Zoo Frankfurt Bernhard Grzimek Allee 1 60316 Frankfurt am Main Allemagne Tel : +49 (0) 69 212 337 35 Fax : +49 (0) 69 212 378 55 www.zoo-frankfurt.de |
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Tickets
journaliers : Adulte: Enfant (6 à 17 ans): Elèves, étudiants, séniors: Carte famille (2 adultes + enfants): Groupe adultes (>20 personnes) Groupe enfants (>20 personnes) Tickets annuels Adulte: Enfant (6 à 17 ans): Elèves, étudiants, séniors: Carte famille (2 adultes + enfants): Tickets annuels compilés Zoo Frankfurt - Opel Zoo Adulte: Enfant (6 à 14 ans): |
10,00 € 5,00 € 5,00 € 25,00 € 8,00 € 4,00 € 60,00 € 25,00 € 25,00 € 90,00 € 84,00 € 36,00 € |
Eté
(Avril à fin octobre) Parc zoologique Caisses Hiver (fin octobre à fin mars) Parc zoologique Caisses |
9h00 à 19h00 9h00 à 18h30 9h00 à 17h00 9h00 à 16h30 |
![]() Ours lippu - juillet 2009 |
Nous débutons la visite
du zoo de Frankfurt par l'entrée principale, pour découvrir une première zone du parc consacrée à la présen- tation des ursidés. Cette partie du parc se compose de 3 fosses situées cote à cote. Ces instalations peuvent également être reliées entre elles. Les fosses sont agrémentées de quelques troncs d'ar- bre, de branchages et de buissons. La première fosse est occupée par des ours malais (Helarctos malayanus). Les deux fosses sui- vantes, reliées entre elles, sont le lieu de vie deux femelles ours lip- pus (Melursus ursinus ursinus), espèce peu représentée en cap- tivité. Le visiteur quitte alors la zone des ours pour se rendre dans la zone des fauves. La suite de la visite amène le visiteur à longer, sur la gauche, un grand enclos en herbe au milieu duquel se dresse un monticule de terre. La séparation du public se fait par un fossé en eau. Un couple de lions d'Asie (Panthera leo persica) occupe cet enclos. Le visiteur poursuit sa visite en direction de la maison des fauves. |
![]() Fosse des ours lippus - juillet 2009 |
![]() Loge intérieure des tigres - juillet 2009 |
Avant d'entrer dans ce grand
bâtiment, le visiteur découvre, à travers des espaces vitrés, un nouvel enclos densément végétalisé, planté de bambous et d'autres arbres. Cet enclos est le lieu de vie d'un cou- ple de tigres de Sumatra (Panthera tigris sumatrae). Le visiteur entre alors dans la maison des fauves à l'architecture ty- pique des parcs allemands. Ce bâtiment présente sur la gauche, deux grandes loges au sol en sable et agrémentées de rochers. Ces loges sont consacrées aux lions. En face de lui, le visiteur peut observer deux nouvelles loges très hautes et à la végétation luxuriante. Un petit ruisseau sillone entre ces loges qui peuvent être séparées. Cette installation est le lieu de vie de chats rubigineux (Prionailurus rubiginosus phillipsi). Le zoo de Frankfurt est le coordinateur eu- ropéen de cette espèce très peu représentée en parc zoologique. En bifurquant sur la droite, le visiteur découvre 3 grandes loges den- sément végétalisées, au sol en terre, qui constituent les loges de nuit des tigres de Sumatra. |
![]() Enclos des lions d'Asie - juillet 2009 |
![]() Loge des lions - juillet 2009 |
Mise
à jour suite à ma visite d'aout 2015 : L’entrée du parc a totalement été refondue et un nouveau bâtiment a été construit, bien plus mo- derne. Ce dernier abrite non seulement les caisses de l’établissement mais également une boutique de souvenirs. Après avoir traversé ce hall, le visiteur emprunte une allée pavée, sur la gauche de laquelle, les an- ciens enclos ont été démolis. En lieu et place de ces fosses, se dresse un haut mur de faux rochers, camouflé dans une forêt de charmes. |
Enclos des ours à lunettes - aout 2015 |
Enclos des ours à lunettes - aout 2015 |
Plusieurs
baies vitrées percent ces murs qui déli- mitent un vaste enclos en herbe, au cœur duquel poussent de grands chênes et plusieurs autres arbres. Une cascade se jetant dans un bassin ainsi que de multiples structures d’escalade en bois, troncs et cordes complètent les aménagements. Ce complexe sud américain présente des ours à lunettes (Tremarctos ornatus) et des singes hurleurs noirs (Alouatta caraya). A l’extrémité de cet enclos visible à partir de divers points d’observation, le visiteur retrouve l’enclos des lions. |
Enclos des ours à lunettes - aout 2015 |
Enclos des ours à lunettes - aout 2015 |
Le visiteur découvre les
deux dernières loges de la maison des fauves, installations comparables à celles des tigres, bien que plus végétalisées. Ces deux loges sont occupées par des fossas (Cryptoprocta ferox). A ce niveau, le visiteur peut soit res- sortir de la maison des fauves, soit revenir au niveau de la loge des chats rubigineux pour gagner l'étage supérieur de la maison d'où il dispose de nouveaux points de vue sur l'enclos des chats rubigineux et sur celui des fossas. Le visiteur sort alors de la maison des fauves et découvre sur la gauche, la volière exté- rieure des chats rubigineux. En bifurquant sur la droite, on redes- cant au niveau du sol, tout en longeant la loge des fossas. A ce niveau, le visiteur découvre sur la droite, l'enclos extérieur des fossas, en face duquel se trouve une nouvelle installation extérieure composée d'un bassin avec vision sous marine dans lequel se jette un petit ruisseau qui sillonne entre les rochers et les zones d'herbe qui compose l'enclos. Un groupe de loutres naines d'Asie (Aonyx cinerea) est présenté à cet endroit. |
![]() Loge intérieure des fossas - juillet 2009 |
![]() Future maison des gibbons - juillet 2009 |
A ce niveau, le visiteur
