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Magdeburg Zoo Zooallee 1 39124 Magdeburg Allemagne Tel : +49 (0)391 280900 Fax : +49 (0)391 28090- www.zoo-magdeburg.de |
![]() Plan du zoo |
Ma visite : 15 septembre 2017 Mise en ligne : 14 janvier 2018 |
![]() Vue aérienne du parc |
Ouvert toute l'année de 9h00 à 16h00 Les caisses ferment à 15h00 |
Tamarin labié - septembre 2017 |
Tarif journalier : Adulte : 13,00 € Enfant (jusqu'à 15 ans) : gratuit Etudiant : 9,00 € Chien : 2,00 € Entrée après 17 h : 4,00 € Carte annuelle : Adulte : 55,00 € Etudiant : 36,00 € Chien : 15,00 € |
Le zoo de Magdeburg est un grand
parc allemand, ouvert en juillet 1950, qui s’étend sur une surface de en plein cœur de la ville portant le même nom. Le parc s’est agrandi dans les années 2010, le parc a ainsi pu accroitre sa su- perficie et ériger une nouvelle entrée principale. Aujourd’hui le parc accueille plus de 340 000 visiteurs par an et hé- berge environ 1 400 animaux appar- tenant à 210 espèces. |
Marmotte bobak - septembre 2017 |
Après avoir garé
son
véhicule sur le parking du zoo, un petit sentier traverse le parc dans lequel est installé le zoo avant d’arriver de- vant l’entrée principale de ce dernier, d’ac- quérir son droit d’entrée et de démarrer la visite du zoo. A l’extrémité du bâtiment d’entrée du zoo, on peut observer un premier enclos, de sur- face importante, entouré d’un muret rouge ocre, percé de quelques baies vitrées. Cet enclos en sable, est agrémenté de quelques rochers, racines et de buissons plus ou moins épais. Une colonie de suricates (Suricata suricatta) y évolue. |
Fosse des suricates - septembre 2017 |
Grand parc arboré - septembre 2017 |
Face à nous s’étend alors un vaste espace vert correspondant à la partie que le parc a acquise dans les années 2010 et où de nouveaux projets verront le jour dans les années à venir. Là, nous allons nous diriger sur la gauche, pour gagner la première section animalière du zoo de Magdeburg. Arriver au niveau de la frontière du zoo, nous empruntons une allée sur la droite, pour entrer dans la se- ction asiatique du parc de Magdeburg. |
Là, sur la droite du sentier, on peut obser- ver un premier enclos en herbe, ombragé par de grands arbres et agrémenté de structures en bois, de conifères et de quel- ques rochers. Un fossé en eau sépare les animaux des visiteurs. Cet espace est le lieu de vie de cerfs éla- phodes de Chine (Elaphodus cephalophus michianus). Le fossé en eau accueille des harles bièvre (Mergus merganser) et des fuligules morillons (Aythya fuligula). |
Enclos des élaphodes - septembre 2017 |
Enclos des tigres de Sibérie - septembre 2017 |
La suite de la visite nous
amène alors vers un enclos de taille moyenne, entouré de hauts murs. Cet espace enherbé, légère- ment vallonné, est traversé par une cas- cade se jetant dans un grand bassin. Des rochers et souches s’enchevêtrent autour de buissons et de grands feuillus, tout en laissant certains espaces dégagés. Cet enclos présente des tigres de Sibérie (Panthera tigris altaica). Le premier sentier nous permet d’admirer l’enclos au niveau du sol, tandis qu’un promontoire en bois nous offre une vue plus large sur cette installation. |
Face au promontoire des tigres, se dresse une grande volière, au sol recouvert d’her- bes et d’écorces, volière agrémentée de troncs de bouleaux plantés à la verticale et reliés entre eux par d’autres branches horizontales. Cette volière est le lieu de vie de tragopans de Temminck (Tragopan temmincki), d’écureuils de Swinhoe (Tamiops swinhoei) et de rares écureuils à ventre roux (Callosciurus erythraeus). |
Volière des écureuils - septembre 2017 |
Enclos des tortues - septembre 2017 |
Nous revenons alors sur l’allée principale, pour longer les hauts murs de l’enclos des tigres, sur lequel s’ouvrent plusieurs baies vitrées. Le sentier se divise alors en deux branches, entourant un enclos en herbe, entouré d’un filet électrifié, agrémenté d’une zone de sable recréant une garrigue. Une petite serre offre un abri chauffé aux tortues des steppes (Testudo horsfieldii) qui vivent au sein de cet espace. |
Le sentier situé sur la
gauche de
l’enclos, longe deux fosses en légère pente, au sol en sable, agrémentés de rochers et de hautes herbes. La première fosse accueille maintenant des marmottes bobak (Marmota bobak), alors que la seconde fosse était vide lors de ma visite. Ce second enclos va accueillir un groupe de putois marbrés (Vormela peregusna), espèce a reproduit à nombreuses reprises par le passé. |
Fosse des marmottes - septembre 2017 |
Volière des panthères des neiges - septembre 2017 |
L’allée située sur la droite de l’enclos des tortues, borde pour sa part l’enclos des tigres, puis un second enclos de grande taille, planté de hauts et vieux arbres, agrémenté de nombreux monticules ro- cheux et recouvert d’un filet. Cette volière est occupée par des pan- thères des neiges (Uncia uncia) qui de- vraient voir leur installation rénovée prochainement, le filet s’étant affaissé lors de ma visite. |
Les deux bras du sentier se
rejoignent alors et l’allée de visite longe sur la gauche, un enclos forestier, au sol en herbe et en terre, creusé d’un bassin, et disposant de cavernes rocheuses. Cet enclos est consacré à des hyènes rayées (Hyaena hyaena). Face aux hyènes, la collection de car- nivores asiatiques est complétée par une meute de dholes (Cuon alpinus), qui dispose d’un espace en terre jon- ché de troncs et installé sous le cou- vert de hauts feuillus. |
Enclos des dholes - septembre 2017 |
Nous arrivons alors au niveau
d’un
carre- four, où nous allons emprunter le sentier situé sur la droite, pour découvrir l’une des plus anciennes zones du parc. L’ensemble de ces enclos sont de taille moyenne, devançant un bâtiment de nuit en briques rouges. Tous les enclos sont d’anciennes petites fosses entourées d’un fossé sec doublé de vitres. Chaque fosse dispose d’un sol en terre, d’un petit plateau rocheux surmonté de lampes chauffantes, de quelques raci- nes et de feuillus. |
Ambiance de la zone des petits carnivores - septembre 2017 |
Enclos des porcs - épics - septembre 2017 |
Dans l’ordre de visite,
on pourra y admirer une colonie de mangoustes fauves (Cynicillata penicillata) ; puis des man- goustes brunes (Crossarchus obscurus). Après un virage à angle droit, le visiteur découvre le dernier enclos de ce com- plexe, un enclos en sable, agrémenté de rochers et occupé par un petit groupe de porcs épics africains (Hystrix africaeaustralis). Ce complexe qui présente des petits car- nivores est voué à disparaitre pour laisser place à une nouvelle extension du parc qui devrait ouvrir fin 2018. |
Un petit pont nous permet de franchir un ruisseau pour continuer notre découverte sur ses berges, à l’abri des grands arbres. Sur la gauche de cette allée, se dresse une première volière, relativement haute et profonde, au sol recouvert d’écorces et plantée de quelques bouleaux. Cette installation est consacrée à des ca- racaras huppés (Polyborus plancus). |
Volière des caracaras - septembre 2017 |
Enclos de contact des chèvres - septembre 2017 |
