Luisenpark Mannheim Theodor Heuss Anlage 2 68165 Mannheim Allemagne Tel : +49 (0)6 21 41 00 50 Fax: +49 (0)6 21 41 00 555 www.luisenpark.de |
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Le parc est ouvert toute l'année de 9h00 à la tombée de la nuit. En été, les caisses ferment aux alentours de 21h00. |
![]() Héron crabier - mai 2012 |
![]() Tamarin pinché - mai 2012 |
De mars à octobre Adulte : 6,00 € Etudiant et groupe : 4,00 € Enfant (6 à 15 ans) : 3,00 € De novembre à février Adulte : 3,00 € Etudiant et groupe : 2,00 € Enfant (6 à 15 ans) : 1,20 € Carte annuelle Adulte : 35,00 € Etudiant et groupe : 27,00 € Enfant (6 à 15 ans) : 14,00 € |
Le Luisenpark est le plus grand
espace vert de la ville de Mannheim. Ce jardin s'étend sur 42 hectares divisés en zones végétales et animales. Les prémices de ce parc remontent à 1892, date à laquelle le parc commence à prendre forme. Il faudra attendre 1903 pour que ce dernier soit ouvert au public. Au fil des ans, le parc s'est développé et les différentes zones qui le composent ont été végétalisées. Aujourd'hui le parc compte plus de 300 000 fleurs de printemps appartenant à 100 espèces différentes et est complété par environ 120 espèces d'arbre. Une zone est consacrée aux iris, une autre aux végétaux tropicaux. A cela s'ajoute une orangeraie, un jardin chinois ou encore un jar- din des rhododendrons. Nous nous attacherons dans ce descriptif à la présentation des secteurs animaliers à savoir la serre, la mini ferme et les volières. |
![]() Oedicnème du Pérou - mai 2012 |
Après avoir franchi
l'entrée principale, le visiteur fait face à une vaste prairie. Sur la gauche il pourra se diriger vers l'allée des citrus. Sur la droite se trouve une première rangée de volières consacrée aux rapaces nocturnes. Six volières sont alignées et forment un arc de cercle. Chaque volière dispose d'un sol en sable, est bordée par un mur sur le- quel ont été vissés des demi-troncs d'arbre. Des conifères et buissons feuillus agrémentent les volières dont les aménagements sont complétés par des souches, des rochers et un bassin. Le première volière est le lieu de vie de chouettes hulottes (Strix aluco). Des chouettes à lunettes (Strix perspiciliata) occupent la seconde tandis que la troisième volière héberge des grands ducs de Virginie (Bubo virginianus). |
![]() Complexe des rapaces - mai 2012 |
![]() Exemple de volières pour rapaces - mai 2012 |
Les trois dernières volières présentent des chouettes effraies (Tyto alba) qui cohabitent avec des chouettes de l'Oural (Strix uralensis) pour la première, par des harfangs des neiges (Nyctea scandiaca) pour la seconde et par des grands ducs (Bubo bubo) pour la der- nière volière. En face de la zone des rapaces et séparée de celle-ci par une haie de buis, se dresse un volière octogonale de grande taille représentant un bord de mer, lieu de vie de limicoles. Cette installation au sol en sable fin est plantée de quelques grami- nées typiques des dunes, de quelques arbres et dispose d'un grand bassin. |
Elle accueille une cohabitation entre des avocettes élégantes (Recurvirostra avosetta), des chevaliers gambettes (Tringa totanus), des combattants variés (Philomachus pugnax), des vanneaux huppés (Vanellus vanellus), des rolliers d'Europe (Coracias garrulus), des sarcelles d'hiver (Anas crecca crecca) et un vieil héron crabier chevelu (Ardeola ralloides), espèce peu courante en captivité. |
![]() Volière des limicoles - mai 2012 |
![]() Volière des perruches - mai 2012 |
Le visiteur poursuit sa visite
le long d'un sentier traversant un petit jardin. Au centre de ce jardin se trouve une volière octogonale de couleur bleue, au sol en gravier et agrémentée de quelques bran- ches. Une importante colonie de perruches ondulées (Melopsittacus undulatus) y évolue. A l'extrémité du chemin, on bifurque sur la droite pour longer sur la gauche, un enclos en herbe agrémenté de quelques rochers et con- sacré à la présentation de cobayes domestiques (Cavia porcellus), tandis que sur la droite des grilles délimitent une installation en herbe disposant d'un bassin et accolée à la grande serre tropicale du parc. Ce petit enclos est consacré à des tortues à éperons (Geochelone sulcata) et à des tortues d'Hermann (Testudo hermannii). |
