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Tarifs 2018 (Ces informations ne sont données qu'à titre indicatif):

Dik-diks de Kirk - mai 2012

Ticket individuel      Adulte : 36,00 €      Enfants (de 3 à 11 ans) : 30,00 € Pass' 2 jours consécitifs      Adulte : 54,00 €      Enfants (de 3 à 11 ans) : 45,00 € Pack annuel      Adulte : 144,00 €      Enfants (de 3 à 11 ans) : 120,00 €

      

Le zoo d'Amnéville se situe en Lorraine, entre Metz et Thionville. Il a ouvert ses portes en juin 1986, grace à la volonté et la passion de son directeur, M. Michel LOUIS. Au fil des années, le zoo s'est développé pour devenir l'un des plus beaux d'Europe. Aujourd'hui, le zoo d'Amnéville présente 2000 animaux appartenant à plus de 250 espèces différentes. Le parc zoologique d'Amnéville s'étend sur 14 hectares traversés par plus de 4 kilomètres d'allées, sillonant les enclos au coeur d'une forêt de chênes.

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Au bas de l'allée on peut observer, sur la gauche, les îles à singes. Elles abritent pour la première, un groupe de capucins (Cebus apella), pour la seconde un couple d'atèles noirs (Ateles paniscus), également appelés singe araignée. Ces îles sont entourées d'eau, bien plantées et agrémentées de nombreuses structures en bois et en cordes. Nous allons continuer notre progression, en dire- ction de la grande nouveauté 2004 "American Forest". Le premier enclos est le lieu de vie d'un groupe de loups blancs de l'Arctique (Canis lupus).	Ile des capucins  octobre 2018
Plaine des bisons - octobre 2018	L'enclos est de grande taille, planté de nombreux arbres et sapins et traversé par un torrent. A coté de l'enclos des loups, se trouve le lieu de vie des bisons d'Amérique (Bison bison), un ponton surplombe leur enclos. A l'intérieur du fort, représentant la capitainerie, se trouve l'enclos des lynx (Felis lynx). Un couple de ces félins est présenté à cet endroit. Là encore, des pins, branchages, charmes jouxtent les décors re- créant un fort cheyenne. Nous revenons alors sur l'allée principale pour longer la nouveauté 2014.
Plaine des loups - octobre 2018	Volière des lynx - octobre 2018

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Le vivarium inauguré en 1997, présente plus de 300 reptiles de différentes espèces, dont une importante collection de varans. Les espèces présentées sont multiples, et la collection évolue constamment. On peut noter la présence de boas constricteurs, d'anoncondas, de pythons, de différentes espèces de varans et de lézards, de scinques à langue bleue, de caméléons, de crocodiles indopacifiques, de caïmans, de tortues hargneuses... A la sortie du vivarium, la zone de restauration a été réaménagée, on trouve également une nouvelle ter- rasse offrant un point de vue sur la nouveauté 2007.

Exemple de vivarium - octobre 2018

Exemple de vivarium - octobre 2018

Exemple de vivarium - octobre 2018

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Cette nouveauté est appelée "Orang-utan jungle". L'allée conduisant au batiment longe l'enclos extérieur du trio d'orang-outans de Sumatra (Pongo pygmaeus), et offre de nombreux points de vue à travers des baies vitrées. Le bâtiment, de 875 m² dispose de 2 étages. En entrant, le visiteur trouve sur sa droite, une volière qui a été totalement réaménagée. La surface au sol a été agrandie et de nombreuses branches s'y enche- vêtrent. Cette volière est le lieu de vie d'un groupe reproducteur de rats des nuages (Phloeomys pallidus).

Volière des rats des nuages - octobre 2018

Enclos extérieur des orangs outans - octobre 2018

En face, se trouve l'installation intérieure des orang- outans, qu'ils partagent avec un groupe de loutres cendrées (Aonyx cinerea), initialement présentées au niveau du penguinland. La maison des grands singes est très bien aménagée, et les nombreuses cordes et passerelles offrent une multitude de possibilités d'es- calade. Le visiteur peut également avoir accès à un balcon offrant une vue sans vitres sur l'enclos intérieur principal des orang-outans et sur leur enclos secon- daire.