découvre un carrefour, en face duquel se trouve une nouvelle maison tout en verre, en cours de finition. Cette maison devrait prochainement accueillir les gibbons à favoris blancs du Nord (Nomascus leucogenys) du zoo de Frankfurt. A ce niveau, le visteur emprunte le sentier de droite de sorte à longer la maison des fauves. La suite de la visite nous conduit sur un pont surplombant, sur la droite, l'enclos des tigres de Sumatra. Composé d'un fossé faisant office de bassin pour les animaux et d'une partie en terre densément végétalisée bordée par le bâtiment en bois de la maison des fauves. Sur la gauche, on découvre une île de grande taille, reliée à la maison des gibbons. Au niveau du lac, on peut éga- lement découvrir de nombreuses espèces d'anatidés comme des pilets d'Europe (Anas acuta), des nettes rousses (Netta rufina), des garrots à oeil d'or (Bucephala clangula), des canards souchets (Anas clypeata), des tadornes de Belon (Tadorna tadorna), des bernaches à cou roux (Branta ruficollis) et des harles bièvres (Mergus merganser). |
Le visiteur entre dans une
première zone de pénombre au sein de laquelle ses yeux peuvent s'habituer à l'obscurité. Dans cette zone, il découvre sur la gauche, un premier terrarium dans lequel sont présentées des macroscélides à oreilles courtes (Macroscelides proboscideus). Mitoyen à ce terrarium, une nouvelle installation est le lieu de vie de petits tenrecs hérissons (Echinops telfairi). Le troisième en- clos héberge un groupe de tamarins empereurs (Saguinus imperator subgrisescens) qui cohabitent avec des agoutis nains (Myoprocta pratti). Cette installation est agrémentée de quelques arbres dans lesquels les singes évoluent. Le visiteur entre dans la zone noire du noctarium. Le premier ter- rarium de cette zone est occupé par des kowaris (Dasyuroides byrnei), espèce très peu courante en captivité. A partir de ce ni- veau le noctarium du zoo Frankfurt présente différents terra- riums sur la gauche et la droite du couloir de visite. |
![]() Volière des tamarins et des accouchis - juillet 2009 |
![]() Coendu - juillet 2009 |
La seconde installation est le
lieu de vie de coendus (Coendou prehensilis), espèce de porc-épic à queue préhensile. Le troi- sième terrarium au sol en sable et agrémenté de quelques ro- chers et branchages, est le lieu de cohabitation de tatous velus (Chaetophractus villosus) et de paresseux à deux doigts (Choloepus didactylus). La suite de la visite nous conduit vers le terrarium des douroucoulis à bras gris (Aotus lemurinus griseimembra). Leur terrarium est, comme pour les autres, aménagé de quelques branchages. La terrarium suivant est occupé par des bassaris rusés (Bassariscus astutus). La suite de la visite nous conduit à découvrir les galagos moholis (Galago moholi), espèce peu courante en captivité. Des lérots d'Asie (Eliomys melanurus), espèce de rongeurs très peu représentée en captivité et dont le zoo de Frankfurt pré- sente un groupe de taille très importante occupe le vivarium suivant. |
Le visiteur découvre un
dernier terrarium situé sur le coté gauche de la partie nocturne, installation occupée par des loris grêles (Loris tardigradus), espèce de petit primate aux membres longs et fins. En face des loris, le visiteur découvre un nouvel en- clos de taille importante dans lequel vivent des couscous gym- notes (Strigocuscus gymnotis). Mitoyen aux cousous, un autre terrarium est occupé par des fennecs (Fennecus zebra). En face du couloir, on découvre la plus grande installation du noctarium. Celle ci se compose d'un grand enclos bétonné dans lequel se dressent des fourmilières reconstituées ainsi que quelques ro- chers. Un tunnel situé sur la droite, conduit vers un terrier visible à travers une baie vitrée. Des oryctéropes (Orycteropus afer) occupent ce grand enclos. La suite de la visite nous amène à bifurquer sur la droite, pour découvrir, dans un virage, deux grandes installations densém- ment végétalisées et aménagées de nombreux branchages. Ces deux enclos peuvent être reliés entre eux ou séparés. |
![]() Lori grêle - juillet 2009 |
![]() Aye aye - juillet 2009 |
Des ayes-ayes (Daubentonia madagascariensis) y
cohabitent avec des petits microcèbes (Micorcebus murinus). La cohabitation est relativement originale et se passe sans problèmes, les microcèbes pouvant se camoufler dans la végétation. En face de ces deux enclos, on découvre une volière consacrée à la présentation de chiroptères (famille des chauves souris). Des fer-de-lances à lunettes (Carollia perspicillata) représentent cette famille. Leur installation est la recon- stitution d'une grotte. La suite de la visite conduit le visiteur à remon- ter légèrement le noctarium en direction de la zone jour de ce bâtiment. Au niveau de la zone nocturne, il peut encore découvrir quelques es- pèces. A coté des chauves souris, un premier terrarium au sol sec, est le lieu de vie de gerboises du désert (Jaculus jaculus). Le coté gau- che présente également trois terrariums de taille réduite, à la végétation fortement développée, et occupés respectivement par des galagos mo- holis (Galago moholi) et par des loris grèles (Loris tardigradus) pour les suivants. |
Sur le coté droit,
mitoyen à l'enclos des aye-ayes, deux nouveaux terrariums sont le lieu de vie de kinkajous (Potos flavus). Leurs installations peuvent être reliées entre elles ou séparées. Des branchages font office d'objet d'enrichissement. Le terrarium suivant est le lieu de vie de pétauristes pygmés (Acrobates pygmaeus), espèce peu courante en captivité. A coté des pétau- ristes, un grand enclos disposant d'un bassin en vision sous ma- rine et d'une plage en béton est le lieu de vie d'un groupe de rats d'eau australiens (Hydromys chrysogaster). Le visiteur se trouve alors à l'opposé de l'enclos des oryctéropes et fait face à une grande installation en profondeur, au sol en ter- re et agrémentée de plantes et troncs d'arbre. Des kiwis australs (Apteryx australis) occupent cette installation. En face de cet enclos, on trouve un dernier terrarium nocturne dans lequel coha- bitent des petits tenrecs hérissons (Echinops telfairi) et des cheirogales à queue grasse (Cheirogaleus medius), espèce peu courante en captivité. |
![]() Terrarium du noctarium - juillet 2009 |
![]() Kinkajou - juillet 2009 |
![]() Lérot d'Asie - juillet 2009 |
