Zoo Saarbrücken Graf-Stauffenberg Strasse 66121 Saarbrücken Allemagne Tel : +49 (0)6 81 98 04 40 Fax : +49 (0)6 81 98 04 438 www.zoo.saarbruecken.de |
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Eté : 8h30 à 18h00 Hiver : 9h00 à 17h00 Derniers billets vendus 1 heure avant la fermeture du zoo. Les chiens sont admis dans le parc. |
Calao de Malaisie - mai 2010 |
Galidie élégante - mai 2010 |
Tickets individuels Adultes : 6,50 € Enfants (5 à 18 ans) : 3,50 € Tarifs réduits (étudiants, séniors ): 3,50 € Tickets groupes (plus de 20 personnes) Adultes : 5,00 € Enfants (5 à 18 ans) : 2,00 € Tarifs réduits (étudiants, séniors ): 2,00 € Cartes annuelles Adultes : 20,00 € Famille (1 adulte + 2 enfants) : 30,00 € Famille (2 adultes + 2 enfants): 50,00 € |
Après avoir franchi
l'entrée, le visiteur fait face au premier enclos du
parc. Cet enclos se compose d'un grand lac, bordé de zones végétalisées et d'une plage en terre et en herbe. Un groupe de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) y cohabite avec des flamants roses (Phoenicopterus ruber), des fuligules milouinans (Aythya marilla), des nettes rousses (Netta rufina), des canards mandarins (Aix galericulata), des garrots à oeil d'or (Bucephala clangula), des tadornes de Belon (Tadorna tadorna) et des oies empereurs (Anser indicus). Le visiteur emprunte le sentier de droite, passe devant le restaurant du parc et se dirige vers une zone consacrée à l'Amérique du Sud. Il arrive vers un complexe constitué de deux cages, et d'un bâtiment qui abrite trois loges carrelées. Celles-ci disposent de structures d'escalade en bois et de bacs à sable. Un trio de jaguars (Panthera onca) et leur jeune occupent cette installation. |
Volière des jaguars - mai 2010 |
Enclos intérieur des tapirs - mai 2010 |
La première cage des
jaguars est composée d'une
zone nue en sable, et d'une zone végétalisée. La seconde volière, de superficie importante, offre différents niveaux de hauteur. Elle est densémment végétalisée et agrémentée d'un petit cours d'eau. Le visiteur longe les deux volières pour se diriger vers un plateau au sol en herbe et en terre, au milieu duquel se trouvent quelques bosquets. Cette installation constitue l'enclos extérieur des tapirs terrestres (Tapirus terrestris) du zoo de Saarbrücken. La plaine des tapirs est accolée à une maison ronde. Dans cette maison, on peut observer une première volière, agrémentée de nombreux branchages et cordages, consacrée aux tamarins pinchés (Saguinus oedipus) et aux cobayes sauvages (Cavia aperea). Ces animaux disposent d'un accès libre à l'ensemble du bâtiment des tapirs. Des conures soleils (Aratinga solstitialis) évoluent également dans ce bâtiment. Un aquarium est présenté dans cette serre. Il montre des piranhas rouges (Serrasalmus natteri), des épalzéorhynchus du Siam (Epalzeorhynchus siamensis), des corydoras léopards (Corydoras trilineatus) et des corydoras armés (Corydoras aeneus). |
Lac des flamants roses - mai 2010 |
Enclos extérieur des tapirs - mai 2010 |
Volière secondaire des jaguars - mai 2010 |
Loge intérieure des jaguars |
En sortant de la
maison des tapirs, le visiteur se dirige vers une zone construite récemment et consacrée à l'environnement, aux constructions vertes, au tri des déchets et à" l'école du zoo". A ce niveau, on peut également voir une volière occupée par des furets (Mustela furio). La suite de la visite nous conduit vers un bassin de taille moyenne, entièrement bétonné et carrelé. Cette piscine est doublée d'une plage en béton,et accueille un groupe reproducteur de phoques veau-marins (Phoca vitulina). En face des phoques, le visiteur découvre un complexe de plu- sieurs volières qui constituent la cité des singes du zoo de Saarbrücken. Une première installation de grande taille, au sol en herbe, est agrémentée de rochers, de structures d'escalade en bois et cordages. Un groupe reproducteur de makis cattas (Lemur katta) évolue dans cet enclos. |
