Tierpark Nadermann Grafhösterweg 5 33129 Delbrück - Schöning Allemagne Tel : +49 (0)5244 51 63 Fax : +49 (0)5244 10 532 www.tierpark-nadermann.de |
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![]() Plan du zoo |
Ma visite : 04 novembre 2016 Mise en ligne : 10 septembre 2017 |
![]() Vue aérienne du parc |
Vautour à dos blanc - novembre 2016 |
Ticket individuel : Adulte : 7,00 € Enfant (3 à 15 ans) : 4,00 € Etudiant / Sénior : 5,00 € Enfant à mobilité réduite : 2,00 € Tarif groupe (+20 personnes): Adulte : 6,00 € Enfant (3 à 15 ans) : 3,00 € Etudiant / Sénior : 4,00 € Carte annuelle : Adulte : 35,00 € Enfant (3 à 15 ans) : 20,00 € Etudiant / Sénior : 25,00 € Enfant à mobilité réduite : 10,00 € |
Mars et octobre : 9h00 à 18h00 Avril à septembre : 9h00 à 19h00 Novembre : 9h00 à 17h00 |
Poule domestique - novembre 2016 |
Cygne chanteur - novembre 2016 |
Le Tierpark Nadermann est un
établissement privé du nord-est de l’Allemagne, axé sur la présentation d’espèces domestiques, d’ongulés ou encore de fauves. A l’origine, le fondateur était marchand d’animaux ce qui l’a conduit à bâtir des installations permettant l’acclimatation des animaux. Cette vie de commerce et d’échanges s’est peu à peu transformée en présentation au public d’une collection relativement classique, au sein d’un parc de |
Après avoir laissé son véhicule sur le parking, le visiteur s’acquitte de son droit d’entrée et traver- se un portail pour emprunter une allée bordée de part et d’autres par d’imposantes clôtures. Sur la gauche, l’enclos est de type forestier, avec de nombreux arbres, un sol recouvert de feuilles mortes et des barrières secondaires en bois per- mettant de contenir le troupeau de rennes (Rangifer tarandus) présenté à ce niveau. |
Enclos des rennes - novembre 2016 |
Enclos des guépards - novembre 2016 |
Un petit chemin de fer
destiné aux enfants con- tourne également cet enclos. Sur la droite en revanche, on peut observer un premier com- plexe de trois enclos en herbe, ombragés par quelques arbres, agrémentés de buissons et de huttes en bois. Ce complexe héberge des guépards (Acinonyx jubatus), espèce que le parc reproduit régulièrement. Au bout de cette allée, le visiteur tombe sur une grande place. Sur la gauche de cette dernière se dresse le café « Manege », un grand restaurant où peuvent être fêtés les anniversaires, mariages et autres évènements familiaux. |
Face au
restaurant, on peut admirer une maison de briques rouges entourée de deux volières. La maison, percée de deux vitres abrite les loges de nuit des animaux. La volière située sur la gauche de la bâtisse est tendue de cordes et de branches, formant un réseau de structures d’escalade en bois destiné à des coatis bruns (Nasua nasua). La volière de droite, constitue pour sa part un pré parc, s’ouvrant sur un enclos de taille mo- yenne, au sol en terre et en herbe, creusé d’un bassin dans lequel se jette une cascade. Cet ensemble est le lieu de vie d’un tigre blanc (Panthera tigris). |
Enclos du tigre - novembre 2016 |
Enclos des lynx - novembre 2016 |
Sur la droite de
l’enclos de ces gros félins, un portail nous invite à poursuivre la visite par un enclos de contact en sable. Quelques maisons en bois ont été disposées au sein de cet espace qui accueille des poules nègres soie (Gallus gallus domesticus) et des lapins (Oryctolagus caniculus domesticus). Au fond de cet enclos, un tunnel en bois repré- sentant une mine nous conduit vers une sale lumineuse, s’ouvrant sur un enclos en herbe, relativement spacieux, agrémenté de quelques troncs horizontaux. Des lynx (Lynx lynx) évoluent dans cet environnement. |
Volière des coatis - novembre 2016 |
Enclos des animaux domestiques - novembre 2016 |
Le visiteur ressort alors de la
caverne et
con- tourne, sur la gauche, un enclos en demi-cer- cle, composé d’un grand bassin, s’ouvrant sur des plages en herbe et en terre, plantées de buissons. Des ratons laveurs (Procyon lotor) y cohabitent avec des ragondins (Myocastor coypus). Sur la droite de cet enclos, le visiteur retrouve le complexe des guépards ainsi qu’une maison percée de baies vitrées, au sol en sable, oc- cupée par des tortues à éperon (Geochelone sulcata). |
Enclos des ratons laveurs - novembre 2016 |
Enclos des lions - novembre 2016 |
Le visiteur continue alors sa
découverte du Tierpark Nadermann, en longeant, sur la droite, une vaste prairie, entretenue par la pâture de moutons (Ovis aries). Au bout de l’allée, on trouve une ancienne cage, au sol en sable, disposant pour seul aména- gement d’un tronc d’arbre. Cette cage doublée d’un chalet dont l’intérieur n’est pas visible est occupée par des lions (Panthera leo). Le zoo prévoit dans l’année à venir, d’agrandir cet enclos en offrant aux lions l’ensemble de la prairie des moutons, triplant ainsi l’espace de vie de ces carnivores. |