![]() Volière des limicoles - mai 2012 |
![]() Enclos des cobayes - mai 2012 |
Le visiteur rejoint alors
l'entrée de la serre. Un premier sas présente quelques oliviers. La visite se poursuit alors dans la seconde salle au sein de laquelle ont été installés deux enclos animaliers. Le premier au sol en sable dispose d'une cascade se jetant dans un bassin et agrémenté de rochers. Un petit groupe de loutres naines (Amblonyx cirenea) y est présenté. Le bassin s'étend à un second enclos où il est bordé par une plage en terre d'où se dresse un arbre. Des caïmans nains de Cuvier (Paleosuchus palpebrosus) vivent à ce niveau. Sur la droite de l'enclos des caïmans, une porte nous conduit vers un autre espace de la serre, la jungle sud américaine. Après avoir sil- lonné au milieu de grands arbres, le visiteur va découvrir le premier enclos animalier de ce secteur. |
![]() Enclos des loutres naines - mai 2012 |
![]() Volière des tamarins - mai 2012 |
Une grande loge vitrée
entoure un eden de verdure tendu de cor- des et de quelques branches. Une famille de tamarins pinchés (Saguinus oedipus) y évolue. La visite se poursuit au milieu d'une forêt de fougères, qui appar- tiennent aux végétaux les plus anciens de notre planète. A côté de la serre des fougères, se trouve le vivarium du parc. Ce der- nier se compose de quelques terrariums aménagés de façon naturelle, encastrés dans les murs. Le premier terrarium au sol en gallets et planté de quelques ficus est le lieu de vie de boas de Madagascar (Acrantophis dumerili) tandis que des basiliques couronnés (Laemanctus longipes) occupent le deuxième. En face de ces deux reptiles se trouve un vaste vivarium dont la partie basse en eau offre une vision sous marine et dont la partie haute est agrémentée de branches. Des iguanes verts (Iguana iguana) y évoluent. |
A côté des iguanes
se
trouve une petite serre au sol en terre qui permet de maintenir les tortues à éperons (Geochelone sulcata) au chaud durant les mois frais. Cette mini serre est reliée à l'en- clos extérieur des tortues. En face des tortues, un terrarium représentant un milieu sec caractérisé par du sable et des rocailles rouges est le lieu de vie de scinques à langue bleue (Tiliqua scincoides). Le visiteur bifurque alors sur la droite pour découvrir d'autres bacs. Des boas constricteurs (Boa constrictor) évoluent dans un environnement d'écorces d'arbre et de plantes. Au niveau du terrarium des boas, le visiteur tourne sur la gauche de sorte à contourner la colone centrale percée de vivariums. |
![]() Enclos intérieur des tortues - mai 2012 |
![]() Exemple de terrarium tropical - mai 2012 |
En face des boas se trouve une
installation humide dont les parois sont entièrement recouvertes de mousses. Quelques feuillus et des racines complètent ces aménagements. Des rainettes de Guyane (Trachycephalus resinifictrix) vivent à ce niveau. A côté des grenouilles, deux vivariums recréent des milieux désertiques caractérisés soit par un sable en sable rouge, soit par un sol de petits cailloux. Dans les 2 cas, des plantes grasses et des rochers ont été ajoutés à ces espaces con- sacrés à des agames barbus (Pogona vitticeps) pour le premier et à des lézards de Madagascar (Oplurus sebae) pour le second. Le visiteur termine le tour de la colone en repassant devant les enclos des iguanes puis des boas constricteurs. |
En face des grenouilles, un