Enclos des phoques - mai 2010 |
Volière extérieure typique pour lémurs - mai 2010 |
Le visiteur longe la
volière des makis, puis leur loge de nuit, avant d'arriver au niveau d'une petite volière reliée par un tunnel aérien, à une volière plus grande. Celle-ci, plantée de bambous et agrémentée de nombreuses structures en bois, accueille un groupe de lémurs à ventre roux (Eulemur rubriventer). La visite se continue entre la volière des makis cattas et une rangée de cages semi-ouvertes, séparées du visiteur par un grillage et une baie vitrée. L'ensemble de ces loges est carrelé, et dispose d'un sol en écorces, d'agrès en bois et de cordages. On peut y observer, respectivement, des lémurs à ventre roux (Eulemur rubriventer), des makis varis noirs et blancs (Varecia variegata), des lémurs à front roux (Eulemur fulvus rubra), un nouveau groupe de lémurs à ventre roux et des tamarins pinchés (Saguinus oedipus). Le visiteur est invité à entrer dans la maison des lémurs, où se trouve également le vivarium du parc. |
Volière des makis cattas - mai 2010 |
Loges extérieures des lémurs - mai 2010 |
Une fois l'entrée de la
maison franchie, le visiteur se trouve dans une ambiance chaude et humide, tapissée de nombreux végétaux. Sur la gauche de la maison, on découvre les loges intérieures des primates précédemment cités. Chaque loge est comparable à la partie exté- rieure décrite ci dessus. Au centre de la maison, un petit enclos en sable, agrémenté de faux rochers de couleur rouge est consacrée à la présentation d'iguanes rhinocéros (Cyclura cornuta). Sur la droite, on trouve une série de vivariums visibles à travers des baies vitrées. Les deux premier sont entièrement bétonnés, disposent d'un petit bassin et de quelques plantes artificielles. Des pythons réticulés (Python reticulata) et des anacondas jaunes (Eunectes notaeus) sont présentés dans ces terrariums. Le vivarium suivant est agrémenté de racines et d'écorce et est occupé par des boas de Madagascar (Acrantophis madagascarensis). Les terrariums suivant de grande taille sont agrémentés de branchages, de plantes, de terre et de sable. On peut y observer des boas de Dumerils (Acrantophis dumerili) dans le premier et une cohabitation entre des basilics verts (Basilicus plumifrons), des iguanes verts (Iguana iguana) et des crapauds taureaux (Bufo marinus) dans le second.. |
Terrarium des iguanes rhinocéros - mai 2010 |
Terrarium désertique - mai 2010 |
Le visiteur tombe alors sur un
terrarium faisant un angle, vivarium consacré au désert, agrémenté de sable, de rochers et de plantes grasses. Il est le lieu de vie de Gecko du Vietnam (Gekko plikovskii), de scinques à langue bleue (Teliqua skinkoides), de gerrhosaures (Gerrhosaurus major), de monstres de Gila (Heloderma suspectum) et de lézards perlés (Heloderma horridum exasperatum). En face de ces terrariums, de petites installations naturelles, au sol en terre et plantées de végétaux tropicaux, sont occupées respectivement par des phelsumes de Standing (Phelsuma standingi) qui cohabitent avec des gec- kos léopards (Eublepharis macularius), par des blattes du Congo (Pachnoda marginata), par des phasmes (Phasmatodea sp.), par des boas des arbres de Madagascar (Sanzinia madagascariensis) et des pyt- hons de Children (Liasis childreni). Enfin, 2 derniers terrariums sont oc- cupés par des pythons des arbres verts (Chondropython viridis) puis par des couleuvres à gouttelettes (Elaphe guttata). Au fond de la maison tropicale, on trouve un dernier enclos à ciel ouvert constitué d'un grand bassin, d'une plage en sable et de plantes artificielles. Un groupe d'alligators de Chine (Alligator ainensis) est présenté à ce niveau. Le visiteur ressort alors de la maison tropicale et de la maison des singes. |
Loge intérieure typique pour lémuriens - mai 2010 |
Vivarium des crocodiles - mai 2010 |
Sur la gauche de la sortie de la