L’allée de visite se divise alors en deux parties, au niveau de cette patte d’oie, nous allons bi- furquer sur la gauche, pour entrer dans un cul de sac entouré de deux enclos de taille mo- yenne. Le premier représente un morceau de forêt avec de nombreuses structures en bois, quelques arbres et des rochers. Le premier enclos est consacré à des jaguars (Panthera onca) tandis que le second est le lieu de vie de panthères (Panthera pardus). |
Enclos des jaguars - novembre 2016 |
Allée des rongeurs - novembre 2016 |
Nous revenons alors sur l’allée principale, pour continuer notre découverte de ce zoo et longer, sur la droite, un bâtiment bardé de bois et gril- lagé en façade. Cet espace se divise en 4 loges au sol paillé, agrémentées chacune de maisons en bois. On pourra y découvrir des cobayes (Cavia aperea domesticus) et des lapins nains (Oryctolagus caniculus). |
Jouxtant le complexe des rongeurs, on peut observer une installation intérieure au sol en sable, agrémentée de rochers et de branches, dans laquelle s’ébat une famille de suricates (Suricatta suricata). Ce panorama africain est complété par un second enclos bétonné, délimité par un muret, creusé d’un bassin et garni de quelques huttes en pierres, dans lequel vivent des porcs épics à crête (Hystrix cristata). |
Enclos des porcs épics - novembre 2016 |
Le sentier de visite tourne alors sur la gauche, formant un angle à 90°, pour former une nouvelle allée, l’allée des rapaces. Sur la droite de ce chemin, intégrées dans une zone forestière se dressent plusieurs volières. La première que nous pouvons observer dispose d’un sol recouvert de feuilles mortes et est traversée par quelques branches horizontales faisant office de perchoir. Elle abrite des harfangs des neiges (Nyctea scandiaca). |
Volière des harfangs - novembre 2016 |
Volière des chouettes lapones - novembre 2016 |
La seconde et la
troisième volière sont plantées de conifères et dispose d’un sol en sable. Elles hébergent respectivement des chouettes lapones (Strix nebulosa) et des grands ducs (Bubo bubo). L’allée se termine par une vaste volière au sol en sable, agrémentée de quelques branches et de remorques en bois. Cette volière est le lieu de vie de vautours à savoir : vautours à dos blanc (Gyps africanus) ; vautours néophron moines (Necrosyrtes neophron) et de vautours auras (Cathartes aura). |
Volière des vautours - novembre 2016 |
Allée des chouettes - novembre 2016 |
Le visiteur débouche alors sur la place à pro- ximité de la volière des coatis (Nasua nasua) où l’on emprunte une allée parallèle à la pré- cédente. Sur la gauche de ce chemin, le visiteur peut observer un premier enclos en terre et en herbe, disposant de quelques ro- chers pour aménagements. Cet espace est occupé par des wallabies de Bennett (Macropus rufogriseus) et des maras (Dolichotis patagonum). |
Enclos des wallabies - novembre 2016 |
Enclos des cigognes - novembre 2016 |
Mitoyen aux marsupiaux se trouve une grande plaine, organisée autour d’un bassin central et plantée de saules et autres grands arbres. Au sein de cet espace cohabitent des cigognes blanches (Ciconia ciconia), des cormorans (Phalacocorax carbo), des poules naines (Gallus gallus domesticus), des oies blanches (Anser domesticus), des nettes rousses (Netta rufina) et des canards carolins (Aix sponsa). |
A l’extrémité de cet enclos, le visiteur peut soit continuer tout droit sur la route principale et rejoindre le camping, soit poursuivre sa découverte du parc en bifurquant sur la gauche. En empruntant ce sentier, nous nous diri- geons vers une prairie délimitée par un fil électrique, prairie au sein de laquelle évolue un groupe de chameaux (Camelus bactrianus). |
Plaine des chameaux - novembre 2016 |
Plan d'eau des pélicans - novembre 2016 |
En arrivant sur l’enclos des
camélidés,
le
sen- tier tourne sur la droite pour former un S et longer un enclos entouré d’une petite barrière, organisé autour d’un grand bassin entouré de quelques plages en terre sur lesquelles pous- sent saules pleureurs, bouleaux et autres conifères. Des troncs couchés et des rochers complètent les décors de cet enclos à anatidés. Sur le lac on pourra voir glisser des pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus), des cygnes chan- teurs (Cygnus cygnus), des canards colverts (Anas platyrhynchos) et des oies blanches (Anser domesticus). |