Plus loin sur ce sentier se dresse une se- conde volière du même type, bien que moins haute et plantée de lauriers, volière qui héberge des chouettes à lunettes (Pulsatrix perspicillata). Nous arrivons au bout de cette allée secon- daire et le sentier de visite bifurque alors à 90° sur la droite, pour nous amener vers une grande aire de jeux, bordée par un enclos de contact en sable, occupé par un troupeau de chèvres naines (Capra hircus). |
Sur la droite, légèrement en retrait de l’allée se dresse une autre volière au sol en sable et en herbe, garnie de graminées, troncs de bouleaux et charmes. Cette volière consacrée au continent africain voit s’ébattre des pies grièches à longue queue (Lanius cabanisis) et des pigeons de Guinée (Columba guinea). |
Volière des pies grièches - septembre 2017 |
Le sentier débouche alors
sur un
carrefour. En prenant le chemin de droite, nous ga- gnons la section des herbivores asiatiques, face à nous nous rejoignons l’Afrique. Nous allons pour notre part nous diriger sur la droite, en direction de la zone sud-amé- ricaine. Le chemin que nous empruntons alors est parallèle au précédent. Là, sur la droite, une porte nous invite à entrer dans un enclos de contact qui consiste en une île enherbée, aménagée de massifs de bambous, de rochers et de structures d’es- calade en bois et en cordes. |
Ambiance dans les allées du parc - septembre 2017 |
Enclos de contact des sakis - septembre 2017 |
Des rochers et herbes de la pampa com- plètent ces décors. Au cœur de cette jungle, on peut voir cohabiter des sakis à face blanche (Pithecia pithecia), des agoutis à dos noirs (Dasyprocta prymnolopha), des sarcelles versicolores (Anas versicolor), des dendrocygnes à ventre noir (Dendrocygna autumnalis), des tortues peintes (Chrysemys picta), de tortues à tempes rouges (Trachemys scripta elegans) et des tortues géographiques communes (Graptemys pseudogeographica). |
Nous
ressortons alors de la volière de con- tact pour revenir sur l’allée principale, tra- versée une zone végétalisée et découvrir sur la gauche, une bâtisse en bois, percée de 2 baies vitrées. Chaque fenêtre s’ouvre sur une loge inté- rieure au sol en résine, décorée de feuilles de palmiers et de souches. Chaque loge est consacrée à un fourmilier (Myrmecophaga tridactyla). En continuant notre visite, nous pouvons découvrir l’enclos extérieur des fourmiliers, qui consiste en deux vastes prairies, om- bragées par quelques arbres et agrémen- tées de buissons. |
Enclos des fourmiliers - septembre 2017 |
Ile des tapirs et coatis - septembre 2017 |
Un grillage sépare ces deux prairies, mais des portes permettent de mettre ces en- clos en commun. Dans le prolongement de l’enclos des four- miliers se trouve une île de grande taille plantée de grands chênes, de saules et creusée d’un bassin. Des structures d’es- calade en bois et en cordes complètent les aménagements. Cette île est le lieu d’une cohabitation originale entre des tapirs terrestres (Tapirus terrestris) et des coatis à nez blanc (Nasua narica). |
Loge des fourmiliers - septembre 2017 |
Enclos des sakis et des agoutis - septembre 2017 |
L’allée débouche alors au niveau du car- refour jouxtant l’enclos des tapirs et celui des dholes. A ce niveau, nous allons bifurquer sur la gauche, de sorte à contourner l’ile des tapirs pour arriver vers un second car- refour. Sur la droite, se dresse une bâtisse en pierre occupée par l’association des amis du zoo. |
Ile et bassin des tapirs - septembre 2017 |
Décor dans les allées du parc - septembre 2017 |
Cette bâtisse semble être l’ancienne entrée du zoo puisqu’après elle, on retrouve le grand parc enherbé déjà vu au début de la visite. Au niveau de ce carrefour, nous allons tourner sur la droite, pour continuer la découverte de la zone sud-américaine du zoo de Magdeburg. |
Sur la droite de l’allée, on peut ob- server un plateau enherbé, entouré de fossés secs et d’un haut grillage. Cet enclos au sein duquel les zones enher- bées alternent avec les zones en sable, est agrémenté de branches mortes, d’herbes de la pampa et de bambous. Il est occupé par un couple de nandous de Darwin (Pterocnemia pennata). |
Enclos des nandous de Darwin - septembre 2017 |
Après un bosquet, nous découvrons la suite de la partie sud-américaine. Sur la droite, une volière métallique, est agrémentée de troncs verticaux et ho- rizontaux, d’une petite cascade et d’un sol en terre, seuls quelques buissons épineux ont résisté aux becs solides des aras hyacinthes (Anodorhynchus hyacinthinus) qui y sont présentés. |
Volière des aras hyacinthes - septembre 2017 |
Complexe sud américain - septembre 2017 |
A l’extrémité de la volière des perroquets, nous empruntons un sentier secondaire sur la droite, pour gagner la section des oiseaux et des petits singes sud-améri- caine. L’allée forme un « U » au centre duquel ont été installés des bancs. Sur la droite du couloir de visite se dres- sent plusieurs volières mitoyennes. Les premières volières que nous pouvons observer sont séparées l’une de l’autre par un mur de vitres opaques. |
Elles disposent d’un sol en sable et sont plantées de troncs servant de perchoirs et de quelques massifs de bambous. La première structure est le lieu de vie d’aras macaos (Ara macao). La seconde volière qui est également creusée d’un bassin voit cohabiter des aras à gorge bleue (Ara glaucogularis) et des râles ypecahas (Aramides ypecaha). |
Volière typique pour oiseaux - septembre 2017 |
Volière typique pour oiseaux - septembre 2017 |
Des guiras cantas (Guira guira) évoluent aux côtés d’aras nobles (Diopsattaca nobilis nobilis) et de pénélopes à gorge bleue (Penelopides cumaensis). Enfin, la dernière volière de cette allée accueille des caurales soleils (Eurypiga helias) et des aras de Coulon (Propyrrhura couloni). |
Nous arrivons
alors sur la seconde allée de ce U, parallèle à la précédente, qui longe également une série de volières. Ces dernières sont toutes densément végétalisées et tendues de structures d’escalade en bois et en cordes. Dans l’ordre de visite et à raison d’une espèce par volière, on pourra admirer : tamarin à mains rousses (Saguinus midas) ; tamarin empereur (Saguinus imperator) ; ouistiti mélanure ou oui- stiti à queue noire (Mico melanurus) – une espèce très peu courante en cap- tivité – puis ouistitis de Goeldi (Callimico goeldii). |
Volière pour petits singes - septembre 2017 |
Volière pour petits singes - septembre 2017 |
C’est ainsi que s’achève
la
découverte de cette anfractuosité. De retour sur l’allée principale, nous allons encore longer deux volières situées sur la droite du chemin. Ces volières au sol recouvert d’écorces et d’herbes sauvages sont plantées de charmes et agrémentées de structures d’escalade en bois. La première est occupée par des tamarins lions dorés (Leontopithecus rosalia) tandis que la seconde est consacrée à des titis roux (Plecturocebus cupreus). |
Face au complexe des petits singes, se dresse un grand bâtiment au sein duquel nous sommes invités à entrer, la maison des terres. Une fois dans la serre, le visiteur peut observer la grande aire libre consacrée aux tapirs terrestres (Tapirus terrestris). Ces mammifères disposent d’un grand es- pace recouvert d’écorces et d’un bassin intérieur. |
