, est également le lieu de vie de râles ypecahas (Aramides ypecaha), de troupiales à tête rouge (Amblyramphus holosericeus) et d'amazonettes du Brésil (Amazonetta brasiliensis). Ces oiseaux peuvent évoluer librement dans toute la serre. |
Aquarium dans la serre - mai 2010 |
Serre tropicale - mai 2010 |
![]() Civette palmiste - avril 2011 |
![]() Civette palmiste - avril 2011 |
La rivière parcourant
cette zone se jette dans un bassin-aquarium occupé par des raies (Potamotrygon motoro), des dollars argentés (Metynnis argenteus) et des leporinus à bandes (Leporinus fasciatus). Le visiteur emprunte alors un escalier pour gagner le premier étage consacré au reptiles. Une premier terrarium est le lieu de présentation de tortues charbonnières à pattes jaunes (Geochelone denticulata). Des serpents ratiers rayés oc- cupent le second terrarium. On arrive alors au niveau de deux grands viva- riums, composés d'une plage bétonnée, et d'un grand bassin avec vision sous marine. Le premier est le lieu de cohabitation de tortues tatarugas (Podocnemis expansa), de boas constricteurs (Boa constrictor) et d'ana- condas (Eunectes murinus). Le second vivarium est le lieu de vie de caï- mans de Schneider (Paleosuchus trigonatus). Avant d'emprunter un escalier qui nous mène au troisième étage, on découvre un dernier petit terrarium; lieu de vie de mygales de Leblond (Teraphosa blondi). Le visiteur gagne alors le dernier étage où l'on découvre une première volière, au sol naturel, agrémentée de cordages et de branchages. Des oustitis pygmés (Callithrix pygmaea) et des accouchis de Pratt (Myoprocta pratti) sont présentés dans cette installation. |
Terrarium des caïmans - mai 2010 |
Tronc de la mygale - mai 2010 |
A ce niveau de la serre
tropicale, on découvre également d'autres terrariums qui hébergent, pour le premier, des boas de Cook (Corallus hortulanus), pour le second des crapauds buffles (Bufo marinus). En face de ces deux bacs, une installation, composée de deux vivariums superposés, accueillent des blattes (Blaberus craniifer) et des mygales de Campbridge (Psalmopoeus cambridgei) pour le second. Un autre terrarium est composé de deux niveaux, reliés par un tuyau. En face des couleuvres, deux autres vivariums accueillent des petits geckos asiatiques (Hemidactylus frenatus) et des anolis de Caroline (Anolis carolinensis). A coté des lézards, un autre terrarium est le lieu de vie de boas arc en ciel (Epicartes cenchria maurus), alors que des boas constricteurs (Boa constrictor imperator) occupent le dernier terrarium de cet étage. Un tronc, percé d'une vitre, est le lieu de présentation d'une mygale de Leblond (Teraphosa blondi). En face de la mygale, une dernière volière, agrémentée de cordages et de branchages, est le lieu de vie d'un groupe de tamarins empereurs (Saguinus imperator). Enfin, à ce niveau, le visiteur peut également observer des iguanes verts (Iguana iguana), des cailles des blés (Coturnix coturnix coturnix), des troupials guiras (Pseudoleistes guirahuro), des tirans quivis (Pitangus lictor) et des sicales boutons d'or (Sicalis flaveola). Le visiteur ressort alors de la serre tropicale. |
Intérieur de la serre tropicale - mai 2010 |
Volière des tamarins - mai 2010 |
Accolé à la serre,
on peut voir, à gauche de la sortie, la
volière extérieuredes tamarins empereurs et , sur la droite, celle des ouistitis pygmés. En face de la sortie, on peut observer une autre volière, densément végétalisée, dans laquelle évolue une famille de sakis à face blanche (Pithecia pithecia pithecia) qui cohabite avec des agoutis dorés (Dasyprocta aguti). Le visiteur se dirige alors vers les loges intérieures de ces animaux, visibles à travers une baie vitrée. A coté des sakis, une nouvelle loge , adossée à une volière, est occupée par une tribu de saïmiris (Saïmiri sciureus). Le visiteur arrive alors à la grande aire de jeux du zoo, au niveau de laquelle il emprunte le chemin de droite, longeant une vaste prairie, au milieu de laquelle se trouve un bosquet de conifères. Des chevreuils (Capreolus capreolus) et des grues cendrées (Grus grus) cohabitent dans cette installation de grande taille. En face de la prairie des chevreuils, un chemin longe une rangée de volières densément végétalisées. |