maison tropicale, on découvre une petite volière octogonale au sol en sable et en rochers, agrémentée de structures en bois et de cordages. Un petit groupe de coatis à queue annelée (Nasua nasua) évolue dans cette installation. Sur la gauche, on découvre deux nouveaux complexes de cages qui clo- turent la cité des singes. La cage de gauche est de grande taille et reliée à trois loges intérieures visibles à travers des baies vitrées. Un groupe reproducteur de mandrills (Mandrillus sphix), dont un mâle imposant occupe cette première volière. Sur la droite de ce sentier, alternent loges intérieures et cages extérieures formant un complexe relativement long qui peut être soit séparé en différents enclos, soit reliés pour former une grande installation. Durant l'hiver, ce complexe est divisé en deux parties. La première est occupée par un groupe de macaques crabiers (Macaca fascicularis) qui cohabite avec le mâle reproducteur paca (Cuniculus paca). La seconde partie est le lieu de présentation de saïmiris (Saimiri boliviensis) qui vivent en compagnie de la femelle paca (Cuniculus paca) et de ses jeunes, nés le 26 février 2010. |
Volière des coatis à queue annelée - mai 2010 |
Loges des drills - mai 2010 |
Le visiteur revient alors au
niveau de la volière des coatis, où il emprunte un escalier pour atteindre un niveau supérieur du parc. Sur ce nouvel étage, il peut observer trois volières, dont il est séparé par une baie vitrée. Les loges disposent d'un sol en béton et de quelques structures en bois et sont reliées à une volière de taille plus importante au sol en écorces et tendue d'agrès. Ce complexe est consacré aux drills (Mandrillus leucophaeus), espèce cousine des mandrills mais beaucoup plus rare en captivité. Le zoo de Saarbrücken est un des seuls parcs européens à présenter les deux espèces. En face de la dernière volière des drills, on découvre le plateau estival des macaques crabiers, composé d'un sol en herbe, de rochers et de diverses cascades. Enfin, le visiteur peut observer un petit enclos naturel dans lequel sont pré- sentées des tortues d'Herrmann (Testudo hermanni), des tortues bordées (Testudo marginata) et des tortues des steppes (Testudo horsefieldii). Le sentier de visite s'arrête ici, car la zone suivante est en travaux. Cette an- cienne place de jeux est creusée pour accueillir d'ici 2011, le nouveau bas- sin des phoques. La suite de la visite nous amène au niveau des drills et des coatis, pour em- prunter un nouveau sentier. |
Allée des saimiris - mai 2010 |
Volière extérieure des mandrills - mai 2010 |
Cage des macaques crabiers - mai 2010 |
Enclos des tortues terrestres - mai 2010 |
Sur ce sentier, on
découvre un premier enclos en sable planté de quelques arbres, qui était consacré aux wallabies et qui suite à leur transfert dans une autre partie du parc, est occupé par un groupe de trois potamochères (Potamochoerus porcus pictus). Un peu plus loin sur ce sentier, on découvre un enclos bétonné agrémenté de quelques troncs d'arbres, qui permettent aux porcs épics à crète (Hystrix cristata) de ronger et de limer leurs dents. Le visiteur revient sur ses pas de sorte à contourner l'enclos des potamochères pour se diriger vers deux nouveaux enclos dont le premier est organisé de la même façon que celui des potamo- chères, alors que le second est densément végétalisé. La pre- mière installation est occupée par des grues royales (Balearica regulorum gibbericeps) tandis que des grues antigones (Grus antigone antigone) vivent dans le second. Le visiteur retourne alors au niveau du bassin des phoques et de la maison de la protection de la nature, qu'il longe pour se diriger vers une nouvelle partie du parc. |
Enclos des potamochères - mai 2010 |
Mini ferme du zoo - mai 2010 |
La visite se poursuit le long