Mise à jour suite à ma visite d'aout 2015 : De nombreux changements sont à noter au niveau du vivarium. Lors de cette visite, la loge qui ac- cueillait les tamarins empereurs (Saguinus imperator) et les accouchis (Myoprocta pratti) était en travaux et donc dissimulée. Les petits singes ne sont plus présentés au public tandis que les rongeurs ont été transférés dans une autre section de l’Exotarium. Les bassaris rusés (Bassariscus astutus) ont également quittés la collection laissant leur enclos vide et en cours de réaménagement. |
Cheirogale à queue grasse - aout 2015 |
Lori grêle - aout 2015 |
Les galagos moholis (Galago
moholi),
ont été trans- férés et cohabitent désormais avec les oryctéropes (Orycteropus afer), leur loge étant le lieu de vie de cheirogales à queue grasse (Cheirogaleus medius). Les couscous gymnotes (Strigocuscus gymnotis) et les fennecs (Fennecus zebra) ne sont plus présentés. Enfin, à la fin du noctarium, les kiwis ont laissé place à des podargues gris (Podargus strigoides) qui co- habitent avec des echidnés à bec court (Tachyglossus aculeatus). |
Le premier enclos de cette zone
est de taille relativement grande et est agrémenté de nombreux branchages. Il est le lieu de vie d'écureuils de Prévost (Callosciurus prevosti). En face des écureuils, une grande installation est fortement végétalisée et ag- rémentée de lianes, branchages et troncs d'arbre. Des sakis à face blanche (Pithecia pithecia), des tamarins lions dorés (Leontopithecus rosalia) et des accouchis verts (Myoprocta pratti) y cohabitent. Les autres terrariums sont pour le moment tous situés sur la droite du chemin de visite, un lieu de repos étant situé sur la gauche. Le terrarium suivant se compose d'une plage plantée de quelques lianes et d'un bassin à vision sous marine. Un groupe de loutres naines (Aonyx cinerea) y est présenté. ces animaux ont également accès à l'enclos extérieur que l'on a pu observer en face de la maison des fauves. Mitoyen aux loutres, une installation de petite taille de style désertique est occupée par une colonie de mangoustes naines (Helogale undulata). |
![]() Ecureuil de Prevost - juillet 2009 |
![]() Loge des cobayes - juillet 2009 |
L'enclos suivant, semblable
à celui des sakis, est le lieu de vie de tamanduas (Tamandua tetradactyla), espèce peu courante qui profite de l'ensemble des possibilités d'escalade qui sont mises à sa disposition. Le terrarium suivant, de même type que le précé- dent, est le lieu de vie d'un couple de chevrotains malais (Tragulus javanicus), espèce peu courante en captivité. La suite de la visite nous conduit vers un enclos de grande taille aménagé de nombreux rochers de couleur ocre et de quelques branchages. Des cobayes sauvages (Procavia magna) sont présentés dans cette installation. En face, le visiteur découvre un terrarium consacré à la faune aus- tralienne. Cet enclos est agrémenté de qualques faux rochers, de quelques arbres et d'un sol en terre. Des podargues gris (Podargus strigoides), espèce peu courante en captivité, coha- bitent avec des echidnés à bec court (Tachyglossus aculeatus), espèce présentée dans 4 parcs européens. Le visiteur se trouve alors dans le couloir menant à la sortie du noctarium, chemin bordé par des terrariums à gauche et à droite. |
Sur la droite du couloir, un
enclos densémment végétalisé et agré- menté de quelques branchages est occupé par un groupe de oui- stitis de Goeldi (Callithrix goeldii). A coté de ces petits singes sud américains, se trouve une petite volière au sein de laquelle s'ébatent des cordons bleus (Uraeginthus cyanocephalus). En face de ces deux installations, le visiteur peut observer la cuisine du noctarium ainsi que les téléviseurs diffusant les images des ter- riers des animaux nocturnes. A coté de la cuisine, un nouvel en- clos en sable, agrémenté de nombreux rochers, de branchages d'un sol en sable, est le lieu de cohabitation entre des mangoustes naines (Helogale undulata) et des damans des rochers (Procavia capensis). Sur le coté droit du sentier, on trouve en- core deux enclos aménagés de nombreux branchages, plantes et lianes. Ces deux installations sont reliées à des volières extérieures devant lesquelles le visiteur est passé entre l'enclos extérieur des loutres et l'entrée du noctarium. |
![]() Tamanduas - juillet 2009 |
![]() Chevrotain malais - juillet 2009 |
Ces deux installations sont occupées respectivement par des tamarins à lèvres blanches (Saguinus labiatus) et des saïmiris de Bolivie (Saimiri boliviensis boliviensis). Ces deux espèces ont accès à des volières extérieures devant lesquelles le visiteur est passant avant d'entrer dans le noctarium. Avant de sortir de ce bâtiment, le visiteur découvre la partie haute de la volière vue à l'entrée du noctarium. Cette dernière est occupée par des tamarins empereurs (Saguinus imperator subgrisescens) et des agoutis nains (Myoprocta pratti). Le visiteur ressort alors du vivarium et emprunte le chemin se dirigeant sur la gauche pour continuer sa visite en direction de l'aquarium et vivarium du zoo de Frankfurt, second bâtiment dans lequel il est invité à entrer. |
Mise
à jour suite à ma visite d'aout 2015 : Le visiteur quitte alors la partie nocturne pour se retrouver dans la zone éclairée de l’exotarium. L’ancienne loge des échidnés a été totalement ré- aménagée, creusée d’un bassin et agrémentée de faux rochers, recréant un bord de lac. Ce vivarium accueille maintenant de jeunes varans de Komodo (Varanus komodoensis), une nou- velle espèce pour le zoo. Un groupe de gundis de l’Atlas (Ctenodactylus gundi) a remplacé les damans des rochers, tandis que des souris rayées africaines (Lemniscomys barbarus) cohabitent avec les cordons bleus (Uraeginthus cyanocephalus). |
Terrarium des varans de Komodo - aout 2015 |
Dès l'entrée dans