petit terrarium triangulaire agrémenté de rochers et de cailloux héberge des pythons tapis (Morelia spilota). A côté de ces serpents a été construit un terrarium de grande taile agrémenté de quelques plantes et présentant des pyt- hons molures (Python molurus bivittatus). Trois vivariums se trouvent dans le prolongement de celui des pythons molures. Ces derniers sont tous agrémentés de quelques plantes et de racines. Des dragons d'eau verts (Physignatus cocincinus) occupent le premier, des pythons rois (Python regius) vivent dans le second tandis que le troisième héberge des agames des colons (Agama mwanzae). En face de ces enclos, se dresse une vitrine divisée en 5 vivariums chacun étant densément végétalisé. |
![]() Terrarium des milieux secs - mai 2012 |
![]() Terrariums pour petits lézards - mai 2012 |
Les 2 premiers hébergent des insectes à savoir des phasmes feuilles (Phyllium bioculatum) pour le premier et des mantes religieuses (Hierodula grandis) pour le second. Les trois derniers sont consacrés respectivement à des gec- kos diurnes (Phelsuma madagascariensis grandis), à des geckos bleus (Lygodactylus williamsi) et à des iguanes à queue courbée (Leiocephalus personatus). Le visiteur poursuit sa visite dans une zone consacrée à la flore. Au milieu de la végétation luxuriante, on trouvera des vitrines dans lesquelles poussent plusieurs essences d'or- chidées. |
Le visiteur revient alors au
niveau de la serre sud américaine. Sur la droite du sentier, un vivarium garni de copeaux et de quelques branches est consacré à des gerbilles de Mongolie (Meriones unguiculatus). Enfin, avant de passer dans la zone suivante, on découvre, sur la droite, une petite volière carrée plantée de quelques végétaux tropicaux. Cette dernière est occupée par des spréos améthystes (Cinnyricinclus leucogaster), des pti- linopes superbes (Ptilinopus superbus) et de rares colombars waalias (Treron wallia). Le visiteur entre alors dans le quatrième monde de la serre, l'aquarium. |
![]() Exemple d'aquariums - mai 2012 |
![]() Serre des fougères - mai 2012 |
![]() Terrarium des gerbilles - mai 2012 |
Plusieurs bacs sont
consacrés aux eaux salées mais également aux eaux douces. Le cinquième monde de la grande serre, présente les milieux déser- tiques. De nombreux cactus et autres plantes grasses poussent dans cette seree. Sur la droite, une zone de pierres de lave recouverte d'un filet accueille une cohabitation entre des tétras cupidons (Tympanuchus cupido) et des tangaras à dos rouge (Ramphocelus dimidiatus), deux espèces très peu fréquente en captivité. A l'extrémité de la serre désertique se trouve le dernier monde cou- vert du Luisenpark, la serre des papillons. Densément végétalisé, cet endroit héberge 12 espèces différentes. |
![]() Volière des tétras cupidons - mai 2012 |
![]() Ambiance de la serre des papillons - mai 2012 |
On pourra y observer des : - Papillon carolinien (Papilio troilus) - Papillon cordelia (Delia sp.) - Monarque (Danaus plexippus) - Papillon priame (Ornithoptera priamus) - Petit facteur (Heliconius erato) - Papillon d'Edward (Attacus edwardsii) - Nymphes à ailes blanches (Idea leuconoe) - Papillon comète (Argema mittrei) - Papillon hélicone (Heliconius burneyi) - Papillon ulysse (Papilio ulysse) - Ornithoptère (Ornithoptera priamus) - Papillon chouette (Caligo mammon) Le visiteur ressort alors de la serre, pour bifurquer sur la droite de sorte à traverser la terrasse du restaurant. |
![]() Ambiance de la serre des papillons - mai 2012 |
![]() Ambiance de la serre chaude - mai 2012 |
A la suite de la terrasse le visiteur emprunte de petit pont en bois traversant des bassin bétonnés. Celui de gauche permet aux canards sauvages de se poser, tandis que celui de droite accueillait une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) qui a aujourd'hui été transférée sur l'île centrale du grand lac. A l'arrière de l'ancien bassin des flamants, accolée à la serre, se dresse une volière de taille moyenne. Elle dispose d'un sol en écorces et est plantée de quelques herbes de la pampas et est agrémentée de rochers, troncs et autres arbres morts. |
![]() Ancien enclos des flamants - mai 2012 |
![]() Volière des gouras - mai 2012 |