Volière extérieure des sakis - mai 2010 |
Maison des fauves - mai 2010 |
La première est
occupée par un couple de calaos papous (Aceros plicatus), la seconde est le lieu de vie de grands hoccos (Crax rubra rubra), la troisième héberge des perruches de Patagonie (Cyanolyseus patagonus) et la dernière accueille des conures veuves (Myiopsitta monachus). En poursuivant sur ce sentier, le visiteur longe deux enclos et une loge intérieure sur la droite, consacrée aux tigres. Deux sous-espèces cohabitent dans le même en- clos à savoir un tigre de Sumatra (Panthera tigris sumatrensis) et un tigre de Malaisie (Panthera tigris malayensis), sous-espèces très peu courantes en cap- tivité. L'enclos, situé sur la gauche, est ,pour sa part, à ciel ouvert, de type forestier et occupé par des chiens des buissons (Speothos venaticus). Le visiteur entre alors dans la maison des fauves, où l'on peut voir, sur la droite, les loges intérieures des tigres et, sur la gauche, deux loges consacrées aux lions (Panthera leo). En sortant de la maison, le visiteur peut observer, sur la droite, le plateau extérieur des lions, séparé par un fossé en eau et, sur la gauche de la maison, le long du chemin par lequel se poursuit la visite, l'enclos extérieur des tigres. |
Volière des calaos - mai 2010 |
Enclos des chiens des buissons - mai 2010 |
En face des tigres, on trouve un
complexe de trois enclos, au sol en terre, enclos qui peuvent être divisés ou regroupés. Les deux pre- miers, reliés entre eux, accueillent une cohabitation d'herbivores asiatiques. On peut y observer des antilopes cervicapres (Antilope cervicapra), des nilgauts (Boselaphus tragocamelus) et des cerfs axis (Axis axis). Le troisième enclos, rénové récemment, héberge des gaurs (Bos gaurus). Le visiteur arrive alors au niveau d'un car- refour. Sur la droite, on découvre un enclos rappelant l'architecture chinoise, au sein duquel est présenté un couple de petits pandas (Ailurus fulgens),et en face duquel on retrouve la prairie des che- vreuils. Sur la gauche, une autre plaine est consacrée à la faune australienne. On peut y observer des kangourous roux (Macropus rufus), des émeus (Dromaius novaehollandiae) et des grues antigones (Grus antigone). A coté des grues, une nouvelle volière octogonale est occupée par des cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapillus), des perruches royales (Alisterus chloropterus), des perruches calop- sites (Nymphicus hollandicus), des perruches ondulées (Melopsittacus undulatus), des colombines turverts (Chalcophaps indica), des colombes wongas (Leucosarcia melanoleuca), des colombes lophotes (Ocyophaps lophotes) et des martins chasseurs géants (Dacelo novaeguinae). |
Enclos des petits pandas - mai 2010 |
Volières des aras - mai 2010 |
Une allée, bifurquant sur
la droite, permet de longer une nouvelle série de volières. L'ensemble de ces installations dispose d'un sol en sable. Elles sont plantées de quelques arbustes, et agrémentées d'un petit bassin. La pre- mière est le lieu de vie de kéas (Nestor notabilis), la seconde héberge des grands eclectus (Eclectus roratus polychloros) et des gouras de Scheepmaker (Goura scheepmakeri), la troisième est le lieu de vie de ti- namous tatupas (Crypturellus tataupa) et d'amazones à diadème (Amazona autumnalis lilacina). Des aras hyacynthes (Anadorhynchus hyacinthus) occupent la volière suivante, alors que les trois dernières sont occupées, respectivement, par des aras de Lafresnayes (Ara rubrogenys), par des cobayes (Cavia aparea) et par des conures soleil (Aratinga guarouba). Le visiteur revient alors au niveau du sentier principal, qui longe la plaine australienne, pour poursuivre le long du bâtiment de nuit des gaurs et des ongulés asiatiques, bordé par une zone de travaux en vue de rénover l'an- cien enclos des gaurs. En face de cette zone de travaux, on retrouve deux enclos naturels, au sol en terre, consacrés à deux espèces de cervidés : des cerfs d'Europe (Cervus elaphus) pour le premier et des rennes (Rangifer tarandus) pour le second. Le visiteur entre alors dans la zone consacrée à l'Asie. |