l'aquarium, le visiteur est plongé dans une am- biance sombre. Le premier grand enclos situé sur le mur gauche, se compose d'une plage bétonnée recréant une banquise et d'un bassin avec vision sous marine. Des manchots papous (Pygoscelis papua) sont hébergés dans cette installation. La partie gauche de cette première salle est consacrée à la présen- tation d'aquariums d'eau de mer. On peut y découvrir entre autre des chirurgiens jaunes (Zebrasoma flavescens), des poissons clown à trois bandes (Amphiprion ocellaris), des poissons an- ges nains flamboyants (Centropyge loriculus) des chirurgiens bleus (Paracanthurus hepatus) ou encore des chirurgiens à gorge blanche (Acanthurus leucosternon). La partie droite et le fond de la salle sont consacrés aux eaux douces de la planète. Les premiers aquariums sont le lieu de présentation de poissons de nos rivières, comme par exemple les goujons (Gobio gobio), les rotengles (Scardinius erythrophtalmus), les gardons (Rutilus rutilus). |
![]() Recif marin - juillet 2009 |
![]() Bacs amazoniens - juillet 2009 |
Un second aquarium est le lieu
de vie de tangaras du Brésil (Ramphocelus bresilius), de jacanas noirs (Jacana jacana) et d'arawanas (Osteoglossum bicirrhosum). D'autres aquariums sont le lieu de vie de cichlidés et d'autres poissons d'eau douce. Le visiteur est alors invité à emprunter un es- calier le long duquel se trouvent de nombreux aquariums. Le premier est relié à une centrale permettant de calculer l'élec- tricité libérée par les orantes bichir (Polypterus ornatipinnis) et les poissons éléphants (Gnathonemus petersi) présentés dans le bac. Un pallier fait office de salle sud américaine, composée de différents bac au sein desquels on peut observer des poissons amazoniens comme les carinals (Paracheirodon axelrodi) ou encore les poissons archers (Toxotes jaculator). Le visiteur arrive alors au niveau du second étage de l'exo- tarium consacré aux reptiles et aux batraciens. |
Cet étage est
composé de divers terrarariums aménagés soit de
ro- chers et de sable, soit de terre, de bois et de végétaux en fonction des besoins biologiques des espèces présentées. Parmi ces espèces, on peut citer les vipères à cornes (Vipera ammodytes), une coha- bitation entre des geckos à queue plate (Uroplates fimbriatus), des geckos géants (Phelsuma madagascariensis grandis) et des gre- nouilles tomates (Dyscophus antongili). On retrouve également au sein du vivarium de Franckfurt, des varans de Glauert (Varanus glauerti), des mambas verts (Dendroaspis viridis), des basilics couronnés (Laemanctus serratus), des anolis de Jamaïque (Anolis garmani), des varans de Mindanao (Varanus salvatori cumingi), ou encore des crocodiles de Johnston (Crocodylus johnsoni), des agames barbus (Amphibolarus vitticeps), des phrynomantes ta- chetées (Phrynomantis resinifictrix). |
![]() Terrarium pour iguanes - juillet 2009 |
![]() Terrarium pour vipères - juillet 2009 |
Au sein de ce reptilarium, on
peut également découvrir des coha- bitations originales. Une première cohabitation rassemble des tor- tues de Tornier (Malacochersus tornieri) et des platysaures em- pereurs (Platysaurus imperator). Un autre terrarium héberge des lézards bleus des rochers (Petrosaurus thalassinus), des lézards du désert (Dipsosaurus dorsalis) et des chuckwallas (Sauromalus obesus). La troisième cohabitation se fait entre des anolis de Ja- maïque (Anolis garmani), des iguanes à casque (Corytophanes hernandezii) et des grenouilles arboricoles (Smilisca phaeota). Mitoyen à ce dernier, on retrouve des iguanes d'Utila (Ctenosaura bakeri) et des crapauds gutturaux (Bufo gutturalis). Le visiteur ressort alors de l'exotarium du parc et découvre sur sa gauche, une maison visible à travers des baies vitrées. Cette instal- lation est reliée à un enclos extérieur rocheux et pentu que longe l'escalier du vivarium. Des wallabies d'Eugénie (Macropus eugenii) occupent cet enclos que le visiteur longe. |
![]() Iguane rhinocéros - juillet 2009 |
![]() Lézard bleu des rochers - juillet 2009 |
![]() Enclos des wallabies - juillet 2009 |
![]() Wallaby d'Eugénie - juillet 2009 |
Mise
à jour suite à ma visite d'aout 2015 : Les wallabies d’Eugénie (Macropus eugenii) ainsi que le takins de Mishmi (Budorcas taxicolor taxicolor) ont quitté le parc. Leurs enclos ont été fusionnés et sont consacrés à des bouquetins du Caucase (Capra caucasica). Par ailleurs, la maison jouxtant l’enclos des dendrolagues a été transformée en centre de reproduction du kiwi (Apteryx australis) . Des baies vitrées et plusieurs pan- neaux pédagogiques permettent de voir la cuisine de ce centre, les volières d’élevage étant en coulisses. A ce jour le parc héberge 9 individus que le visiteur pourra voir lors de séances de nourrissage public se déroulant 1 à 2 x par mois. |
Volière typique pour kiwis - aout 2015 |
L'enclos des wallabies est le
premier d'un complexe d'installations rocheuses en pente. Les deux autres enclos de ce complexe sont le lieu de vie de takins de Mishmi (Budorcas taxicolor taxicolor). La suite la visite nous amène à nouveau au niveau de l'entrée de l'exotarium en face de laquelle on trouve une aire de jeux rénovée en 2009. Le visiteur est invité à la traverser pour se diriger vers deux volières au sol naturel, plantées de nombreux buissons et agrémentées de quelques rochers et branchages. Des kéas (Nestor notabilis) sont présentés dans la première alors que la seconde est occupée par des dendrolagues de Goodfellow (Dendorlagus goodfellowi). Leur installation extérieure était en travaux lors de ma visite et les animaux n'étaient visibles qu'à travers les baies vitrées de leur loge intérieure. Le visiteur poursuit sa visite en longeant les cuisines du zoo pour se diriger vers une petite zone africaine. Sur la gauche du sentier, le visiteur découvre un enclos tout en longueur au sol en terre et agrémenté de quelques rochers, dans lequel est hébergé un groupe de lycaons (Lycaon pictus). |
![]() Enclos des takins - juillet 2009 |
![]() Plaine africaine - juillet 2009 |