Maison des tapirs - septembre 2017 |
Maison des tapirs - septembre 2017 |
Des structures en bois ont été placées à différentes hauteurs et des végétaux com- plètent les décors. Au sein de cette serre, on pourra égale- ment observer, en liberté, des tangaras du Brésil (Ramphocelus brasiliensis) ; de rares ortalides à queue rousse (Ortalis ruficauda) et des chauves-souris de Pallas (Glossophaga soricina). |
Sur la droite de l’allée, un vivarium tout enhauteur, planté d’une ronce, présente des phasmes péruviens de Schulte (Peruphasma schultei). Plus loin, un second terrarium plus grand, agrémenté de nombreuses plantes tropi- cales est le lieu de vie d’anolis vert de la Caroline (Anolis carolinensis) et de den- drobates mystérieuses (Excidobates mysteriosus). |
Terrarium pour insectes - septembre 2017 |
Enclos des grenouilles cornues - septembre 2017 |
Avant de ressortir de la maison des tapirs, à l’opposé de l’entrée, nous pouvons encore observer un terra- rium au sol tapissé de petits galets, agrémenté de racines, consacré à des grenouilles cornues (Ceratophrys ornata). Nous revenons alors à l’air libre, pour retrouver, sur la gauche du sentier, l’île des tapirs et des coatis. |
Face à ce vaste enclos,
on peut
ad- mirer un complexe formé d’une loge intérieure visible au travers d’une vitre, loge doublée d’une volière ex- térieure à la végétation luxuriante. La loge de nuit est tapissée de bran- chages et de quelques figuiers. Ce complexe est occupé par des tamarins lions à tête dorée (Leontopithecus chrysomelas), des ouistitis pygmées (Cebuella pygmaea niveiventris) et à des tortues charbonnières (Chelonoidis carbonaria). |
Loge intérieure pour callithricidés - septembre 2017 |
Volière pour callithricidés - septembre 2017 |
A noter que le zoo de Magdeburg
a longtemps participé activement à la reproduction du tamarin lion à croupe doré (Leontopithecus chrysopygus), en collaboration avec le zoo de Jersey, mais cette espèce n’est malheureusement plus visible au parc. Plus loin se trouve une deuxième in- stallation du même type, composée d’une volière extérieure et d’une loge visible à travers une vitre. Cet ensemble est le lieu de présen- tation de tamarins labiés (Saguinus labiatus) et d’accouchis verts (Myoprocta acouchi). |
Nous continuons alors notre incursion dans la jungle amazonienne, sous le couvert de grands arbres, pour retrou- ver l’enclos de contact des sakis à face blanche (Pithecia pithecia). Face à cette presqu’ile se trouve le second enclos des fourmiliers (Myrmecophaga tridactyla), égale- ment occupé par un couple de cigo- gnes de Maguari (Ciconia maguari) et des oies de l’Orénoque (Neochen jubata). |
Enclos des oies de l'Orénoque - septembre 2017 |
Volière pour petits singes - septembre 2017 |
Nous revenons alors sur l’allée prin- cipale, au niveau du carrefour de la volière des pies grièches à longue queue (Lanius cabanisis) et de l’en- clos de contact des chèvres. Là, nous allons emprunter le sentier situé sur la gauche, pour gagner la loge de nuit des sakis à face blanche, visible à travers une vitre. Cette loge très haute, est agrémentée de nombreux troncs formant diverses structures d’escalade en bois. |
Plus loin sur la droite du sentier, à l’om- bre de grands arbres, se dressent deux volières éloignées l’une de l’autre. La première volière au sol en sable, dis- pose d’un bassin et est traversée par des troncs de bouleaux. Quelques branches de saules apportent un peu de verdure à l’ensemble. Une colonie de conures de Patagaonie (Cyanoliseus patagonius) s’y ébat. |
Volière des perruches de Patagonie - septembre 2017 |
Volière des écureuils - septembre 2017 |
La seconde volière
dispose d’un
sol re- couvert de feuilles mortes, de quelques charmes et de nombreux enchevêtre- ments de branches et accueille un couple de jolis écureuils variés (Sciurus variegatoides atrirufus). Face à nous se dresse alors un carre- four, mais nous allons revenir sur nos pas jusqu’à l’enclos des chèvres, pour continuer notre découverte du zoo sur la droite, de sorte à laisser l’instal- lation des chèvres naines sur la gauche. |
Face aux caprins, s’étend
un
enclos en sable, ombragé par de grands arbres. Cet espace au milieu duquel se dresse un plateau en bois est le lieu de vie de chèvres du Jämtland (Capra hircus domesticus), une race originaire du nord de la Suède. Dans le prolongement du plateau des chèvres, on trouve un second enclos du même type occupé par un troupeau de lamas (Lama glama). |
Enclos des chèvres - septembre 2017 |
Parc des lapins - septembre 2017 |
Sur la gauche, se dresse la grange des chèvres naines à laquelle est adossée une petite volière octogonale en sable, plantée d’un conifère, au sein de la- quelle évoluent des poules naines al- lemandes (Gallus gallus domesticus). Plus loin, le long de la grange, se trouve un petit enclos en sable, en- touré de vitres occupé par des lapins nains (Oryctolagus caniculus). |
De retour sur l’allée centrale, nous allons découvrir, sur la droite du sentier, un en- clos de grande taille, entouré de grilles métalliques dont certaines sont vitrées. Cet enclos en sable, agrémenté de ro- chers, d’une mare de boue et planté de grands arbres et autres bambous, héber- ge des potamochères (Potamochoerus porcus). Enfin, cette série d’enclos se prolonge par deux autres plateaux relativement vastes. |
Installation des potamochères - septembre 2017 |
Plaine asiatique - septembre 2017 |
Le
premier, en herbe, recrée une forêt clairsemée, tandis que le second en herbe et en terre est légèrement val- lonné. Une porte permet de fusionner ces enclos entre eux pour former la plaine asiatique du zoo occupée par une harde de cerfs axis (Axis axis) et un troupeau d’antilopes cervicapres (Antilope cervicapra). Face au premier enclos des cervidés, un sentier secondaire bifurque sur la gauche. |
Nous allons l’emprunter pour gagner la section européenne du zoo. Ce chemin nous conduit à traverser un petit ruisseau pour rejoindre une zone de bosquets. Là, un premier poste d’observation en bois s’ouvre sur un enclos très naturel, en pente, au sol en herbe, agrémenté de buissons et de pins, et traversé par un torrent se jetant dans un bassin. Cet espace héberge des lynx des Carpates (Lynx lynx carpathicus). |
Enclos des lynx - septembre 2017 |
Allée des volières des rapaces - septembre 2017 |
Nous allons alors continue notre avan- cée sous le couvert des arbres, pour observer plusieurs volières dissémi- nées le long de ce sentier. Toutes ces volières ont un sol naturel en pente, fait de terre et de rochers. Quelques conifères apportent de la verdure, tandis que des troncs morts servent de perchoirs. |
La première
volière est
occupée par
des milans noirs (Milvus milvus). Des har- fangs des neiges (Nyctea scandiaca) s’ébattent dans la seconde tandis que la troisième héberge des grands ducs d’Europe (Bubo bubo). Dans le prolongement des grands ducs, on trouve un dernier enclos en pente, relativement long, au sol recouvert de terre, la végétation ayant du mal à pous- ser par le manque de soleil, et ombragé par de hauts feuillus. |