Enclos extérieur des tigres - mai 2010 |
Enclos des cerfs axis - mai 2010 |
Enclos australien - mai 2010 |
Volière australienne - mai 2010 |
Le visiteur arrive alors au
niveau d'une enclos au sein duquel se dresse deux bosquets de faux acacias. Cette plaine en sable est occupée par le groupe de girafes d'Angola (Giraffa camelopardalis angolensis), sous-espèce très peu courante en captivité. Les girafes cohabitent avec un couple de calaos d'Abyssinie (Bucorvus abyssinicus). En face des girafes, on peut observer, sur un grand lac, deux îles reliées entre elles par des cordages et des branchages. Cette installation, bien qu'intégrée à la zone africaine, est occupée par un groupe familial de siamangs (Hylobates syndactylus), des singes originaire d'Asie du Sud Est. La suite de la visite nous conduit à emprunter le sentier situé entre l'enclos des girafes et celui des rennes, pour gagner le bâtiment de nuit de ces grands mammifères. Avant d'entrer dans la maison des girafes, un enclos en sable, séparé du visiteur par des baies vitrées, est le lieu de vie de mangoustes fauves (Cynictis penicillata). |
Enclos des girafes - mai 2010 |
Enclos des lycaons - mai 2010 |
Le visiteur entre alors dans la
maison des girafes où l'on peut observer les 3 boxes consacrés à ces animaux, mais également les loges de nuit des mangoustes et celles des suricates (Suricatta suricatta). Ceux-ci disposent également d'un enclos extérieur en sable, visible à la sortie de la maison des girafes. Il est à noter qu'à l'arrière du bâtiment des girafes, de l'enclos des rennes et de celui des cerfs, une grande prairie, non visible du public, est entre- tenue par un groupe de lamas (Lama paco). En quittant la maison des girafes, le visiteur longe à nouveau leur enclos, et peut voir, sur la gauche, derrière un grillage à grandes mailles, un enclos, de type forestier, occupé par une meute de lycaons (Lycaon pictus). En face des lycaons, on découvre une autre plaine africaine de grande taille, qui peut être divisée en plusieurs enclos, et qui se compose d'une zone sableuse, d'une zone en herbe et d'un bassin. Diverses espèces d'ongulés africains sont présentés dans cette installation. On peut ainsi y observer des élands du Cap (Taurotragus oryx), des hippotragues rouannes (Hippotragus equinus) et des zèbres de Grant (Equus burchelli boehmi). |
Ile des siamangs - mai 2010 |
Enclos des mangoustes fauves - mai 2010 |
Loges des girafes - mai 2010 |
Plaine africaine - mai 2010 |
Le visiteur poursuit sa visite,
tout en longeant la plaine africaine. En face de la zone herbeuse, et à l'extrémité de l'enclos des lycaons, se trouve deux volières, séparées l'une de l'autre par un bâtiment dont l'intérieur est visible à travers des baies vitrées, et qui accueille les loges de nuit des deux espèces présentées à ce niveau. Le premier enclos en sable, planté de quelques plantes grasses, héberge des otocyons (Octocyon megalotis) alors que le second, plus végétalisé, est occupé par des servals (Felis serval). Le visiteur continue de longer la plaine africaine avant d'arriver au niveau de l'entrée secondaire du zoo, et de faire face à une autre plaine en sable, séparée du sentier de visite par de larges barrières. Cet enclos est consacré à la présentation de rhinocéros blancs du Sud (Ceratotherium simum simum). La visite se poursuit alors dans le premier bâtiment octogonal du zoo. Celui-ci abrite les loges intérieures des rhinocéros. Quatre loges sont consacrées aux deux couples présentés à Dortmund. En ressortant de la maison, le visiteur découvre deux nouveau plateaux sableux qui terminent le com- plexe des rhinocéros. |
Loge des otocyons - mai 2010 |
Plaine des poudous et des fourmiliers - mai 2010 |
En face du dernier enclos des