En face des lycaons, le visiteur peut admirer une partie d'une grande plaine en sable consacrée aux hippotragues noirs (Hippotragus niger) et aux autruches d'Afrique du Sud (Struthio camelus australis). Nous arrivons alors au niveau d'une des extrémités du parc. La suite de la visite nous conduit à entrer dans une rangée de volières en contact direct. Toutes les volières sont densément végétalisées, agrémentées d'un plan d'eau ou d'une cascade et aménagées avec des arbres et des rochers. La première volière est le lieu de vie de sarcelles d'hiver (Anas crecca), espèce qui s'est reproduite le 26 juin 2009. La se- conde volière est le lieu de cohabitation de deux espèces peu cou- rantes en captivité à savoir des outardes du Sénégal (Eupodotis senegalensis) et des éperonniers de Palawan (Polyplectron emphanum). Ces deux espèces se sont déja reproduites à Frankfurt. |
La volière suivante est
le lieu de vie d'une colonie d'avocettes élégantes (Recurvirostra avosetta) et de guêpiers d'Europe (Merops apiaster). La dernière volière nous fait voyager sur le continent américain puisqu'on y découvre des ibis rouges (Eudocimus ruber), des savacous huppés (Cochlearius cochlearius), dont des petits ont éclos le 28 juin 2009 et des aigrettes pies (Egretta piccata). La quatrième et dernière volière extérieure est pour sa part consacrée à l'avifaune eurasienne représentée par des huppes fasciées (Upupa epops), des tragopans satyres (Tragopan satyrus) et des rolliers bleus (Coracias garrulus), qui se sont reproduits en mai 2009. Le visiteur ressort alors des volières extérieures en direction de la plaine des hippotragues pour bifurquer sur la gauche et se diriger vers la maison des oiseaux du zoo au sein de laquelle se poursuit la visite. |
![]() Volière des limicoles - juillet 2009 |
![]() Enclos des lycaons - juillet 2009 |
![]() Volière des tragopans - juillet 2009 |
![]() Guêpier d'Europe - juillet 2009 |
![]() Outarde du Sénégal - juillet 2009 |
![]() Savacou - juillet 2009 |
![]() Aigrette pie - juillet 2009 |
La maison des oiseaux de
Frankfurt se divise en 3 parties. Une petite salle entourée de volières visibles à travers des baies vitrées, qui hébergent pour la plupart des petites espèces. Une grande salle bordée par de grandes installations séparées du visiteur par des vitres, est consacrée à la présentation de plus grosses espèces. Enfin, une dernière zone recréer une forêt tropicale dans laquelle les oiseaux sont présentés en liberté. Les premiers oiseaux que l'on découvre dans la première salle sont des cordons bleus (Uraeginthus cyanocephalus). Des diamants de Gould (Chloebia gouldiae) sont présentés dans la se- conde installation. Les espèces suivantes que l'on peut observer dans cette salle sont des zosterops du Kikuyu (Zosterops senegalensis kikuyuensis), des pririts à collier (Platysteira cyanea) qui cohabitent avec des cordons bleus (Uraeginthus cyanocephalus), des bengladis zébrés (Amandava subflava) qui vivent avec des cailles arlequins (Coturnix delegorguei), des sporophiles petit chan- teurs (Tiaris canora), ou encore des diamants à gouttelettes (Steganopleura guttata). |
![]() Salle des petits oiseaux - juillet 2009 |
![]() Enclos intérieur des bec en sabot - juillet 2009 |
Le visiteur entre alors dans la
seconde salle de la maison des oiseaux. Le visiteur découvre sur la droite un premier enclos reconstituant un petite mangrove, dans lequel on peut découvrir un bassin et de nombreuses structures en bois. Des kookaburas à ailes bleues (Dacelo leachii) y sont présentés. Mitoyen aux martins chasseurs, une installation carrelée dis- posant d'un bassin avec vision sous marine, est occupée par des cormo- rans pies (Phalacrocorax melanoleucos) et des grèbes naines (Tachybaptus ruficollis). Le visiteur fait alors face à une grande vitre derrière laquelle poussent de nombreux bambous formant une forêt dense. Cette loge intérieure est reliée à un enclos extérieur de même type. Un couple de rares becs en sabot (Balaeniceps rex) y est présenté. Sur le coté gauche, le visiteur découvre la cuisine de la maison des oiseaux ainsi que la nursery. La première volière à oiseaux de ce coté, accueille des évêques de Brischof (Cyanocompsa brissonii). La seconde volière de taille plus importante, est consacrée à l'Amérique du Sud et présente, des grands mot-mots (Momotus momota) et des caurales soleil (Eurypyga helias). Leurs volières, comme toutes les installations de cette salle, sont densémment végétalisées et recréent le plus fidèlement possible le milieu de vie de leurs pensionnaires. |
![]() Bec en sabot - juillet 2009 |
![]() Pririt à collier - juillet 2009 |
Mitoyen à la
volière des caurales, une seconde volières sud
américaine accueille des tourterelles socorro (Zenaida asiatica), dont le parc co- ordonne le programme d'élevage européen., des tinamous élégants (Eudroma elegans) et des évêques de Brischof (Cyanocompsa brissonii). L'installation suivante est occupée par des calaos tarictics (Penelopides panini), espèce peu courante originaire d'Asie du Sud Est. Des gallicolombes de Barlett (Gallicolomba criniger), des barbi- cans à bec denté (Lybius dubius) et des roulrouls (Rollulus roulroul) sont présentés dans la volière suivante. Le visiteur découvre alors des oiseaux originaires d'Afrique, tels les merles amnéthystes (Cinnyricinclus leucogaster) qui cohabitent avec des pluviers d'Egypte (Pluvianus aegypticus). Une seconde volière africaine est le lieu de vie d'oedicnèmes du Cap (Burhinus capensis) et de tisserins gendarmes (Ploceus cucullatus). Le coté droite de la maison est également divisé en plusieurs volières. La première est le lieu de présentation de brèves à queue bleue (Pitta guajana). La suivante, consacrée à la mangrove nord austra- lienne et est le lieu de vie d'aigrettes pies (Egretta picata) et de per- ruches ondulées (Melopsittacus undulatus). |
![]() Seconde salle de la maison des oiseaux - juillet 2009 |
![]() Zone de vol libre - juillet 2009 |