d'une des frontières latérales du parc, et sur la gauche, une série d'enclos. Le premier, une prairie en herbe, est occupé par des ânes gris (Equus asinus). On trouve alors un bâtiment qui accueille les loges d'intérieur de la mini ferme, bâtiment bordé par un enclos en terre, cailloux et agrémenté de rochers, dans lequel le visiteur est invité à entrer. Des chèvres naines (Capra hircus), des lamas (Lama glama) et des cochons d'Inde (Cavia porcellus) le peuplent. La suite de la visite nous amène vers une volière de taille moyenne, densément végétalisée, agrémentée de quelques cachettes en bois et rochers. Un couple de servals (Felis serval) est présenté dans cette installation. A l'arrière et en contre bas de ces enclos, se dresse une grande volière agrémentée de cordages, branchages et autres végétaux, au sein de laquelle évolue une famille de gibbons (Hylobates lar). Cette volière n'est, depuis le début des travaux de la zone des phoques, plus accessible aux visteurs. |
Le visiteur poursuit sa visite
vers une série d'enclos de taille moyenne, tous au sol en herbe et agrémentés de quelques rochers et troncs d'arbre. Ces enclos sont dans l'ensemble peu aménagés et peu entre- tenus. Le premier est occupé par des yacks domestiques (Bos grunniens), alors que des chameaux (Camelus bactrianus) sont présentés dans le second et de nombreux paons bleus (Pavo cristatus) s'y promènent. Le visiteur arrive alors au niveau d'une volière extérieure agrémentée de rochers, branchages et cordages dans laquelle vit un couple de kéas (Nestor notabilis). Cette volière est accolée à une maison au sein de laquelle se poursuit la visite. La maison des oiseaux se com- pose de 3 loges visibles à travers des baies vitrées. La première au sol naturel, densément végétalisée, est consacrée plus particuliè- rement à l'avifaune australienne. On peut y observer une cohabitation entre des diamants mandarins (Taeniopygia guttata), des capucins à tête blanche (Lonchura maya), des rossignols du Japon (Leiothrix lutea), des colombes diamants (Geopelia cuneata), des perdrix roulrouls (Rollulus roulroul), des colombes turverts (Chalcophaps indica) et des colombes de Barlett (Gallicolomba criniger). |
Volière australienne - mai 2010 |
Enclos des muntjacs - mai 2010 |
Les loges suivantes peuvent soit
être reliées, soit être séparées. Lors
de ma visite, elles étaient séparées, la première densément végétalisée et agrémen- tée de branchages , est le lieu de présentation d'un mâle calaos de Malaisie (Anthracoceros malayanus). La seconde est occupée par la femelle calaos et par un groupe de perdrix roulrouls (Rollulus roulroul). Le visiteur ressort alors de la maison et emprunte le sentier situé sur la gau- che pour découvrir un grand parc de type forestier, dans lequel évolue cinq femelles muntjacs de Chine (Muntiacus reeversi). Le visiteur est en con- tact direct avec ces cervidés, dans l'enclos forestier. Il quitte alors cette nouvelle installation de contact pour se diriger vers une nouvelle zone d'enclos à l'herbe haute comme ceux des yacks et des chameaux. L'enclos situé sur la gauche est le lieu de vie d'un groupe de vaches Highland cattles (Bos primigenius taurus). Sur la droite du sentier, se dresse une grande butte. Au sommet de cette der- nière, se dresse une volière et un bâtiment intérieur qui sont aujourd'hui lais- sés à l'abandon. Cette volière, encore tendue de cordage, était le lieu de présentation des mandrills, avant leur déménagement dans la zone des singes. |
Maison des oiseaux - mai 2010 |
Volière des kéas - mai 2010 |
Volière des servals - mai 2010 |
Enclos typique pour herbivores - mai 2010 |
Le visiteur longe l'enclos des