Le visiteur sort ensuite de la maison des anthro- poïdes, la contourne et trouve la maison inté- rieure des siamangs (Hylobates syndactulus), qui là encore offre de nombreuses possibilités d'escalade. La visite se poursuit par le tour de l'enclos ex- térieur des siamangs.	Loge intérieure des orangs outans - octobre 2018
Volière indonésienne - avril 2008	Les orangs outans d'Amnéville - Ludo, mâle né le 06 octobre 1997 au zoo de Munich arrivé en 2007 - Vendel, mâle né 15 aout 2000 à Budapest arrivé en 2008 - Julitta, femelle née le 29 avril 1975 à Bristol arrivée de Jersey en 2007 - Putri, femelle née le 16 mai 2005 à Jersey arrivée en 2007 - Revital, femelle née le 14 juin 2000 à Tel Aviv, arrivée en 2009

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Face aux loges intérieures des siamangs, le visiteur peut emprunter un sentier qui le mène dans la première allée de la nouveauté 2009, la cité des rapaces, allée bordée par 6 volières. La première est le lieu de vie d'un couple d'urubus à tête rouge (Cathartes aura). La volière suivante est occupée par des faucons laggars (Falco jugger). Les deux installations qui suivent sont le lieu de présentation de buses de Harris (Parabuteo unicinctus), à coté desquelles vivent des faucons gerfauts (Falco rusticolus). La dernière volière est oc- cupée par un jeune pygargue à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), mais devrait à terme accueillir des faucons sacres (Falco cherrug). La suite de la visite nous conduit dans l'arène en bois du spectacle, recréant une arène médiévale. Dans cette enceinte est présenté, durant la saison estivale, un spectacle à cheval de rapaces en vol libre, dans lequel évoluent entre autre des buses de Harris, des pygargues à tête blanche, des vautours fauves, des vautours moi- nes, des condors des Andes, des caracaras huppés, des chouettes effraies, des hiboux grand duc ou encore des harfangs des neiges. Le visiteur ressort de l'arène au niveau de l'enclos extérieur des siamangs.	Entrée de l'arène de spectacle - septembre 2009
Volière de vautours moines - septembre 2009	La suite de la visite nous conduit à longer cet enclos à l'extrémité duquel on découvre une grande volière, plantée de conifères et agrémentée de troncs d'arbre, rochers et plan d'eau. Des vautours de l'Himalaya (Gyps himalayensis) y cohabitent avec des vautours fauves (Gyps fulvus), des vautours moines (Aegypius monachus) et des milans noirs (Milvus migrans). On se dirige alors vers des volières cote à cote consacrées aux aigles. Ces volières sont situées sur la droite du sentier. En face de celles-ci, on peut observer l'enclos extérieur des tigres blancs. La première volière est le lieu de vie d'un couple d'aigles pêcheurs d'Afrique (Haliaeetus vocifer), la suivante est occupée par un couple d'aigles des steppes (Aquila nipalensis), espèce relative- ment peu courante en captivité. Des autours des palombes (Accipiter gentilis) sont présentés dans la troisième volière de cette zone. Les trois installations suivantes sont le lieu de vie res- pectif de chouettes de l'Oural (Strix uralensis), de chouettes lapones (Strix nebulosa), d'aigles des Verreaux (Aquila verreauxi), magnifique espèce très peu représentée en parc zoologique. La der- nière volière est occupée par un couple de vautours à tête blanche (Trigonoceps occipitalis).
Arène de spectacle - septembre 2009	Volières des chouettes et aigles - septembre 2009
Aigle bleu du Chili - septembre 2009	Aigle des Verreaux - septembre 2009
Aigle des Verreaux - septembre 2009	Vautour à tête blanche - septembre 2009

Toutes ces volières, hormis celle des aigles vocifères, sont densément végétalisées, disposent d'un sol en herbe et de nombreux perchoirs en bois, ainsi que de rochers.

Un sentier bifurque alors sur la droite pour emprunter un chemin entouré de volières. Les volières de gauche sont consacrées aux rapaces nocturnes, représentés par des harfangs des neiges (Nyctea scandiaca) qui sont présentées dans une volière cail- louteuse plantée de quelques petits conifères. La volière suivante est occupée par des chouettes hulottes (Strix aluco) qui dis- posent de nombreux arbres pour se percher. Une grange recon- stituée est le lieu de vie de chouettes effraies (Strix varia). Des grands ducs d'Europe (Bubo bubo) et des grands ducs d'Amérique (Bubo virginianus) cloturent cette rangée et sont présentés dans des volières plantées de nombreux arbres. La rangée de droite compte 4 volières aménagées de la même façon que les installations des aigles. Les espèces présentées ici sont des aigles bleus du Chili (Geranoaetus melanoleucus), des faucons pélerins (Falco peregrinus), des caracaras huppés (Polyborus plancus) et des milans royaux (Milvus milvus).