La suite de la visite permet au visiteur d'observer des gallicolombes de Barlett (Gallicolomba criniger), des ptilopes à cou noir (Ptilinopus melanospila), des tangaras du Brésil (Ramphocelus bresilius) et des troupials de Montserrat (Icterus oberi). Les deux dernières installations sont occupées respectivement par des sucriers à face bleue (Entomyzon cyanotis), qui se sont reproduits en février et avril 2009, et par des paons du Congo (Afropavo congensis). Le visiteur entre alors dans une grande pièce à la végétation dense, au sein de laquelle différentes espèces d'oiseaux originaires de tous les continents sont présentés en vol libre. On peut y observer des touracos violets (Musophaga violacea), des gallicolombes de Barlett (Gallicolomba criniger), des gouras victorias (Goura victoria), des perdrix roulouls (Rollulus roulroul), des pigeons nobles (Otidiphaps nobilis nobilis), des pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica) et des bulbuls orphées (Pycnonotus jocosus). Le visiteur ressort alors de la maison des oiseaux et peut découvrir l'enclos extérieur des becs en sabot. |
![]() Cormoran pie - juillet 2009 |
![]() Caurale soleil - juillet 2009 |
![]() Merle amnéthyste juvénile - juillet 2009 |
![]() Calao tarictic - juillet 2009 |
Mise
à jour suite à ma visite d'aout 2015 Au niveau de la maison des oiseaux la seule différence notable est le transfert des pririts à collier (Platysteira cyanea) au sein d’une volière de la grande salle. L’ancienne structure de ces oiseaux a été refondue, dispose d’un sol en sable et est agrémentée de quel- ques graminées. Elle est occupée par un combattant turnix (Turnix suscitator). Par ailleurs, suit à la mort de la femelle bec en sabot en 2012, sa volière a été transformée en une savane qui présente des marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus). La partie extérieure de cet enclos devrait être tran- sformée en une volière recréant une savane sèche destinée à ces échassiers. |
Volière intérieure des marabouts - aout 2015 |
En sortant de la maison des
oiseaux, le visiteur emprunte le chemin situé sur sa gauche, en direction de la seconde entrée du zoo et de la zone consacrée aux primates. Une première fosse, de grande taille, aménagée de structures bétonnées et de troncs d'arbre, est le lieu de vie d'une troupe reproductrice de babouins hamadryas (Papio hamadryas). En coutournant la fosse, le visiteur se dirige vers une première maison des primates bordée de cages semi - ouvertes, agrémentées de quelques structures en bois. Ces cages très anciennes sont typiques des zoos allemands. Des colobes guérézas (Colobus guereza kikuyuensis) sont présentés dans la première volière. La seconde installation de cette maison est le lieu de vie de cercopithèques diane (Cercopithecus diana diana) alors que la dernière est occupée par des gibbons à favoris blancs (Hylobates leucogenys). En face des gibbons, une première fosse en sable dans laquelle de nombreuses galeries ont été creusées, est le lieu de présenta- tion d'une colonie de suricates (Suricatta suricatta). |
![]() Fosse des babouins - juillet 2009 |
![]() Volière extérieure des primates - juillet 2009 |
La suite de la visite nous
conduit vers une nouvelle maison identique à la précédente, qui est également composée de trois cages à singes. Ces volières sont néanmoins plus végétalisées que les premières. Des capucins à poitrine jaune (Cebus apella xanthostemos) occupent la première cage, alors que la seconde est le lieu de vie de makis varis roux (Varecia variegata variegata) et la troisième présente des makis catta (Lemur katta). Le visiteur fait alors face à la nouvelle maison des anthropoïdes, dont l'ex- térieur était encore en travaux lors de ma visite. On longe ensuite ce qui sera la prochaine volière des orang-outans, pour arriver vers une petite ile plantée de nombreux arbres. Un groupe d'atèles marimondas (Ateles belzebuth hybridus), dont le zoo de Doué la Fontaine coordonne le pro- gramme d'élevage européen, occupe cette île et évolue dans les grands abres qui l'agrémentent. Le visiteur se trouve alors sur une place et dispose d'un nouveau point de vision sur l'enclos des hippotragues. Sur la gauche de cette place, on retrouve la maison des oiseaux, alors que sur la droite, on retrouve une nouvelle maison des primates dans laquelle le vi- siteur est invité à entrer. |
Cette maison est composée
de l'ensemble des loges intérieures des primates énumérés précédemment. Elles sont toutes dotées de stru- ctures en métal et de quelques aménagements en béton, de cordages et de structures en bois. Un second couloir est bordé sur la droite par les loges des atèles, alors que sur la gauche, on découvre divers terrariums. Le premier est occupé par des scinques carénés (Tropidophorus grayi), le second l'est par des tupais (Tupaia belangeri), le troisième par des macroscélides (Macroscelides proboscideus). Le visiteur ressort alors de la maison des singes au niveau du futur enclos des orang-outans et de l'entrée de la nouvelle maison des anthropoïdes dans laquelle il est invité à entrer. Une première volière de grande taille aménagée de rochers en béton, de cordages et de structures en bois, est le lieu de vie d'un groupe reproducteur de drills (Mandrillus leucophaeus). Mitoyen à l'enclos des drills, une volière relativement haute et densémment végétalisée est le lieu de vie de touracos de Fischer (Tauraco fischeri) et de spréos rois (Cosmopsarus regius). |
![]() Loge intérieure pour primates - juillet 2009 |
![]() Première partie de la loge des gorilles - juillet 2009 |
Le visiteur découvre