rhinocéros, on peut observer le point d'eau de la plaine africaine, sur lequel s'ébattent des cormorans (Phalacrocorax carbo), consacrés comme Oiseaux de l'Année 2010 par le zoo de Dortmund. C'est avec cet enclos que se termine la zone africaine du parc, bien que le chemin de visite continue de longer l'enclos des zèbres et des antilopes. En poursuivant sur le sentier principal, le visiteur découvre, sur la droite, un enclos enherbé, planté de bambous, et agrémenté de racines, troncs et d'un point d'eau. Cet enclos est le lieu d'une cohabitation originale entre des poudous (Pudu pudu), des fourmiliers (Myrmecophaga tridactyla), espèce phare du zoo, et des sarcelles cannelles (Anas cyanoptera). A coté des fourmiliers, une maison, à laquelle sont adossées deux volières de petite taille, constitue l'installation des jaguars (Panthera onca). En poursuivant sur ce sentier, le visiteur revient à l'enclos des lions. La suite de la visite nous conduit à revenir sur nos pas, pour bifurquer vers la gauche, après l'enclos des fourmiliers. Nous entrons alors dans la zone consacrée à l'Amérique du Sud. |
Maison des rhinocéros - mai 2010 |
Enclos des rhinocéros - mai 2010 |
Enclos des otocyons - mai 2010 |
Bassin de la plaine africaine - mai 2010 |
Cage des jaguars - mai 2010 |
Enclos extérieur des tamanduas - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: L'enclos secondaire des rhinocéros a été réduit en terme de taille, de sorte à offrir une installation en sable, plantée d'herbe et agrémentée de bosquets de bambous, pour accueillir une cohabitation entre des cigognes blanches (Ciconia ciconia) et des céphalophes rouges (Cephalophus natalensis). |
![]() Enclos des céphalophes - avril 2011 |
Mitoyen à la plaine des
fourmilier, un petit enclos au sol en sable, agré- menté de troncs d'arbres, est occupé par une autre espèce peu courante en captivité et dans laquelle le zoo de Dortmund s'est spécialisée, à savoir le tamanduas (Tamandua mexicana). La suite de la visite se poursuit dans la seconde maison octogonale du zoo de Dortmund. Un cercle, organisé autour du pilier central, permet au visiteur d'ob- server les 8 loges intérieures. La première est occupée par des tatous à 6 bandes (Euphractus sexcinctus), la seconde est le lieu de coha- bitation de tamanduas (Tamandua mexicana) et de ouistitis de Goeldi (Callimico goeldi). Ces animaux ont également accès à une volière extérieure, visible en sortant par une porte unique, située entre deux loges. Des cranes d'édentés sont également présentés à ce niveau. Les trois loges suivantes sont occupées par des fourmiliers (Myrmecophaga tridactyla) et des paresseux (Choleopus didactylus). Enfin, la dernière loge est occupée par des tamanduas (Tamandua mexicana). Au niveau du toit, un parcours de branches est le lieu d'évolution de paresseux (Choleopus didactylus). Le visiteur ressort alors de la maison des fourmiliers, et découvre, sur la droite du sentier, deux autres plaines en herbe. |
Maison sud américaine - mai 2010 |
Enclos des loups à crinière - mai 2010 |
La première, de grande
taille, est le lieu d'une cohabitaion entre des tapirs terrestres (Tapirus terrestris), des capybaras (Hydrochaerus hydrochaeris), des kamichis à collier (Chauna torquata), des poudous (Pudu pudu) et des fourmiliers (Myrmecophaga tridactyla). Jouxtant cette plaine sud américaine, un enclos forestier est occupé par des loups à crinière (Chrysocyon brachyurus). Le visiteur revient à l'aire de jeux centrale, qu'il traverse, tout en suivant l'enclos des loups à crinière, avant de bifurquer, sur la droite, pour, à nou- veau, observer l'enclos des loups à crinière et la plaine sud américaine. En face de la plaine, une volière est le lieu de cohabitation entre des aras militaires (Ara militaris) et des agoutis dorés (Dasyprocta aguti). Le visiteur emprunte alors le sentier de droite, pour longer, sur la droite, le dernier coté de la pampa sud américaine et, sur la gauche, un enclos en sable dans lequel cohabitent des guanacos (Lama guanicoe) et des maras (Dolichotis patagonum). Enfin, en face des guanacos, et mitoyen à la plaine des tapirs, deux enclos en herbe sont le lieu de vie respectif de pécaris à collier (Tayassu tajacu) et de fourmiliers (Myrmecophaga tridactyla). |
Plaine des tapirs - mai 2010 |