Volière des milans - septembre 2017 |
Enclos des chacals - septembre 2017 |
Cet espace est le lieu de vie de chacals dorés (Canis aureus), une espèce qui tend à se raréfier dans les zoos euro- péens. Enfin, cette allée est complétée par une volière de taille moyenne, au sol en sable, agrémentée de rochers, lauriers et pins, au sein de laquelle cohabitent des pirolles à bec rouge (Urocissa erythrorhyncha) et des hokkis bleus (Crossoptilon auritum). |
Volière des pirolles - septembre 2017 |
Volière typique pour rapaces - septembre 2017 |
Nous traversons alors un petit
pont pour gagner l’autre rive du ruisseau par- courant le parc, de sorte à nous diriger vers une imposante volière pénétrante. Cette volière à l’armature métallique offre un volume intéressant et un décor rouge ocre dessiné de peintures aborigènes. Comme les décors le laisse à penser, elle est consacrée au continent australien. |
Volière australienne - septembre 2017 |
Volière australienne - septembre 2017 |
Une fois entrée
dans la volière, le visiteur arpente un chemin de gravier, traversant une zone en sable, agré- mentée de monticules de faux rochers, puis une zone en herbe pour finir par une zone marécageuse. Plusieurs arbres morts ont été dis posés dans la volière servant ainsi de perchoirs aux oiseaux qui y évoluent. De nombreux panneaux pédagogiques jalonnent le par- cours et le visiteur peut acheter des brins de millets pour nourrir les oiseaux. |
La faune aviaire présente dans cette volière est la suivante : perruches ondulées (Mellopsittacus undulatus) ; perruche de Bourke (Neopsephotus bourkii) ; perruche multicolore (Psephotus varius) ; perruche royale (Alisterus scapularis) ; perruche Princesse de Galle (Polytelis alexandrae) ; colombe lophote (Ocyphaps lophotes) ; colombe wonga (Leucosarcia melanoleuca) ; ... |
Volière australienne - septembre 2017 |
Perruches ondulées - septembre 2017 |
...; oedicnème d’Australie (Burhinus grallarius) ; vanneau soldat (Vanellus miles) ; bernache à crinière (Chenonetta jubata) et dendrocygne tacheté (Dendrocygna guttata). Le panel des animaux australiens est complété par des wallabies de Parme (Macropus parma) qui cohabitent également dans cette volière. |
Nous ressortons alors de cette stru- cture pour continuer notre visite sur la gauche, traverser un bosquet et arriver devant une imposante volière, relati- vement longue et haute. Cette volière plantée de vieux et hauts feuillus et conifères, dispose d’un bassin, de rochers et de quelques branches. Un couple de pygargues à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus) s’y ébat. |
Volière des pygargues - septembre 2017 |
Volière des pygargues - septembre 2017 |
Au bout de ce sentier, nous
retombons sur la plaine asiatique des cerfs axis (Axis axis), devant laquelle nous ar- rivons. A ce niveau, nous allons tourner sur la gauche, de sorte à longer sur la droite, le plateau des cervidés et sur la gauche, la volière des aigles pêcheurs. Plus loin, sur la gauche de l’allée, on trouve une ancienne volière accolée à un bâtiment dont les murs recou- verts de carrelage marron trahissent l’ancienneté. |
La volière
extérieure a été réaménagée avec goût, le sol recouvert de sable et les troncs et autres souches sont nom- breux. Cette volière nous replonge sur le con- tinent australien puisqu’elle présente des kookaburas à ailes bleues (Dacelo leachi) qui évoluent aux cotés de padémélons sombres (Thylogale brunii). L’intérieur du bâtiment est visible au travers de vitres, les loges des padé- mélons, sont ainsi agrémentées de sable, de feuilles, de branches et de racines. |
Volière des thylogalles - septembre 2017 |
Enclos des petits pandas - septembre 2017 |
En avançant sur l’allée, nous pouvons observer, sur la droite, un enclos rela- tivement long, visible à partir de deux points de vision vitrés. Cet enclos en herbe est légèrement vallonné planté de vieux chênes et traversé par des parcours de branches en hauteur. Quelques pieds de bam- bous complètent les décors de cet espace qui abrite une cohabitation originale entre des pandas roux (Ailurus fulgens) et des gorals de Chine (Nemorhaedus griseus). |
La visite se poursuit alors pour gagner un auvent, sur la droite duquel un es- pace s’ouvre sur une lagune composée d’un bassin de faible profondeur, en- touré de berges en herbe et en terre. Quelques arbres apportent un peu d’ombre à cet ensemble occupé par un groupe reproducteur de flamants roses (Phoenicopterus roseus), des grues couronnées noires (Balearica pavonina) et des oies armées de Gambie (Plectropterus gambensis). |
Lagune des flamants roses - septembre 2017 |
Maison des flamants - septembre 2017 |
Ces échassiers bénéficient d’une maison au sol en béton, agrémentée d’un bassin, dont l’intérieur est visible au travers de vitres. Nous continuons alors notre avan- cée dans le zoo de Magdeburg, pour longer, sur la droite, une succession d’anciens enclos typiques pour herbi- vores. Tous ces enclos sont en fait des plateaux en herbe et en sable, ombragés par quel- ques arbres et séparés du sentier de visite par un fossé sec. |
De petits aménagements y ont été ajoutés pour satisfaire aux besoins des espèces présentées. Le premier enclos est ainsi jonché d’amas de bois mort et de bam- bous et accueille des muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi). Le second totalement en herbe, est con- sacré à de rares wallabies agiles (Macropus agilis). Quelques buissons y ont été plantés et une palissade protège les animaux du fossé sec. |
Plateau des wallabies agiles - septembre 2017 |
Pré-enclos des chimpanzés - septembre 2017 |
Face aux marsupiaux, de hauts pieux for- ment un mur de bois. Quelques vitres permettent d’admirer une vaste volière, au sol en herbe, de nombreux troncs et de structures d’escalade en cordes. Cet espace constitue l’enclos d’isole- ment ou l’enclos d’hiver des chim- panzés (Pan troglodytes) du zoo de Magdeburg. |
Cette volière est reliée à la maison des grands singes, au sein de laquelle nous sommes invités à entrer. Cette maison recrée un espace tropical, le visiteur évoluant sur un sol en écorce, au milieu de la végétation dense. Sur la droite du couloir, on peut ob- server les deux grandes loges inté- rieures des chimpanzés (Pan troglodytes). |
Loge intérieure des chimpanzés - septembre 2017 |
Bassin des crocodiles - septembre 2017 |
Ces loges
disposent d’un sol en herbe, d’un bassin et de nombreuses stru- ctures d’escalade en bois, cordes et tuyaux et sont plantées de palmiers. Des trappes permettent d’isoler ces loges ou de les relier l’une à l’autre en fonction des besoins. Sur la droite de l’entrée, un grand bassin avec vision marine est entouré de plages en terre, plantées de fougères et papyrus. Cet espace accueille des crocodiles nains (Osteolaemus tetraspis) et de tilapias à cinq bandes (Pelmatalapia mariae). |
Là encore, un