alors une nouvelle volière plantée d'arbres et agrémentée de structures d'escalade en bois, qui devrait accueillir dans quelques temps, les colobes guérézas (Colobus guereza kikuyuensis) du zoo. On entre alors dans une seconde salle en passant sous un porche de faux rochers. Un groupe de gorilles (Gorilla gorilla) est présenté dans une grande volière visible à travers des baies vitrées se dressant de part et d'autre du chemin de visite. Des cordages et des branchages viennent compléter l'aménagement de cette installation. La suite de la visite nous conduit au travers de la végétation de la grande serre, pour se diriger vers une nouvelle volière très haute, agrémentée de nombreuses structures en bois et de cordages, dans laquelle est présenté un groupe d'orang-outans de Sumatra (Pongo pygmaeus abeli). Le visiteur contourne un nouveau faux rocher, pour découvrir une nouvelle installation comparable à celle des gorilles bien que de taille inférieure. Elle est occupée par un grand groupe reproducteur de bonobos (Pan paniscus). |
![]() Loge des drills - juillet 2009 |
![]() Enclos des suricates - juillet 2009 |
![]() Volière des bonobos en travaux - juillet 2009 |
![]() Enclos des gorilles en travaux - juillet 2009 |
Les
grands singes de Frankfurt Orangs outans Charly, capturé en 1958, arrivé à Frankfurt en 1978 Djambi, capturé en 1959, arrivée à Frankfurt en 1965 Sirih, née à Zurich le 07/12/1992, arrivée en 1995 Rosa, née à Hambourg le 05/05/1989, arrivée en 1995 Galdikas, né à Frankfurt le 09/03/2000, fils de Rosa et Charly Luku, né à Frankfurt le 02/02/2005, fils de Rosa et Charly Jahe, née à Frankfurt le 21/04/2003, fille de Sirih et Charly |
Gorilles Viatu, mâle né à Zurich le 20/12/1998 arrivé en 2008 Rebecca, née à Krefeld le 01/09/1982 arrivée en 1990 Julchen, capturée en 1964, arrivée en 1966 Ruby, née à Arnhem le 19/12/1997 arrivée en 2006 Dian, née à Arnhem le 04/01/1989 arrivée en 1995 Kabuli, né le 13/06/2004 à Frankfurt (père : Matze) Fritz, né le 01/04/2007 à Frankfurt (père : Matze) Matze, mâle reproducteur mort le 13/08/2008 |
Bonobos Ludwig, mâle reproducteur né à Pkanckandael le 26/08/2004 arrivé en 1999 Kelele, né à Frankfurt le 22/07/2004, fils de Ludwig et Salonga Ukela, née à Frankfurt le 19/12/1985, fille de Natalie et Bono Natalie, capturée en 1966, arrivée en 1970 Zomi, née à Planckandael le 29/01/1998, arrivée en 2005 Kamiti, née à Stuttgart le 21/07/1987, arrivée en 2002 Margrit, capturée en 1952, arrivée en 1959 Kutu, née à Stuttgart le 29/05/1998, arrivée en 2005 Henri, né à Frankfurt le 23/01/2001, fils de Ludwig et Natalie Nyota, né à Frankfurt le 24/02/2007, fils de Ludwig et Natalie Haiba, née à Frankfurt le 16/11/2001, fille de Ludwig et Ukela Nakala, née à Frankfurt le 30/12/2007, fille de Ludwig et Ukela Salonga, femelle reproductrice morte le 23/07/2004 |
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![]() Orang outan (Charly) - juillet 2009 |
![]() Gorille - juillet 2009 |
Le visiteur fait alors face
à un petit enclos composé d'un bassin de taille réduite et d'une plage en béton et en sable. Cette installation est très petite pour les hippopotames (Hippopotamus amphibius) qui y sont présentés. Mitoyen aux hippopotames, on découvre un plateau en sable, séparé du visiteur par un fossé sec et adossé à un bâtiment de style indien. Cet enclos est occupé par le mâle repro- ducteur rhinocéros noir du Sud (Diceros bicornis minor), sous espèce très peu courante en captivité. Le visiteur retrourne alors au niveau de l'enclos des hippopotames pour entrer dans la maison des rhinocéros. Cette maison ancienne se compose de différents boxes carrelés ainsi que d'un bassin. Le visiteur ressort alors de la maison pour contourner l'enclos des hippopotames et le plateau du rhinocéros. On découvre alors une caisse de transport dans laquelle sont expliquées les différentes étapes mises en place par le zoo pour relacher des rhinocéros en Afrique. La suite de la visite nous amène vers le second enclos des rhino- céros occupé par la femelle. |
![]() Enclos des hippopotames - juillet 2009 |
![]() Volières des rapaces - juillet 2009 |
Une nouvelle allée
s'ouvre au visiteur. Sur la gauche de cette dernière, on découvre une rangée de volières consacrées aux rapaces. Les vol- ières disposent d'un sol en terre ou en galets, de quelques rochers et d'arbres en fonction des milieux d'origine des espèces présentées. On peut y observer des caracaras huppés (Polyborus plancus cheriway), des bateleurs (Terathopius ecaudatus), des percnoptères d'Egypte (Neophron percnopterus percnopterus), des gypaètes barbus (Gypaetus barbatus) puis des vautours papes (Sarcorhamphus papa). Sur la droite du sentier, on découvre un enclos en herbe disposant d'une mare de boue, dans lequel vit un couple de babiroussas (Babyrousa babyrussa). Cette installation est accolée à une maison de chaume nommée "Straussenhaus" (Maison des autruches). Un se- cond enclos densémment végétalisé est également accolé à cette maison. Le développement de la végétation rend difficile l'observation des casoars à casque (Casuarius casuarius) qui y sont présentés. |
![]() Plateau des rhinocéros - juillet 2009 |
![]() Enclos des babiroussas - juillet 2009 |
![]() Rhinocéros noir - juillet 2009 |
![]() Rhinocéros noir - juillet 2009 |
![]() Caracara huppé - juillet 2009 |
![]() Vautour pape - juillet 2009 |
Mise à jour suite à ma visite d'aout 2015 Suite à l’arrêt de la présentation des babiroussas (Babyrousa babyrussa), le parc a accueilli, en provenance du zoo de Wuppertal, un mâle céphalophe géant (Cephalophus sylvicultor), devenant ainsi le troisième établissement européen à accueillir cette espèce. Avec cette arrivée, le zoo renoue également avec ses succès passé dans l’élevage des céphalophes notamment le céphalophe zébré aujourd’hui in- visible en captivité. |
Enclos du céphalophe - aout 2015 |
Le visiteur contourne l'enclos
des casaors et découvre sur sa droite, un enclos en herbe bordant un petit plan d'eau. Des muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi), des grues de Man- dchouri (Grus japonsis), des oies empereurs (Anser canagicus) et des canards mandarins (Aix galericulata) y cohabitent. La suite de la visite nous amène vers l'ile des fla- mants du Chili (Phoenicopterus chilensis) du zoo, tout en longeant sur la droite, l'enclos des babiroussas et des casoars. On retombe alors au niveau d'une place bordée par les fla- mants, l'entrée de la maison des rhinocéros et la sortie de l'exotarium. Entre l'enclos des flamants et l'exotarium on découvre l'installation aquatique du parc. Un enclos de grande taille, constitué de rochers et d'un grand bassin est occupé par un groupe d'otaries à fourrure d'Afrique du Sud (Arctocephalus pusillus). |