Enclos des pécaris - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: Les ouistitis de Goeldi ne sont plus présentés en compagnie des tamanduas. Par ailleurs, j'ai pu observer les deux autres espèces de tatous, qui n'étaient pas visibles lors de ma première visite, à savoir le tatou à neuf bandes (Dasypus novemcinctus) et le tatou velu (Chaetophractus villosus). |
![]() Tatou à neuf bandes - avril 2011 |
La visite se poursuit dans
une zone consacrée aux petits félins. Diverses volières, de conception ancienne, hébergent ces animaux. La première installation se compose d'une volière extérieure, plantée de nombreux végétaux, et d'une loge intérieure visible à travers des baies vitrées, tout aussi végétalisée et agrémentée de troncs d'arbre. Une famille de jaguarondins (Herpailurus yaguaroundi). En face des jaguarondins, on peut observer un des enclos des rhinocéros. Les volières suivantes sont tout autant végétalisées, et accueillen, res- pectivement, des margays (Leopardus wiedi), des ocelots (Leopardus pardalis) et des oncilles (Leopardus tigrinus), qui se sont reproduits fin avril 2010. En face de ces volières, un nouveau complexe est en cou de finition. Il se compose de différentes volières, regroupées autour d'un bâtiment visible à travers des baies vitrées. |
Volière des jaguarondins - mai 2010 |
Vallée des lynx - mai 2010 |
Le visiteur poursuit alors sa
visite en direction d'une vaste vallée, rappelant les forêts européennes, laissée à l'état sauvage. Ce vaste enclos est le lieu de vie et de reproduction des lynx d'Europe (Lynx lynx). Le visiteur peut alors em- prunter un chemin d'écorces, de sorte à longer la vallée des lynx en direction d'une nouvelle maison octogonale, au sein de laquelle se poursuit la visite. Sur la gauche de la maison, on trouve un petit enclos, séparé du visiteur par une vitre, composé d'une zone de terre et d'un bassin. Le visiteur entre alors dans la maison. Sur la droite, on retrouve un enclos extérieur, comparable à celui observé à l'extérieur. Des loutres naines (Amblonyx cinereus) sont présentées à cet endroit. Le reste de la maison se compose d'un grand enclos, disposant d'un bassin avec vision sous marine, d'une plage en béton et d'une zone naturelle en écorces. Un aquarium est également intégré au bassin. Ce dernier est occupé par des piranhas (Pygocentrus nattereri). Le reste de l'enclos est consacré aux loutres géantes du Brésil (Pteronura brasiliensis), espèce qui se reproduit régulièrement à Dortmund. Le visiteur ressort alors de la maison des loutres et emprunte le sentier de droite, de façon à contourner la maison des loutres. Le long de ce sentier, on tombe nez à nez avec l'enclos extérieur des loutres géantes, composé d'un grand bassin et d'une zone naturelle plantée de quelques arbustes. |
Nouveau complexe des petits chats - mai 2010 |
Volières typiques pour les félins - mai 2010 |
Enclos intérieur des loutres géantes - mai 2010 |
Enclos intérieur des loutres naines - mai 2010 |
Enclos extérieur des loutres naines - mai 2010 |
Enclos extérieur des loutres géantes - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: Le complexe de deux volières regroupées par un bâtiment central, est terminé. Les volières ont été végétalisées et agrémentées de nombreuses souches. Un couple de panthères longibandes (Neofelis nebulosa nebulosa). |
![]() Volière des panthères longibandes - avril 2011 |
Le visiteur poursuit son chemin,
pour regagner le sentier principal et découvrir une nouvelle volière de grande taille, aménagée de quel- ques troncs d'arbres. Des panthères de l'Amour (Panthera pardus orientalis).sont présentées dans cette installation. Le visiteur se dirige alors vers le complexe aquatique du parc. Avant d'atteindre cette nouvelle zone, une ancienne cage, ouverte à ses extrémités, permet au visiteur de découvrir les anciens enclos des animaux de ménagerie. Le premier enclos, composé d'un bassin bleu et d'une plage de bois, d'écorces et de branchages, est le lieu de vie d'une famille reprodu- ctrice de ragondis (Myocastor coypus).Des jeunes y sont nés en 2010. Les deux enclos suivants peuvent être reliés entre eux ou, au contraire, être séparés pour permettre l'isolement d'un animal. Ces deux instal- lations sont consacrées à la présentation de deux espèces d'otaries, les otaries de Californie (Zalophus californianus) et les otaries à fourrure d'Amérique du Sud (Arctocephalus australis) en coha- bitation. |