mur sépare ce bassin de sorte à pouvoir créer deux enclos sé- parés. Une hutte en bois complète l’espace consacré au public et abrite un aquarium consacré aux eaux douces du Congo. Ce bac, bien planté et agrémenté de racines est le lieu de vie d’un banc de tétras du Congo (Phenacogrammus interruptus), de silures du Congo (Synodontis nigriventris), de characins africains (Arnoldichthys spilopterus) et de suceurs réticulés (Crossocheilus reticulatus). |
Aquarium du bassin du Congo - septembre 2017 |
Nous ressortons alors de la maison des chimpanzés, pour revenir sur l’allée principale des herbivores et y observer le troisième plateau de cette section. Ce dernier entièrement en sable est occupé par des onagres de Perse (Equus hermionus onager). La visite continue alors sur la gauche, pour longer les trois derniers plateaux consacrés aux herbivores. |
Plateau des onagres - septembre 2017 |
Enclos des rennes - septembre 2017 |
Ces derniers
où l’herbe
alterne avec les zones de terre, sont entourés de hauts arbres, de troncs et de rochers. Des points d’eau complètent les décors. Le premier accueille des buffles nains (Syncerus caffer nanus), le second un troupeau d’alpagas (Lama paco) puis un groupe de rennes (Rangifer tarandus). Au fond de chaque enclos se dresse des bâtiments abritant les loges de nuit des ongulés. |
Face au plateau des buffles et des lamas, nous allons tourner légère- ment sur la gauche, pour emprunter un enclos secondaire qui nous con- duit dans un enclos de contact rela- tivement grand. Ce dernier au sol en sable, dispose d’un bassin végétalisé et de nom- breux arbres et autres structures d’escalade en bois et en corde. |
Enclos de contact des lémuriens - septembre 2017 |
Enclos de contact des lémuriens - septembre 2017 |
Sur la droite du sentier qui traverse cette prairie, on peut observer, au travers de vitres, les loges de nuit des habitants de cet enclos. Plusieurs loges se dessinent, dis- posant d’un sol en écorces et agré- mentées de troncs, branches et cordes. |
Ces loges permettent de séparer les différentes espèces présentées ici durant la nuit. Au gré de l’avancée dans cet enclos de contact, on pourra admirer des makis cattas (Lemur catta), des varis à ceinture blanche (Varecia variegata subcincta), des lémurs à front roux (Eulemur rufifrons), des sarcelles hottentotes (Anas hottentota), des sarcelles de Bernier (Anas bernieri) et des dendrocygnes fauves (Dendrocygna bicolor). |
Loge intérieure des lémuriens - septembre 2017 |
Enclos de contact des lémuriens - septembre 2017 |
Nous ressortons alors de l’enclos de contact des lémuriens où une animation quotidienne est proposée, pour nous retrouver sur l’allée cen- trale, à proximité de l’enclos des rennes à l’extrémité duquel se trouve un carrefour. En empruntant le sentier de droite de cet embranchement, nous retrouvons les volières des écureuils variés (Sciurus variegatoides atrirufus) puis des conures de Patagaonie (Cyanoliseus patagonius). |
Nous allons emprunter le sentier situé face à nous, pour découvrir sur la droite, un vaste espace en terre et en herbe, légèrement vallonné, et par- semé de troncs verticaux reliés entre eux par des branches. Cet espace voit cohabiter une colonie de chiens de prairie (Cynomys ludovicianus) et des oursons coquaux (Erethizon dorsatum). |
Enclos des chiens de prairie - septembre 2017 |
Panneau pédagogique sur les rennes - septembre 2017 |
En continuant sur cette allée, nous retrouvons l’entrée de la maison des tapirs terrestres (Tapirus terrestris) et les volières des callithricidés. |
Aussi, nous allons revenir sur nos pas, jusqu’au carrefour pour em- prunter le dernier sentier et péné- trer dans la première phase de la grande nouveauté « Africambo 1 » qui a été inaugurée en 2010. Cette première phase s’étend sur hectares Dans un premier temps, sur la gauche de l’allée, nous longeons l’espace des lémuriens. |
Panneau pédagogique marquant l'entrée d'Africombo - septembre 2017 |
Plaine africaine des antilopes - septembre 2017 |
Sur la droite, se trouve la
première plaine africaine du zoo. Celle-ci est délimitée par un fossé sec, agrémen- tée de hauts arbres, de rochers et par des zones enherbées. Dans le prolongement de cet espace forestier, la plaine africaine s’étend en une zone représentant une savane clairsemée avec ses graminées, troncs et autres rochers. Des barrières en bois, permettent de diviser cette plaine en deux afin de séparer les différentes espèces en cas de conflit. |
Habituellement, on pourra voir
évoluer en toute quiétude les espèces suivantes : oryx gazelle (Oryx gazella), damalisque à front blanc (Damaliscus pygargus), cobe à ellipse (Kobus ellipsiprymmus) et zèbre de Grévy (Equus grevyi). La découverte de cette étendue est in- terrompue par une bifurcation à angle droit, nous conduisant sur la gauche. Là, sur la gauche de l’allée, on peut ob- server un enclos de taille moyenne, dis- posant d’un grand bassin, entouré de plages bétonnées s’ouvrant ensuite sur du sable. |
Plaine des oryx - septembre 2017 |
Enclos des manchots - septembre 2017 |
Quelques herbes folles apportent un peu de verdure à l’ensemble tandis que le bâtiment de nuit des animaux est visible au travers de vitres. Cette plage accueille une colonie de manchots du Cap (Spheniscus demersus) et des tadornes casarcas à tête grise (Tadorna cana). |
Face
aux manchots, on retrouve la plaine africaine consistant ici en un plateau en herbe et en terre, en- touré de hautes graminées. Ce plateau doublé d’un grand bâtiment en arrière-plan, est occupé par le troupeau de girafes de Rotschild (Giraffa camelopardalis rotschildii) du zoo. Nous continuons alors notre traver- sée de l’Afrique, en tournant à gauche, pour emprunter un petit pont traversant un grand point d’eau entouré de berges densément plantées. |
Enclos des girafes - septembre 2017 |
Bassin des anatidés - septembre 2017 |
Sur la gauche du ponton, on pourra observer différentes espèces d’ana- tidés tels les nettes brunes (Netta erythrophthalma), les sarcelles du Cap (Anas capensis), les canards à bec jaune (Anas undulata), les canards à bec rouge (Anas erythrorhyncha), les souchets du Cap (Anas smithii), les canards noirs (Anas sparsa), les dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata), ... |
..., les ouettes d’Egypte (Alopochen
aegyptiaca) ou encore les sarci- diornes d’Afrique (Sarkidiornis melanotos). La partie droite de l’étang est quant à elle occupée par des pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus). Après avoir traversé ce pont, nous pou- vons longer, sur la gauche une vaste île en herbe, agrémentée de gros troncs couchés, de structures d’escalade alliant bois et cordages et plantée de quelques arbres. |
Enclos des pélicans - septembre 2017 |
Ile des chimpanzés - septembre 2017 |
Cette île constitue l’enclos principal du groupe de chimpanzés (Pan troglodytes) du zoo de Magdeburg. Face à l’île des singes se trouve l’étang des pélicans, à l’extrémité duquel une petite plage en terre permet aux oiseaux de profiter du soleil. |
Un peu
plus