![]() Enclos des muntjacs - juillet 2009 |
![]() Enclos des phoques - juillet 2009 |
Une seconde installation du
même type, reliée à un enclos plus petit est le lieu de vie d'une colonie de phoques veaux marins (Phoca vitulina). Le second enclos permet de séparer des animaux en cas de besoin. En face des phoques, le visiteur entre dans la mini-ferme du zoo, dont le premier enclos est consacré aux poneys Shetland (Equus equus), à coté desquels on trouve un autre enclos en sable séparé du visiteur par un fossé en eau. Cette nouvelle installation est le lieu de vie d'un groupe de chameaux (Camelus bactrianus). En bifurquant à droite, le visiteur emprunte une petit sentier, qui longe sur la gauche le grand lac des anatidés vu à l'entrée du zoo et sur la gauche l'étang des péli- cans blancs (Pelecanus onocrotalus). Le visiteur revient au niveau du sentier des chameaux, pour se diriger vers l'enclos de contact des chèvres naines (Capra hircus); à coté desquelles une installation de taille réduite, au sol en herbe est occupée par des cobayes dome- stiques (Cavia aperea). |
![]() Enclos typique de la mini ferme - juillet 2009 |
![]() Bassin des otaries - juillet 2009 |
Le visiteur contourne l'enclos
des cobayes pour se diriger vers un nouveau plateau en sable séparé du visiteur par un fossé en eau et planté de grands arbres. Un groupe de zèbres de Grévy (Equus grevyi) occupe cette installation accolée à une petite maison de couleur jaune au toit en chaume. En face de lui, le visiteur retrouve l'enclos des muntjacs et des grues de Mandchourie au niveau duquel il emprunte le chemin longeant cet enclos pour observer les deux enclos des okapis (Okapia johnstoni), dont le plus récent a été inauguré en 2007. L'ancien enclos des okapis était occupé par un mâle qui a été transféré au zoo d'Anvers au cours du mois de juillet 2009. Cet ancien enclos est relié à la maison des girafes dans laquelle se poursuit la visite. Dans la maison, le visiteur découvre sur la droite, différents boxes en demi lune qui hébergent les girafes réticulées (Giraffa camelopardalis reticulata). |
![]() Enclos des zèbres de Grévy - juillet 2009 |
![]() Enclos des oréotragues - juillet 2009 |
Sur la gauche de la maison, on
trouve deux boxes carrelés con- sacrés aux okapis. On peut également observer sur la gauche, un terrarium agrémenté de nombreux branchages, occupé par des rats rayés d'Afrique (Lemniscomys barbarus), puis un se- cond qui est le lieu de vie de rats des moissons (Micromys minutus). Avant de quitter la maison des girafes, le visiteur peut observer sur la droite, une dernière loge amménagée de rochers, occupée par de rares oréotragues (Oreotragus oreotragus). Il s'agit d'une petite espèce d'antilope aux sabots fins, adaptée aux milieux escarpés et dont le zoo de Frankfurt est un des seuls à maitriser la reproduction. Le visiteur sort alors de la maison des girafes et découvre sur la droite, l'enclos extérieur des oréotragues. Ce dernier est agré- menté de rochers mais également de hautes herbes. En face de l'enclos des oréotragues, on retrouve la zone des an- tilopes. |
![]() Boxe des girafes - juillet 2009 |
![]() Enclos extérieur des girafes - juillet 2009 |
![]() Enclos principal des okapis - juillet 2009 |
![]() Oréotragues - juillet 2009 |
Cette zone se compose de deux
enclos entourant une maison identique à celle des zèbres de Grévy ou à la maison des aut- ruches. Le premier enclos au sol en terre et en écorce est planté de nombreux arbres et est le lieu de vie d'un petit grou- pe de bongos (Tragelaphus euryceros). La seconde instal- lation est pour sa part peu végétalisée et dispose d'un sol en sable sur lequel sont posés des troncs d'arbre. De rares ga- zelles de Mohrr (Gazella dama mohrr) sont présentés dans cet enclos et se reproduisent régulièrement. La suite de la visite nous conduit à contourner l'installation des antilopes pour découvrir un enclos construit récemment à la végétation haute et disposant d'un petit bac à sable. Des loups à crinière (Chrysocyon brachyurus) sont présentés à ce niveau. Mitoyen à l'enclos des loups à crinière, on trouve une dernière plaine en sable, de grande taille, plantée de quelques arbres et agrémentée de branchages et de ro- chers. |
![]() Enclos des gazelles - juilmlet 2009 |
![]() Plaine sud américaine - juillet 2009 |
Cette plaine est consacrée à la faune sud américaine et accueille une cohabitation entre des nandous de Darwin (Pterocnemia pennata), des maras (Dolichotis patagonum), des capybaras (Hydrochearis hydrochaeris) et des vigognes (Lama vicugna vicugna). La suite de la visite nous conduit à longer cette plaine en direction du restau- rant principal du zoo et du grand lac des anatidés. C'est en passant devant la maison des fauves et les fosses aux ours que le visiteur ter- mine sa visite. |
![]() Gazelle de Mhorr - juillet 2009 |
![]() Bongos - juillet 2009 |
En conclusion, le zoo de Frankfurt est un grand parc allemand qui possède une collection animale intéressante, notamment par la rareté de certaines espèces présentées comme les oréotragues, les bec en sabot ou les gazelles de Mhorr. Le zoo de Frankfurt dispose également d'un des plus grand noctarium d'Europe qui devrait être rénové prochainement, ainsi qu'une impressionnate collection d'oiseaux. Les nouveaux aménagements sont nombreux et promet- tent de belles nouveautés. Par exemple, la nouvelle maison des grands singes est une belle installation de grande taille qui offre à ses pensionnaires des conditions de vie optimales. Ce parc est donc à recommander aux amateurs de zoo. |
![]() Ours malais - juillet 2009 |
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