Cette volière accueille
une cohabitation entre des touracos à joues blanches (Tauraco leucolotis), des étourneaux des pagodes (Sturnus pagodarum), des choucadors iris (Coccycolius iris), des choucadors de Swainson (Lamprotornis chloropterus), des carpophages bicolores (Ducula bicolor), des gouras de Scheepmaker (Goura sheepmakeri), des bulbuls orphés (Pycnonotus jocosus) et des roulrouls couronnés (Rollulus roulroul). Le visiteur contourne alors la serre pour découvrir une grande prairie légèrement vallonnée dotée d'un bassin ombragé par de grands saules pleureurs. Cette prairie est consacrée à des jabirus du Sénégal (Ephippiorhynchus senegalensis), des marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus), ... |
..., des cigognes blanches (Ciconia ciconia), des grues royales (Balearica regulorum), des paons bleux (Pavo cristatus), des tadornes de Belon (Tadorna tadorna), des bernaches à cou roux (Branta ruficollis), des nettes rousses (Netta rufina) et des pintades (Numidia meleagris). La visite se poursuit sur la gauche, en face de la prairie, pour découvrir une série de volières. La première dispose d'un sol en terre et est aménagée de nombreux troncs et de cordes. Des coatis à queue annelée (Nasua nasua) y vivent. La seconde volière, octogonale, dispose d'un bassin en- touré d'une plage en sable sur laquelle ont été disposées des souches et des branches mortes. |
![]() Enclos des échassiers - mai 2012 |
![]() Volière des coatis - mai 2012 |
Cette installation est
consacrée à l'Australie représentée au Luisenpark par des cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapillus), des colombes lophotes (Ocyphaps lophotes) et par des sarcelles rousses (Anas castanea). Enfin, une dernière volière se trouve dans le prolongement de l'installation australienne. Cette troisième volière est le lieu de vie de touracos violets (Musophaga violacea), de sarcelles hottentottes (Anas punctata), d'oedicnèmes du Cap (Burhinus capensis) et de colombars waalias (Treron waalia). Le visiteur revient alors au niveau de la prairie des échas- siers (enclos des jabirus). |
Après avoir franchi un petit portail, le visiteur longe la plaine des grues sur la droite et un enclos délimité par un fossé en eau au- quel est accolée une plage en sable agrémentée de quelques bambous. Une colonie de flamants nains (Phoenicopterus minor) y évolue. Avant de quitter ce secteur, le visiteur découvre sur la droite, une volière de contact plantée d'herbe, traversée par une petite cas- cade et agrémentée de nombreuses branches. Un groupe d'aras araraunas (Ara ararauna) y évolue en compagnie de harles couronnées (Mergus cucullatus) et de sarcelles versicolores (Anas versicolor). |
![]() Lagune des flamants nains - mai 2012 |
![]() Volière des toucans - mai 2012 |
En ressortant de la
volière des perroquets, on découvre une autre volière octogonale, légèrement ombragée, au sol en sable et ag- rémentée de quelques pousses de graminées. Des martins chas- seurs (Dacelo novaeguinea) y cohabitent avec des vanneaux masqués (Vannelus miles). Le visiteur se trouve alors sur une place entourée de volières. Sur la droite, deux volières en forme de L sont densément végétalisées. La première héberge des vanneaux du Chili (Vannelus chilensis) et des guiras cantaras (Guira guira). La seconde est consacrée à un couple de toucans vitellins (Ramphastos vitellinus) et à des oedicnèmes du Pérou (Burhinus superciliaris). Enfin, des ibis chauves (Geronticus eremita) cohabitent avec des dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata) et des ombrettes africaines (Scopus umbretta) dans la volière de gauche. Cette dernière dispose d'une falaise reconstitutée, d'un bassin et est plantée de saules pleureurs. |
En face de cette place, un