vaches Highlands pour arriver au niveau d'une nouvelle zone en travaux, délimitée par une cloture, et derrière laquelle se trouve une vaste prairie où vit le mâle muntjac de Chine (Muntiacus reeversi). La suite de la visite nous conduit à longer l'enclos des Highlands et la zone de travaux pour arriver vers une praire sauvage et peu entretenue, à coté de laquelle se trouve un enclos de petite taille, composé d'un pré parc en béton et d'une partie en herbe. Un couple de chameaux (Camelus bactrianus) et leur jeune l'occupent. En face des chameaux, une vaste prairie à l'herbe haute est le lieu d'une cohabitation entre des guanacos (Lama guanicoe) et des nandous (Rhea americana). Le visiteur contourne la plaine des guanacos, pour pour- suivre la visite sur un sentier sur la gauche duquel il trouve un nouvel enclos à l'herbe haute. Cet enclos de grande taille est bordé par une maison an- cienne et par une nouvelle construction en travaux. Cette installation est consacrée à la présentation de guépards (Acynonix jubatus), qui dev- raient bientot bénéficier de nouvelles loges. |
Enclos des guépards - mai 2010 |
Cages extérieures des chimpanzés - mai 2010 |
Au bout du sentier, le chemin
de visite bifurque sur la droite, en direction d'un grand bâtiment. Le long du sentier, on trouve deux cages au sol en herbe, reliées entre elles et agrémentées par des troncs d'arbre et des cordages. Ces cages sont occupées par le groupe de chimpanzés (Pan troglodytes). A coté des cages des chimpanzés, une nouvelle volière naturelle tendue de branchages et cordages, est le lieu de vie d'une petite troupe de tamarins à mains rousses (Sanguinus midas). Le visiteur se dirige vers un bâtiment en forme de U, avec dans le fond du U, une autre volière comparable à celle des ouistitis à toupets blanches (Callithrix geoffroyi). La visite nous conduit alors à entrer dans la maison, où l'on peut observer les loges intérieures des singes, visibles à travers de grandes baies vitrées. La pre- mière loge tout à gauche, au sol en silure, agrémentée de branchages, occupée par des tamarins à mains rousses (Sanguinus midas) et des cobayes sauvages (Cavia magna). A coté des tamarins, on trouve deux loges tendues de cordages et de divers objets d'enrichissement. Ces loges sont occupées par le groupe de chimpanzés du zoo de Saarbrücken. |
A coté des chimpanzés, un nouvelle petite loge agrémentée de plantes et au sol en sable est le lieu de vie des ouistitis à toupets blancs (Callithrix geoffroyi). Les deux dernières loges comparables à celles des chim- panzés sont consacrées pour leur part au groupe de gorilles (Gorilla gorilla). Ce petit groupe se compose de trois individus, qui ont accès à une cage extérieure au sol en écorces et tendue de cordages. Le visiteur ressort alors de la maison des singes pour se diriger à nouveau au niveau de l'enclos des guépards et poursuit sa visite. |
Loge intérieure des chimpanzés - mai 2010 |
Les
grands singes de Saarbrucken Chimpanzés Jimmy, mâle né en 1977 Jonny, mâle né en 1961 Oana,, femelle née en 1961 Takki, femelle née en 1968 Wilma, femelle née en 1988 |
Gorilles de plaine Pesco, mâle né à Apenheul le 19/05/1986 Dura, femelle née à Stuttgart le 21/02/1988 Ukiwa, femelle née à Zurich le 08/08/1991 |
Loge intérieure des ouistitis à toupets blancs - mai 2010 |
Loge extérieure des ouistitis à toupets blancs - mai 2010 |
Maison des grands singes - mai 2010 |
Loge extérieure des gorilles - mai 2010 |
Sur la droite du sentier, on
découvre une vaste plaine en herbe, agrémentée de quelques arbres, de rochers et bordée par des falaises de grès rose. Cet enclos est occupé par des kangourous roux (Macropus giganteus), des wallabies de Benett (Macropus rufogriseus) et des émeus (Dromaius novaehollandiae). Ces animaux étaient présentés dans l'enclos des potamochères. Le visiteur se dirige alors vers la mini ferme du parc, qui se compose de divers enclos en sable, aux barrières en bois, accolés à des écuries. Des poneys shetland (Equus caballus) et des chevaux Ardennais (Equus caballus) occupent ces enclos reliés à un manèges où les enfants peuvent monter à cheval. La suite de la visite nous amène vers une rangée de volières. La pre- mière est peu aménagée, on y trouve seulement des troncs d'arbre. Un couple de harfangs des neiges (Nyctea scandiaca) sont présentées à ce niveau. Les deux volières suivantes sont densément végétalisée, on y trouve des confières et d'autres feuillus auxquels s'ajoutent des rochers et des troncs d'arbre. |