loin, le sentier de visite traverse un massif de bambous à l’ar- rière duquel une hutte en bois offre un point de vision sur un enclos en sable, planté d’arbres « parasol » et de promontoires en bois. Cet espace est le lieu de vie d’une famille de lions blancs (Panthera leo krugeri). Nous avançons alors dans Africambo, pour arriver sur une place, sur la gau- che de laquelle se dresse une volière au sol recouvert d’écorces, agrémentée de bouleaux, de rochers et de quelques orties. |
Enclos des lions - septembre 2017 |
Volière des talapouins - septembre 2017 |
Cette volière héberge des talapouins (Miopithecus oguensis). Au bout de la volière, une porte nous amène dans un grand bâtiment, com- posant la cité des singes. Face à l’en- trée, de larges baies vitrées s’ouvrent sur une grande volière au toit ouvert, en pente douce, formant plusieurs ter- rasses où les faux rochers côtoient les structures en bois et les écorces. Cette loge est occupée par une famille de mandrills (Mandrillus sphinx). |
La visite continue
dans le bâtiment des singes, de sorte à contourner l’instal- lation des mandrills sur la droite, et ob- server, sur la gauche, les loges de nuit des talapouins. Plusieurs loges sont mises à disposition de ces primates et disposent d’un sol recouvert d’écorces, sont traversées de structures d’escalade en bois et en cor- des. A l’intérieur, les primates cohabitent avec des athérures d’Afrique (Atherurus africanus) et des damans de Bruce (Heterohyrax brucei). |
Ambiance dans la maison des singes - septembre 2017 |
Loge intérieure des athérures - septembre 2017 |
Le couloir s’enfonce alors légèrement sous terre. Sur la gauche, une vitre nous permet de retrouver la lagune des flamants roses (Phoenicopterus roseus) que nous avons déjà observé précédem- ment. Plus loin, on pourra admirer les loges de nuit des mandrills, loges de taille mo- yenne, garnies de branchages. |
Le couloir de visite forme alors
une
bou- cle de sorte à revenir à l’air libre tout en contournant l’enclos extérieur des man- drills, avant d’arriver au niveau d’une volière plantée de bambous et de bou- leaux offrant diverses possibilités de perchoirs aux oiseaux qui y évoluent par- mi lesquels calaos à bec noir (Tockus nasutus), touraco de Lady Ross (Musophaga rossii) et pintades huppées (Guttera pucherani). La remonté se poursuit alors et le cou- loir longe un autre enclos recouvert d’un filet. |
Volière des pintades - septembre 2017 |
Volière des cercocèbes - septembre 2017 |
Cet enclos relativement haut, est agré- menté de nombreuses structures d’es- calade en bois couplées à des faux rochers. Cet espace qui termine la découverte de la maison des singes, est le lieu de vie de mangabeys à ventre doré (Cercocebus chrysogaster). |
Volière des cercocèbes - septembre 2017 |
Enclos des mandrills - septembre 2017 |
Nous revenons alors sur l’allée prin- cipale, pour continuer la visite. Sur la droite, un auvent bordé de nom- breuses baies vitrées nous permet de voir la maison des lions, qui con- siste en une vaste pièce garnie d’un bac de sable et de structures en bois et en cordes. |
Loge intérieure des lions - septembre 2017 |
Mini golf du zoo - septembre 2017 |
Sur la gauche un parc arboré permettra aux visiteurs de s’exercer au mini-golf, au travers d’un parcours de plusieurs trous. A l’arrière du mini-golf se trouve le restaurant principal du zoo où des plats typiques du continent noir sont pro- posés. |
Nous entrons alors dans la dernière réa- lisation du zoo de Magdeburg, inauguré au milieu de l’année 2017, Africambo 2, seconde phase de ce grand continent. Sur la droite de l’allée s’étend un bel en- clos de taille moyenne, au sol en herbe, agrémenté de hautes herbes, de racines, d’un bassin et de hautes racines. Cet espace est consacré à des grues de- moiselles (Anthropoides virgo). |
Enclos des grues demoiselles - septembre 2017 |
Enclos des bouquetins - septembre 2017 |
Sur la gauche
de l’allée, on peut observer un long fossé en eau, délimitant une pres- que île faite de faux rochers, de rochers naturels, traversé par un ruisseau et dis- posant de quelques souches et autres points enherbés. Cet enclos représente les montagnes éthiopiennes et voit cohabiter un impor- tant troupeau de bouquetins de Nubie (Capra nubiana), une troupe de géladas (Theropithecus gelada), des damans des rochers (Procavia capensis), des ouettes à ailes bleues (Cyanochen cyanopterus) et des canards noiratres (Anas sparsa). |
Une falaise verticale percée d’un portail permet de séparer cette longue île en deux enclos distincts. En continuant la découverte de ce zoo, nous gagnons ce qui compose l’ancien enclos des élé- phants du parc, qui est devenu, après transformation une imposante volière pénétrante. Au cœur de ce vaste volume, on pourra observer un sol en herbe, traversé par le sentier de visite. |
Enclos des bouquetins - septembre 2017 |
Volière des vautours - septembre 2017 |
Différents arbres, bambous, troncs et monticules rocheux apportent du relief à cet ensemble qui présente des vau- tours de Rueppel (Gyps rueppellii), des vautours néophrons moines (Necrosyrtes monarchus), des vautours palmistes (Gypohierax angolensis) et des marabouts (Leptoptilos crumeniferus). A noter que cet espace est amené à évoluer pour accueillir notamment d’autres rapaces mais aussi des porcs épics. |
Le sentier se divise alors en deux. Nous allons continuer notre progression en empruntant le sentier le plus à gauche. Là, sur la droite se dresse un petit bâtiment dont l’intérieur est visible au travers d’une vitre. Ce bâtiment est relié à une volière ex- térieure que nous découvrirons plus tard. Cette loge est agrémentée de nombreux perchoirs en bois et de quel- ques lianes feuillues. |
Volière des spréos - septembre 2017 |
Loge intérieure des barbus - septembre 2017 |
Des
coucals à sourcils blancs (Centropus superciliosus) y cohabitent avec des barbus à diadème (Tricholaema diademata) et des étour- neaux pourpres (Lamprotornis purpureus). Nous continuons alors notre avancée pour nous retrouver en plein dans Africombo 2. Là, le sentier longe un grand enclos en herbe, au sein du- quel ont été disposés de multiples troncs positionnés pour certains hori- zontalement et verticalement pour d’autres. |
Des rochers, des zones en sables ont également été disposés dans diffé- rentes parties de ce parc. Plus loin le long du sentier, on trouve un plateau en sable, séparé de l’enclos précédent par une rangée de plusieurs câbles en acier. Une porte permet de faire communiquer ces deux espaces qui forment la savane des éléphants du parc, à savoir une éléphante d’Afrique (Loxodonta africana) et une éléphante d’Asie (Elephas maximus). |
Enclos principal des éléphants - septembre 2017 |
Volière d'isolement des vervets - septembre 2017 |
Notre continuons alors la visite, pour découvrir, à l’extrémité de l’enclos d’isolement des éléphants, une volière de taille moyenne, au sol recouvert d’écorces, agrémentée de nombreuses structures d’escalade en bois, occupée par une famille de vervets (Chlorocebus aethiops). La maison de ces primates qui jouxte la volière est visible au travers d’une fe- nêtre et est aménagée de rondins et de cordes. |
Enclos secondaire des éléphants - septembre 2017 |
Ambiance dans Africambo 2 - septembre 2017 |