enclos tout en longueur composé d'un vaste bassin avec vision sous marine, bordé par une plage de galets, est occupé par une colonie de manchots de Humboldt (Spheniscus humboldti). Un peu plus loin sur le sentier se dresse la plus grande volière du parc. Un sol en herbe, planté de quelques buissons et arbustes, creusé d'un bassin, est le lieu d'évolution de grands hoccos (Crax rubra), d'ibis rouges (Eudocimus ruber), d'ibis de la Puna (Plegadis ridgwayi), de râles ypecahas (Aramides ypecaha), de canards carolins (Aix sponsa), de tantales ibis (Mycteria ibis), de sarcelles à collier (Callonetta leucophrys), de chaunas (Chauna torquata) et de canards musqués (Cairina moschata). Le visiteur revient alors au niveau de la volière des limicoles. |
![]() Enclos des manchots - mai 2012 |
![]() Volière sud américaine - mai 2012 |
![]() Volière de contact des aras - mai 2012 |
Après avoir visité
la partie zoologique, le visiteur traverse de nom- breux jardins pour se rendre vers la seconde partie du Luisenpark où sont présentés des animaux : la mini ferme. Cette dernière se compose d'un bâtiment principal entouré de plusieurs enclos. En arrivant au niveau de la miniferme, le premier enclos que l'on découvre dispose d'un sol en sable et est creusé d'un petit bassin. Cette installation est le lieu de vie de chevaux (Equus cabellus) et d'oies blanches (Anser domesticus). Ces anatidés ont accès à un petit enclos en herbe ombragé par de grands buissons jouxtant l'installation principale. Le second parc de la mini ferme est agrémenté de quelques struc- tures d'escalade et est planté de grands arbres. Il est consacré à la présentation de chèvres de Thüringen (Capra hircus) et de moutons de race Coburger (Ovis aries). |
![]() Mini ferme et enclos des chevaux - mai 2012 |
![]() Chèvrerie - mai 2012 |
En face des chèvres,
séparé par le chemin conduisant à la grange de la ferme, se trouve un troisième enclos en sable, ombragé par quelques grands arbres. Un trio de vaches Hinterwalder (Bos primigenius) y évolue. Le visiteur entre alors dans la grange pour y découvrir les loges inté- rieures des animaux. Les boxes sont tous fait de béton, de bois et de tubes métalliques. Un petit enclos situé sur la droite de l'entrée héberge des lapins nains (Oryctolagus cuniculus). Enfin, le visiteur ressort de la grange pour contourner l'installation des vaches et découvrir le dernier parc de la mini ferme, au sol en écorces, doté d'un bassin et planté de grands arbres, il est con- sacré aux cochons Schwäbisch Hallisches (Sus domesticus). Des poules naines (Gallus gallus) et des canards coureurs indiens (Anas anas) évoluent dans l'ensemble de la mini ferme. |
![]() Enclos des cochons - mai 2012 |
![]() Etable des vaches - mai 2012 |
Le visiteur peut alors faire le tour de l'ensemble des jardins du Luisenpark et découvrir le jardin chinois, celui des rhododen- drons, des citrus, des iris ... mais également de nombreuses aires de jeux. Au centre du parc se trouve un grand lac sur lequel sont proposées des ballades en gondoles. Au centre du lac, visible à partir de la terrasse panoramique du restaurant, se trouve une île plantée de grands arbres et entourée d'un grillage sur laquelle sont présentées les deux dernières espèces du Luisenpark à savoir les flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) et les pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus) |
![]() Ile des flamants - mai 2012 |
![]() Jardin chinois - mai 2012 |
![]() Ambiance du jardin des eaux - mai 2012 |
En conclusion, le Luisenpark est un vaste espace vert dont les habitants de Mannheim profitent pour s'évader. Ce parc raviera les amateurs de plantes et d'animaux. Les animaux ont été ajouté au fur et à mesure et l'on ret- rouve au luisenpark, essentiellement des oiseaux. La majo- rité des espèces reste peu courante en captivité. Les installations sont de taille correcte et relativement bien aménagées. Il est possible de coupler la visite de ce zoo avec celle des autres parcs ou vastes enclos animaliers de la ville. |
![]() Tétra cupidon - mai 2012 |
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