Enclos des kangourous - mai 2010 |
Enclos des renards corsacs - mai 2010 |
Ces deux volières sont
les lieux de vie respectifs de hiboux grands ducs (Bubo bubo) et de chouettes lapones (Strix nebulosa). On arrive alors vers une fosse plantée de nombreux buissons et à l'herbe haute. Un groupe de renards corsacs (Alopex corsac) s'ébat dans cette structure à coté de laquelle on peut observer le manège des chevaux. A coté du manège, un nouvel enclos typique de celui des poneys ac- cueille un groupe de chevaux tarpans (Equus caballus). Le visiteur emprunte alors un pont suspendu pour se diriger une nouvelle fois vers l'enclos des guépards. Sur la gauche de ce point, en remontant légèrement le sentier de visite, on peut voir une zone de travaux, corres- pondant au futur enclos des mangoustes zébrées (Mungos mungo). La suite de la visite nous amène à redescendre sur le sentier de visite en direction de trois plateaux de petite taille, en sable, pouvant être soit reliés soit séparés. Le premier est le lieu de vie de deux girafes (Giraffa camelopardalis). |
Le second est occupé par
un groupe reproducteur d'élands du Cap (Taurotragus oryx), le dernier par un groupe de zèbres de Chap- mann (Equus burchelli chapmanni). Le visiteur contourne ce com- lexe pour se diriger vers un nouvel enclos en herbe occupé par des tortues géantes d'Aldabra (Geochelone gigantea), qui ont égale- ment accès à une maison visible à travers des baies vitrées. Le vi- siteur entre alors dans la grande maison africaine entièrement béton- née, typique des installation du zoo de Saarbrücken. Sur la droite de l'entrée, on trouve une rangée de terrariums dis- simulés par des bambous. Les deux premiers vivariums, sont agré- mentés de branchages et de feuilles naturelles. Un écureuil de Prévost (Callosciurus prevostii) y vit. Les trois loges suivantes sont occupées par des galidies élégantes (Galidia elegans), dont une mère et son jeune né le 11 avril 2010 qui occupent les deux premières installations et un mâle présenté dans la loge suivante. Le dernier terrarium est agrémenté de nombreuses plantes artifi- cielles, au milieu desquelles évoluent des ouistitis pygmés (Callithrix pygmaea). |
Plateau typique des animaux africains - mai 2010 |
Volière des écureuils de Prévost - mai 2010 |
Le visiteur arrive alors vers une série de boxes pour ongulés, consacrés aux zèbres. Le visiteur est invité à emprunter un escalier pour monter un palier. Bordant l'escalier, une grande volière agrémentée de troncs d'arbre et de cordages est le lieu de vie d'un écureuil de Prévost (Callosciurus prevostii). Au niveau du second palier, on trouve une rangée de boxes consacrés aux élans du Cap (Taurotragus oryx), avant d'emprunter un nouvel escalier en direction du troisième palier. A coté de l'escalier, une nouvelle volière comparable à celle des écureuils est le lieu de présentation de gris du Timneh (Psittacus erithacus timneh). Au niveau du troisième étage, on découvre deux autres volières de taille réduite occupées respectivement par des aras chloroptères (Ara chloroptera) et par des amazones à front bleu (Amazona aestiva), ainsi que quatre boxes consacrés aux girafes. Le visiteur redescent alors au sous sol de la maison africaine où se trouve une collection de cranes de l'ensemble des espèces présentées à Saarbrücken, mais aussi d'autres espèces, et où l'on trouve l'entrée du noctarium du parc. |
Enclos des tortues d'Aldabra - mai 2010 |
Volière des perroquets - mai 2010 |
Boxes intérieurs des ongulés africains - mai 2010 |
Terrariums des galidies - mai 2010 |
Volières des chouettes - mai 2010 |
Enclos des chevaux - mai 2010 |
Le visiteur entre alors dans le