Volière des panthères de l'Amour - mai 2010 |
Enclos des ours à lunettes - mai 2010 |
En face des otaries, un enclos
ressemblant à une aire de jeux pour enfants, est occupé par un groupe de coatis bruns (Nasua nasua) Le visiteur poursuit sa visite vers un plateau séparé du visiteur par un fossé sec. Ce plateau dispose d'un sol en écorces, et est parsemé de troncs d'arbres. Il est le lieu de vie d'un couple d'ours à lunettes (Tremarctos ornatus). Le visiteur revient alors sur ses pas, au niveau d'une patte d'oie, où il emprunte la bifurcation de droite en direction d'une série de cages et de volières. Les deux premières installations sont identiques, aménagées de troncs d'arbres, de branchages et d'autres agrès en bois. Des chats léopards du Tsushima (Prionailurus bengalensis euptilura) occupent le premier enclos. Les deux cages suivantes, séparées l'une de l'autre par une maison abritant les loges de nuit des animaux, disposent d'un sol en terre, et sont aménagées de quelques racines d'arbres, et plantées de fougères. Des blaireaux (Meles meles) sont présentés à ce niveau. Cette espèce, originaire d'Europe, reste peu présentée dans les zoos du continent. La suite de la visite se poursuit au travers d'une volière cubique, dans laquelle le visiteur est invité à entrer. Cette volière, plantée de nombreux arbres, accueille des chouettes hulottes (Tyto alba) et des chouettes chevêches (Athene noctus). |
La visite se poursuit par trois volières consacrées à la présentation de phasianidés. L'ensemble de ces installations est aménagée de la même manière, à savoir un sol en terre organisé en différentes terrasses, séparées par des rocailles. Des conifères et des arbustes, ainsi que des troncs d'arbres, complètent ces aménagements. La première volière est occupée par des faisans argentés (Lophura nycthemera), la seconde est le lieu d'une cohabitation entre des petits ducs scops (Otus scops) et des perdrix bartavelles (Alectoris graecca). La dernière accueille des faisans dorés (Chrysolophus pictus). C'est avec cette dernière espèce que se termine la rangée de volières. Le visiteur poursuit sa visite en direction d'une nouvelle maison tropicale du zoo de Dortmund. |
Volière des faisans - mai 2010 |
Enclos des ragondins - mai 2010 |
Enclos des otaries - mai 2010 |
Volière des chats tigres - mai 2010 |
Volière des chouettes - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: La seconde volière des panthères du Sri Lanka a été détruite et est aujourd'hui en travaux, en vue de l'agrandir, de sorte à doubler la surface. |
![]() Chantier de la volière des panthères - avril 2011 |
Le visiteur entre alors dans la maison nommée "Ruhman Utan". Cette maison comprend deux étages, et est consacrée à la forêt tropicale indonésienne, représentée à Dortmund par deux espèces en cohabita- tion. Le premier étage, situé en hauteur, permet de voir la partie supé- rieure de l'installation à partir du sommet des arbres qui la com- posent. Un escalier permet de gagner l'étage inférieur et d'observer les bassins. De grands filets délimitent les volières des orang outans, amé- nagées de troncs d'arbres et de branchages. La maison "Ruhman Utan" est le lieu de vie et de présentation d'une famille d'orang-outans de Sumatra (Ponga pygmaeus abelii) et de tapirs malais (Tapirus indicus). Cette cohabitation originale n'em- pêche pas la reproduction de ces deux espèces faisant l'objet de programmes d'élevage européen. De plus, cette cohabitation offre des enrichissements pour chacune des deux espèces qui interagissent entre elles. La cohabitation entre les deux espèces se fait aussi bien dans l'enclos extérieur que dans les loges intérieures des animaux. |
Enclos intérieur des orang-outans - mai 2010 |