A noter que ces deux structures seront à terme utilisées pour isoler les singes en cas de besoin, car ces derniers étant amenés à évoluer aux cotés des éléphants. La découverte de cette section continue alors, pour entrer dans un vaste bâtiment au toit vitré laissant passer la lumière. Une première salle présente une exposition pédagogique sur les éléphants à l’honneur ici. De nombreuses maquettes, reprodu- ctions, et tableaux permettront aux visiteurs d’en apprendre plus sur les mastodontes gris. |
Objet pédagogique - septembre 2017 |
Maison des éléphants - septembre 2017 |
Après avoir franchi une
porte,
nous nous retrouvons dans la maison des éléphants. Cette dernière se divise en deux grandes loges communes au sol en sable, garnies de troncs et reliées chacune à un bassin. Au fond de ces loges s’alignent plusieurs boxes individuels. La partie aérienne de cette serre est oc- cupée par des ombrettes africaines (Scopus umbretta), des ibis hagedash (Bostrychia hagedash), des cigognes d’Abdim (Ciconia abdimi) et des hérons garde bœufs (Bubulcus ibis) qui coha- bitent avec les pachydermes. |
Salle pédagogique - septembre 2017 |
Salle pédagogique - septembre 2017 |
Sur la droite du couloir de visite, on peut observer un vivarium de grande taille, planté d’un palmier, disposant d’un point d’eau, de branches et de rochers. Cet enclos est le lieu de vie de varans à gorge blanche (Varanus albigularis). Plus loin, une hutte surélevée offre une vue d’ensemble sur la maison des élé- phants et sur un terrarium traversé par de nombreuses lianes. Ce dernier est occupé par des écureuils de Smith (Paraxerus cepapi). |
Vivarium des varans - septembre 2017 |
Enclos des mangoustes - septembre 2017 |
Nous revenons alors au niveau du sol, pour nous diriger vers la sortie de cette maison. Avant de quitter le pavillon des éléphants, nous pouvons encore ob- server, sur la gauche, une loge inté- rieure en sable, agrémentée de faux rochers et consacrée à des mangoustes zébrées (Mungo mungo). Nous ressortons alors du bâtiment pour découvrir la suite de l’enclos extérieur des éléphants. |
Maison des éléphants - septembre 2017 |
Maison des éléphants - septembre 2017 |
Dans le prolongement de ce dernier, on découvre un enclos en herbe de profon- deur moyenne mais relativement long. Ce dernier est aménagé de terriers en pierres et de saules et accueille une meute de lycaons (Lycaon pictus). Nous longeons alors l’enclos des chiens sauvages africains, pour observer, sur la droite, une volière octogonale de grande taille à l’intérieur de laquelle nous pouvons entrer. |
Enclos des lycaons - septembre 2017 |
Volière des tisserins - septembre 2017 |
Celle-ci dispose d’un sol en herbe et est agrémentée de nombreuses branches qui servent de perchoirs à la colonie d’euplectes napoléons (Euplectes afer) qui s’y ébat aux cotés de tisserins gen- darmes (Ploceus cucullatus), d'euplectes ignicolores (Euplectes oryx), de pigeons olives (Columba arquatrix) et de van- neaux couronnés (Vanellus coronatus). Plus loin sur la droite de l’allée se dresse un bâtiment au sein duquel nous pouvons entrer. |
Ce
dernier est une grande pièce re- créant un milieu semi-aride, avec son sol en sable rouge, ses rochers et ses plantes grasses et autres graminées. Un bassin complète les décors de la maison des chats à pieds noirs (Felis nigripes). Ces félins n’étaient pas encore ar- rivés au zoo. Nous ressortons alors de la maison des chats, pour retrouver l’enclos des éléphants sur la gauche. |
Maison des chats à pieds noirs - septembre 2017 |
Volière des aigles bateleurs - septembre 2017 |
En continuant
alors notre découverte d’Africombo 2, le sentier forme une boucle entourant une grande volière située sur la droite de l’allée. Cette volière plantée d’arbres morts présente des aigles bateleurs (Terathopius ecaudatus). Face aux aigles, un enclos en herbe est séparé du sentier de visiteur par un discret fossé sec. Au sein de cet espace, ont été disposés quelques rochers et plantés plusieurs arbres. Un troupeau de petits koudous (Tragelaphus imberbis) y évolue. |
Ambiance dans Africambo 2 - septembre 2017 |
Enclos des petits koudous - septembre 2017 |
En continuant notre avancée, le sentier débouche devant le restaurant principal du zoo où est proposée une cuisine à thématique africaine. Face à la terrasse du restaurant, on re- trouve le mini-golf ainsi que la pres- qu’île des géladas. Là, nous allons contourner l’enclos des primates, pour bifurquer ensuite légè- rement sur la droite, sur un sentier se- condaire dissimulé dans les massifs de bambous. |
Enclos des bouquetins - septembre 2017 |
Maison des girafes - septembre 2017 |
Au
bout de ce sentier
nous sommes in- vités à entrer dans une grande maison à la charpente boisée. Au cœur de cet- te hutte agrandie, se trouvent les loges intérieures des girafes (Giraffa camelopardalis rotschildii) du zoo. Ces géantes disposent ainsi qu’une vaste loge communautaire et de 3 bo- xes d’isolement. Face aux girafes, un tronc couché est percé de plusieurs vitres renfermant chacune un terrarium au sol en sable ou en terre. Des rochers et quelques souches com- plètent les décors de ce qui forme l’in- sectarium du parc. |
Dans l’ordre de visite on pourra
ainsi y observer des scoprions plats des rochers (Hadogenes troglodytes), puis des cé- toines marginées (Pachnoda marginata) et des milles pattes géants africains (Archispirostreptus gigas). Nous continuons alors notre avancée au sein de la maison des girafes pour découvrir, sur la gauche une grande volière intérieure au sol en sable, se divisant en une zone boisée, disposant d’un aquarium vitré en façade et d’une zone dégagée garnie d’une falaise rocheuse. |
Insectariums - septembre 2017 |
Volière des guêpiers - septembre 2017 |
L’aquarium
est peuplé de labios jaunes (Labidochromis caerulus), de cichlidés haplos (Copadichromis borleyi), de paons bleus (Aulonocara stuartgranti) et de ci- chlidés Mbuna (Pseudotropheus demasoni). La partie aérienne voit virevolter des guêpiers carmins (Merops nubicus), les seuls guêpiers de Perse (Merops persicus) visibles en Europe, des colious à nuque bleue (Urocolius macrourous), des astrilds cordon bleu (Uraeginthus bengalus) et des cailles arlequin (Coturnix delegorguei). |
Nous quittons alors la maison des girafes, pour gagner un promontoire nous permettant d’observer leur plaine extérieur avant de nous diri- ger vers un enclos en sable, planté de faux acacias protégés par des rochers. Cet espace est consacré à une fa- mille de phacochères (Phacochoerus phacochoerus). |
Enclos des phacochères - septembre 2017 |
Ambiance dans l'allée des primates - septembre 2017 |
De retour sur le sentier principal, nous nous retrouvons devant la volière des vautours et le carrefour au niveau du- quel nous allons bifurquer sur la droite pour longer la volière des coucals à sourcils blancs (Centropus superciliosus) et des barbus à diadème (Tricholaema diademata). Dans le prolongement de la volière des oiseaux, se dressent deux autres imposantes volières, dont l’ar- muture est formée de troncs verticaux recouverts d’un filet. |