A l’extrémité du
lac, un enclos en herbe de faible largeur accueille des émeus (Dromaeus novaehollandiae). L’allée continue alors sur la gauche, de sorte à longer sur la droite, une vaste prairie prolongeant l’enclos des ratites. Cette prairie est divisée en plusieurs parcs successifs que nous allons découvrir au fur et à mesure de notre avancement. Dans l’ordre de visite on pourra y voir : des lamas (Lama glama) ; des yackas (Bos grunniens) ; des baudets du Poitou (Equus asinus domesticus) puis des zèbres de Grant (Equus burchelli boehmi). |
Plaine typique pour herbivores - novembre 2016 |
Enclos des chèvres - novembre 2016 |
Sur la gauche de l’allée,
on retrouve dans un premier temps le pré des chameaux, puis un enclos en sable, agrémenté de quelques ro- chers, d’une mare de boue et de buissons. Cet espace est occupé par des cochons Vietnamien (Sus scofra). A la suite des suidés, on trouve une autre en- clos en sable, avec une zone recouverte d’écorces. Un chalet en bois ainsi que des amas rocailleux complètent les décors. Cet enclos constitue l’enclos de contact de la mini ferme, avec ses chèvres naines (Capra hircus), moutons du Cameroun (Ovis aries) et autres poules naines (Gallus gallus) appartenant à plusieurs races différentes. |
Le sentier de visite contourne
alors l’enclos des chèvres et longe, sur la droite, deux plateaux en herbe, entourés de larges fossés en eau. Le premier plateau dispose pour seuls aménagements de quelques troncs et présente des chèvres du Velay (Capra hircus domesticus). Le second plateau est traversé d’amas de branches et de cordes et accueille un groupe de macques crabiers (Macaca fascicularis). Nous débouchons alors sur une grande place où plusieurs attractions, manèges et autres aires de jeux sont destinées aux en- fants en bas âge. |
Ile des macaques - novembre 2016 |
Volière des magots - novembre 2016 |
Sur la gauche de cette place, on
peut
ob- server une succession de 4 volières aux gros barreaux, de volume moyen, ac- colées à un bâtiment en briques rouges. La première volière est agrémentée de structures d’escalade en bois et en cor- des, volière au sein de laquelle s’ébattent des magots (Macaca sylvanus). Une maison sépare la première volière de la seconde et abrite les loges de nuit des primates. En outre, cette bâtisse est vitrée en façade, permettant ainsi d’admirer un vivarium au sol recouvert de copeaux et de souches. Cette installation est le lieu de vie de dègues (Octodon degus). |
Nous arrivons alors
devant la seconde volière qui bénéficie d’un sol en herbe, est agrémentée de structures d’escalade en bois et plantée d’arbre de taille moyenne. Un ocelot (Leopardus pardalis) évolue à ce niveau. Dans le prolongement de ce félidé, se dresse une volière typique pour psittacidés avec son sol en sable, et ses branches nues servant de perchoirs. Des kookaburas (Dacelo gigas) y cohabitent avec des perruches de Pennant (Platycercus elegans), des perruches om- nicolores (Platycercus eximius), des per- ruches splendides (Neophema splendida), des gris du Gabon (Psittacus erihacus), ... |
Volière australienne - novembre 2016 |
Enclos des octodons - novembre 2016 |
..., des inséparables à tête rose (Agapornis roseicollis), des perruches ondulées (Mellopsittacus undulatus), des perruches callopsites (Nymphicus hollandicus) et des colombes diamants (Geopelia cuneata). Cette allée compte une dernière installation formée de 2 cages pouvant être mises en commun ou au contraire séparées. Ces cages sont agrémentées de gros troncs et de cordes. |
Elles accueillaient jusqu’en 2015, Kasper et Uschi, les chimpanzés (Pan troglodytes) du parc. Les installations étant devenues désuètes, le parc a confié ces animaux en Angleterre depuis 2015. Le visiteur retrouve alors le grand restaurant du zoo ainsi que l’enclos des rennes qui mar- que ainsi la fin de la découverte du Tierpark Nadermann. |
Ancienne cage des chimpanzés - novembre 2016 |
En conclusion, cet établissement est un parc familial de petite taille présentant essentiel- lement des ongulés domestiques et des car- nivores. Les installations sont pour la plupart de taille correcte bien que les installations des grands fauves mériteraient une petite rénovation. Le parc tend, en fonction de ses moyens à gommer ces derniers points. Une visite de deux heures permettra de par- courir l’ensemble du parc. Mais les jeunes enfants pourront être occupés pendant une journée complète. |
Ane - novembre 2016 |
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