Les orang-outans à Dortmund Walter, mâle reproducteur né le 24/04/1989 à Frankfurt Djamuna, femelle reproductrice née le 28/05/1999 à München Fajar, mâle né le 24/04/2010 à Dortmund Suma, femelle reproductrice née le 14/03/1993 à Duisburg Toba, femelle reproductrice née le 07/02/1994 à Leipzig Tao, femelle née le 17/11/2004 à Leipzig Eirina, née le 30/12/2007 à Dortmund |
![]() Enclos intérieur des orang-outans - avril 2011 |
Volière des dendrolagues - mai 2010 |
Accolée à la
maison des orang outans, une salle pédagogique présente
les menaces qui pèsent sur les forêts tropicales, sur les espèces animales. Elle montre les responsabilités des hommes et de notre société quant à ces faits. Le visiteur ressort alors de la maison des orang outans pour emprunter le chemin de gauche et longer l'île des orang outans. Cette dernière se com- pose d'une partie en herbe agrémentée de structures d'escalade et de cor- dages, partie réservée aux orang outans. A l'opposé de l'île, et légèrement en contre bas de la partie en herbe, on trouve une zone de sable dans la- quelle évolue les tapirs. Les orang outans ont également accès à cette zone. Le visiteur gagne alors une petite place, au milieu de laquelle se trouve une petite aire de jeux. La place est entourée de volières. Au fond de la place, deux grandes volières sont séparées par un bâtiment accueillant les loges de nuit des animaux, loges visibles à travers des baies vitrées. La première cage, agrémentée de troncs d'arbres, est le lieu de vie de bin- turongs (Arctictis binturong). La seconde volière est le lieu de vie de dendrolagues de Goodfellow (Dendrolagus goodfellowi). Le dernier enclos en sable, situé au niveau de cette zone de jeux, est occupé par des porcs épics à queue blanche (Hystrix cristata leucura). Le visiteur quitte alors la zone de sable pour revenir dans la maison des orang outans, la traverser et ressortir au niveau de la salle pédagogique. |
Entrée de la serre des orang-outans - mai 2010 |
Salle pédagogique - mai 2010 |
Enclos des orang-outans - mai 2010 |
Enclos des orang-outans et des tapirs - mai 2010 |
Enclos des porc épics - mai 2010 |
Intérieur de la maison des orang-outans - mai 2010 |
Orang outan et son jeune - mai 2010 |
Tapir malais - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: A l'intérieur de la maison des orang outans, une petite volière a été construite et devrait accueillir prochainement une nouvelle espèce qui n'a pas encore été dévoilée. |
![]() Nouvelle volière de la maison des orang outans - avril 2011 |
En ressortant de la maison
pédagogique, le visiteur arrive à un en- clos relativement basique en sable, occupé par des ânes nains (Equus asinus). Il le longe pour traverser une zone naturelle, jusqu'à un nouvel enclos, situé à proximité de la maison des loutres. Cette installation, constituée d'un bassin avec vision sous marine et d'une plage de sable plantée de quelques arbustes, est le lieu de vie d'une colonie de manchots de Humboldt (Spheniscus humboldti). Le visiteur revient alors devant l'enclos des loutres naines. Là, il bi- furque sur la droite pour emprunter un sentier parallèle au précédent. Un enclos de grande taille en terre, agrémenté de quelques rochers, borde le sentier de visite. Un groupe de thars de l'Hymalaya (Hemitragus jemlahicus) occupe cette installation. Le visiteur poursuit sa visite vers la mini ferme du parc qui se carac- térise par des bâtiments en briques rouges et des enclos en sable. Le bâtiment principal accueille l'ensemble des gros animaux du com- plexe. |
Enclos des manchots - mai 2010 |
Enclos de contact des chèvres - mai 2010 |
Le premier enclos est le lieu de
vie d'un couple de porcs domestiques rouges (Sus scrofa domesticus), l'enclos suivant accueille des vaches domestiques (Bos taurus) et des moutons (Ovis aries). Un petit en- clos accueille des lapins (Oryctolagus cuniculus). Enfin, la visite de la mini ferme se termine par un enclos de contact en sable hébergeant des chèvres naines (Capra hircus). Le visiteur ressort alors de la mini ferme au niveau de l'entrée de la grande serre tropicale qui présente les rep- tiles. A ce niveau, la visite se poursuit en empruntant le sentier de droite, en direction d'une nouvelle volière. Cette volière, également consacrée à la faune sud américaine, se com- pose d'un bassin, de branchages enchevétrés et d'une zone en terre. Des ibis rouges (Eudocimus ruber), des spatules roses (Ajaia ajaja), des vanneaux armés (Vanellus armatus) et des sarcelles à collier (Callonetta leucophrys) sont présentés à ce niveau. En face de la volière sud amé- ricaine, on peut à nouveau observer l'île des orang outans jusqu'au niveau de l'aire de jeux des binturongs, où l'on emprunte le sentier de gauche. |