Chaque volière est
agrémentée de nom- breuses structures d’escalade en bois complétées par des échelles de cordes. Le sol en herbe et les arbres alentours apportent également une touche natu- relle à l’ensemble. Le premier enclos est consacré à des colobes d’Angola (Colobus angolensis paliatus) tandis que la seconde volière présente un cercopithèque mone (Cercopithecus mona). Des vitres permettent d’observer les installations des singes sans grillage. |
Volière des colobes - septembre 2017 |
Enclos des otocyons - septembre 2017 |
Nous
continuons alors notre avancée sur l’allée centrale, pour gagner un enclos situé sur la gauche, au sol en terre, ombragé par de hauts arbres laissant filtrer la lumière. Au sol, un bassin a été creusé et entouré de rochers. Des racines offrent plusieurs cachettes aux otocyons (Otocyon megalotis) hébergés ici. Sur la droite de l’al- lée, nous retrouvons une partie de la plaine africaine, section en- herbée représentant la savane clairsemée. |
A l’arrière-plan, plusieurs troncs permettent aux petites espèces de passer comme les marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus), les damalisques à front blanc (Damaliscus pygargus) ou encore les cobes à ellipse (Kobus ellipsiprymmus). Les rhinocéros noirs (Diceros bicornis) sont pour leur part confinés au pla- teau situé en avant plan et cohabitent ainsi avec les différentes espèces d’antilopes. |
Plaine des rhinocéros et antilopes - septembre 2017 |
Zone de contact avec les lémuriens - septembre 2017 |
Nous longeons alors cette plaine visible à partir de plusieurs points de vue, avant d’arriver devant un sentier qui bifurque sur la droite. Une porte grillagée nous permet de franchir un pont en bois pour entrer dans cet enclos de contact. Cet enclos se compose d’une aire accessible aux visiteurs et d’une zone séparée par un discret fossé sec. Cette zone en sable est agré- mentée de rochers et de branches. |
Les abords de ce plateau sont en- tourés d’herbe et des structures en cordes offrent diverses possi- bilités d’escalade. Cet espace est consacré à un rhinocéros noir (Diceros bicornis) qui évolue aux cotés de lémurs couronnés (Eulemur coronatus) et de lémurs macacos (Eulemur macaco). Une animation de nourrissage des lémuriens est proposée. |
Enclos des rhinocéros et lémuriens - septembre 2017 |
Fosse des mangoustes naines - septembre 2017 |
Le visiteur ressort alors de cet en- clos de contact, pour gagner un autre bâtiment devant lequel a été construite une fosse de taille moyenne, garnie de nombreux rochers, au sol en sable et plantée de multiples arbustes. Cet espace est le lieu de vie d’une colonie de mangoustes naines (Helogale parvula). |
Sur la droite de cette fosse, une porte nous invite à entrer dans le bâtiment des rhinocéros. Sur la droite de l’entrée, on pourra ad- mirer un vaste terrarium au fond tapissé de faux rochers, au sol en sable, au centre duquel s’amassent les pierres plates et les branchages. Ce vivarium présente des gundis de l’Atlas (Ctenodactylus gundi). |
Vivarium des gundis - septembre 2017 |
Loge intérieure des lémuriens - septembre 2017 |
Face à l’entrée, un grillage délimite une volière intérieure, au sol en sable, plantée de palmiers, et de rochers. De nombreux troncs s’y enchevêtrent. Cette loge intérieure compose la loge de nuit des lémurs couronnés (Eulemur coronatus) et de lémurs macacos (Eulemur macaco). Au sol, on pourra aussi observer des tortues radiées (Astrochelys radiata). |
Mitoyenne
aux lémuriens, se
trouve une aire en sable, entourée de murs de faux rochers. Au niveau du sol, on distingue des pieux amovibles, permettant de créer plusieurs boxes distincts, destinés aux rhinocéros noirs (Diceros bicornis) que le zoo de Magdeburg reproduit de façon régulière. Face aux mastodontes, un autre viva- rium recrée une falaise rocheuse avec son sable et ses rochers. Cet enclos est dédié à des lézards à queue épineuse de l'Est (Cordylus tropidostemum). |
Vivarium des cordyles - septembre 2017 |
Maison intérieure des rhinocéros - septembre 2017 |
Face aux lézards et
bordant la loge des rhinocéros, on peut observer une fosse en sable où s’amoncellent les rochers. Cet espace est relié à la fosse extérieure par un tunnel sous terrain et accueille les mangoustes naines (Helogale parvula) ainsi que des écureuils du Cap (Xerus inauris). Avant de ressortir de la maison des rhinocéros, on découvre un dernier terrarium angulaire, de grande taille, aménagé de nombreux cailloux re- créant une montagne désertique. |
Ce bac est le lieu de vie de gerrho- saures du Soudan (Gerrhosaurus major) et de tortues pancake (Malacochersus tornieri). Nous quittons alors la maison des rhinocéros. Au niveau du sas d’en- trée de ce bâtiment a été recon- stitué l’arbre généalogique des rhinocéros de Magdeburg. |
Vivarium des gerrhosaures - septembre 2017 |
De retour à l’air libre, nous re- trouvons la fosse des mangoustes naines sur la gauche ainsi que l’enclos des nandous de Darwin sur la droite. Là, nous allons continuer la visite face à nous pour traverser le grand parc et revenir au niveau de l’entrée du zoo. |
Arbre généalogique des rhinocéros du parc - septembre 2017 |
Maison des suricates - septembre 2017 |
Un court passage
par la boutique nous permet de gagner le bâ- timent administratif du parc au rez-de-chaussée duquel une vitre s’ouvre sur une vaste loge in- térieure en sable, agrémentée de rochers et consacrée à la colonie de suricates (Suricata suricatta). Au sein de cet espace, on pourra également plusieurs autres ter- rariums. Le premier dispose d’un sol recouvert de mousses et des écorces tapissent ses façades. Il présente de jeunes tortues charbonnières (Geochelone carbonaria). |
Jouxtant le terrarium
des tortues, se dresse un autre vivarium rela- tivement long, agrémenté de plantes grimpantes et de bran- ches, occupé par des lézards à longue queue (Takydromus smaragdinus). Face aux lézards, accrochés au mur, se trouvent deux autres terrariums. Le premier agré- menté de terre, d’écorces et de foin est le lieu de vie de souris à quatre bandes (Rhabdomys dilectus). |
Enclos des souris - septembre 2017 |
Enclos des lézards - septembre 2017 |
Celui de gauche dispose en plus d’une plante verte et accueille des agames des rochers à queue rugueuse (Stellagama stellio). Enfin, avant de quitter le bâ- timent administratif, nous pouvons observer un dernier vivarium relativement haut, agrémenté de multiples bran- ches, plantes vertes et autres rochers au milieu desquels évoluent des boas constri- cteurs (Boa constrictor). |
En conclusion le zoo de Magdeburg est un parc de taille conséquente, aux cohabitations originales qui se consacre à la présentation d’es- pèces peu courantes en captivité. La collection est très diversifiée et le parc est divisé en zones géogra- phiques paysagées pour rappeler au mieux le milieu naturel des es- pèces présentes. Une visite de 5 à 6 heures est né- cessaire pour découvrir ce parc dont les futurs projets sont pro- metteurs. |
Bouquetin de Nubie - septembre 2017 |
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