noctarium du sous sol de la maison africaine. Il s'agit d'une grande pièce entourée de divers terrariums, avec en son centre, un petit enclos. La visite débute sur la gauche, par un premier vivarium, agrémenté de nombreuses feuilles, bran- ches et cailloux est occupé par des macroscelides à oreilles cour- tes (Macroscelides proboscideus). Le terrarium suivant est le lieu de vie de souris épineuses du Caire (Acomys cahirinus). La suite de la visite nous amène vers deux vastes loges, agrémen- tées de nombreux branchages et troncs d'arbre. Le premier est le lieu de vie de rares douroucoulis de Humboldt (Aotus trivirgatus), alors que le second abrite des phalangers volants à queue courte (Petaurus breviceps). La suite de la visite nous amène vers deux terrariums de taille réduite, reliés entre eux et aménagés de branchages, rochers et plantes artificielles. Des petits microcèbes (Microcebus murinus) occupent ces deux loges. |
Collection de cranes - mai 2010 |
Enclos des oryctéropes - mai 2010 |
A coté des
microcèbes, le visiteur peut observer une colonie de roussettes d'Egypte (Rousettus aegyptiacus), qui évolue dans les deux loges suivan- tes. On arrive alors vers un enclos relativement long, semi ouvert, au sol en sil- lure et agrémenté d'une fourmilière en béton. Un couple d'oryctéropes du Cap (Orycteropus afer) est présenté dans cette installation. Le visiteur se dirige alors vers la dernière partie du noctarium, pour dé- couvrir les derniers terrariums. Ces derniers disposent tous d'un sol en terre et de quelques végétaux, souches d'arbre et branchages. Le premier est le lieu de vie de mygales (Aviculariidae sp.), le second, illuminé par un néon bleu refléchissant est occupé par des scorpions (Parabuthus transvaalicus), le troisième est le lieu de présentation de petits tenrecs hérissons (Echinops telfairi), le quatrième est consacré aux iules géantes (Julidae sp.) alors que le dernier est consacré aux rats des moissons (Micromys minutus). Au centre du noctarium, un dernier enclos en sable est le lieu de vie de tatous à neuf bandes (Euphractus sexcinctus). Le visiteur ressort alors du noctarium et quitte la maison africaine pour la longer de l'extérieur et suivre un sentier en pente. |
Au bout de ce sentier, on trouve un enclos en herbe, escarpé, qui est le lieu de présentation de chèvres de Walliser (Capra hircus). En face des chèvres, une loge intérieure recréé un village au sol de paille. Des lapins nains (Oryctolagus cuniculus) occupe une partie de cette maison alors que la seconde zone est consacrée aux cochons d'Inde (Cavia porcellus). Le visiteur arrive alors au niveau d'une place où se trouve un restaurant et une aire de jeux. La suite de la visite nous conduit sur le sentier de gauche, en di- rection d'une petite volière naturelle, agrémentée de cordages, rochers et troncs d'arbre. Des chats manuls (Otocolobus manul) sont présentés à ce niveau. |
Volière des chats manuls - mai 2010 |
Travaux de l'enclos des phoques - mai 2010 |
Le visiteur retourne au niveau de l'aire de jeux, pour emprunter un sentier en forte pente, en direction d'un observatoire abritant les loges des mangoustes zébrées (Mungos mungo), qui disposent d'une instal- lation en sable agrémentée de quelques rochers. Le visiteur poursuit sa visite en longeant la plage en herbe des flamants roses (Phoenicopterus sp.), et de leur lac vu au début de la visite. C'est par cet enclos que se termine la visite du zoo de Saarbrücken. |
En conclusion, le zoo de Saarbrücken est un petit parc de ville dont la visite peut être faite en 3 heures. Il présente un nombre réduit d'espèces dans des enclos de taille moyenne mais peu entretenus, comme l'ensemble du parc. Néanmoins, des travaux d'amélioration des enclos ont été entrepris. Les espèces rares et le noctarium du zoo ont contribué à sa renom- mée. |
Douroucouli - mai 2010 |
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