Enclos des thars - mai 2010 |
Enclos des bovins - mai 2010 |
Le visiteur arrive alors au
niveau d'un nouveau plateau en sable, parsemé de branchages. Cet enclos, basique dans sa conception, est le lieu de vie d'une famille de chameaux (Camelus bactrianus). Un chemin, situé en face de l'enclos des chameaux, conduit le visiteur vers une zone où sont érigées plusieurs volières. La première recrée un jardin européen et accueille des tourtrelles des bois (Streptopelia turtur) et des roselins familiers (Carpodacus mexicanus). La seconde recrée également un jardin, mais de type asiatique, et est occupée par des garrulax de Berthémy (Dryonastes berthemyi). La suite de la visite nous conduit dans une zone consacrée plus spécifi- quement aux rapaces. Trois volières, situées sur la droite du sentier, ac- cueillent, respectivement, des chouettes à lunettes (Pulsatrix perspicillata), des chouettes lapones (Strix nebulosa) et des harfangs des neiges (Nyctea scandiaca). L'ensemble des volières des rapaces est composé d'un sol naturel, planté de conifères et autres arbres, et agrémentés de rochers. |
Volière des tourterelles des bois - mai 2010 |
Volière typique pour rapaces - mai 2010 |
Les deux volières
suivantes, situées l'une à coté de l'autre, sont
le
lieu de présen- tation de vanneaux couronnés (Vanellus coronatus) et de dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata), la seconde est occupée par des faucons crécerelles (Falco tinnunculus). La volière suivante, de grande taille, est occupée par un couple de vautours papes (Sarcoramphus papa). La suite de la visite nous amène vers un nouveau groupe de trois volières, dans lesquelles sont présentés, respectivement, des caracaras huppés (Polyborus plancus), des vautours auras (Cathartes aura) et des vautours urubus noirs (Coragyps atratus). Un peu plus loin sur le sentier, une volière de grande taille est occupée par un couple d'aigles royaux (Aquila chrysaetos). Le visiteur revient alors au niveau du sentier principal, bordant l'enclos des chameaux. A ce niveau, la visite se poursuit sur la droite, de sorte à découvrir une dernière grande volière, de volume important, lieu d'une cohabitation entre des condors des Andes (Vultur gryphus) et de caracaras des montagnes (Phalcoboenus megalopterus). C'est avec cette dernière volière que se termine la visite du zoo de Dortmund. Le visiteur continue son chemin en direction de l'entrée principale qui fait également office de sortie. |
Enclos des chameaux - mai 2010 |
Volière des condors - mai 2010 |
Mise à jour suite à ma visite du 23 mai 2011: Un cariama huppé (Cariama cristata) est présenté dans une loge située à coté des vautours papes. |
![]() Cariama huppé - avril 2011 |
En conclusion, le zoo de
Dortmund est un parc de ville, de taille moyenne, présentant une collection intéressante et majoritairement orienté vers la faune sud américaine. Le zoo est également le coordinateur européen des programme d'élevage des fourmiliers géants et des tamanduas. Le parc possède de nombreuses espèces peu courantes en captivité, bien que plusieurs espèces sont maintenues en coulisses et, par conséquent, ne sont pas visibles du public. Les bâtiments abritant les loges de nuit des animaux se caractérisent par leur forme octogonale, ce qui rend le parc très original. Néanmoins, la pédagogie reste basique au niveau de la conception des panneaux d'informations. Des efforts sont faits pour améliorer la pédagogie. Le zoo offre une visite agréable d'une durée de 4 à 5 heures. |
Rhinocéros blancs - mai 2010 |
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