Volières des rapaces nocturnes - octobre 2018

Rangée de volières pour grands rapaces - septembre 2009

On gagne alors la rangée des grands rapaces. Une grande volière africaine est le lieu de cohabitation de vautours à dos blanc (Gyps africanus), de vautours de Rüppell (Gyps ruppelli), de vautours oricous (Torgos tracheliotus), d'aigles bateleurs (Terathopius ecaudatus), de vautours à capuchons (Necrosyrtes monachus) et de vautours palmistes (Gypohierax angolensis). Cette cohabitation originale se passe sans pro- blèmes au sein de la volière au sol en herbe agrémentée de quelques rochers et de nombreux branchages. A coté de la volière africaine, une volière est le lieu de vie d'un couple de condors des Andes (Vultur gryphus) et de cara- caras des montagnes (Phalcoboenus megalopterus). La rangée de gauche est occupée par 5 grandes volières densémment végé- talisées, dans lesquelles sont présentés respectivement des pygargues de Steller (Haliaeetus pelagicus), des pygargues à tête blanche (Haliaeetus leucocephalus), des pygargues à queue blanche (Haliaeetus albicilla), et des aigles royaux (Aquila chrysaetos). Avant de quitter la zone des rapaces, le visiteur découvre deux dernières volières situées en retraits, qui accueillent des vautours papes (Sarcoramphus papa) pour la première et des aigles impériaux (Aquila heliaca) pour la seconde.

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Située à l'extrémité des volières secondaires des rapaces se dresse l'imposante nouveauté 2015 : "Tiger World". Cette zone densément plantée est consacrée au gros félin qu'est le tigre. Les plantations de bambous sont omniprésentes. Le visiteur entre alors dans cette zone et découvre, légérement sur la gauche, une salle au coeur de laquelle il est invité à entrer le "Tiger Conservation Centre". Cette pièce plongée dans la pénombre présente une ma- quette de forêt équitoriale en cours de déforestation. Plusieurs panneaux mentionnent également les menaces pesant sur les tigres. Différents éléments de squellette, ainsi qu'un film pédagogique sur la création du spectacle complètent les mises en scènes.

Entrée du centre pédagogique - juin 2015

Intérieur du centre pédagogique - juin 2015

Le visiteur quitte la salle pédagogique pour déboucher sur une grande place sur la gauche de laquelle se dresse l'arène des rapaces. Sur la droite en revanche se dresse une imposante structure circulaire recouverte de faux rochers de laquelle jaillissent plusieurs cascades. Des brumisateurs, des lierres et des palmiers contribuent à recréer l'ambiance de jungle. Un ponton traverse un grand bassin et nous conduit vers une grotte souterraine dont les murs sont peints de dessins troglodytes. Une porte vitrée intégrée à cette grande bâtisse s'ouvre 30 minutes avant les spectacles. Le visiteur pénètre alors sous la caverne et découvre dans un premier temps une boutique consacrée à l'univers du tigre.

Au bout du couloir se trouve un espace de restauration et bar aux décors digne des grands cabarets. Sur la gauche de cette pièce se trouve l'entrée dans la salle de spectacle, pouvant accueillir 2000 personnes. Au milieu se dresse la piste circulaire. Après quelques minutes le filet de protection descent et se met en place. C'est également à ce moment précis que débute le grand son et lumière relativement réussit qui précède l'entrée des tigres dans la cage. Ce ne sont pas moins de 9 fauves dont 2 tigres blancs qui composent la représentation.	Extérieur de la salle de spectacle - juin 2015
Arène de spectacle - juin 2015	Durant cette dernière, tous les éléments de la nature vont se déchainer pour former un spectacle d'environ 30 à 40 minutes. A la fin de la représentation, le visiteur peut quitter la zone de spectacle pour découvrir les paddocks extérieurs des animaux tous creusés d'un bassin, bien végétalisés et agrémentés structures d'escalade en bois. La suite de la visite nous ramène vers la place centrale pour continuer la traverser de "Tiger World" où se dresse une vaste aire de jeux pour enfants doublée de statues de tigres à dents de sabre. La découverte de Tiger World se termine ainsi et le visiteur rejoint l'arène de spectacle des rapaces.
Boutique de Tiger World - juin 2015	Restaurant de Tiger World - juin 2015
Ambiance dans la zone Tiger World - juin 2015	Statue de tigre à dent de sable - juin 2015
Arène de spectacle - juin 2015	Zone extérieure des tigres - juin 2015
Zone extérieure des tigres - juin 2015	Zone extérieure des tigres - juin 2015

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Le visiteur ressort alors de la grande volière, pour traverser une passerelle en bois couverte par un toit. Sur la droite, une longue baie vitrée s'ouvre sur un enclos de taille moyenne, au sol en herbe, agré- menté de multiples végétaux, d'un bassin et de rochers. Cette installation présente les jaguars (Panthera onca). Face aux félins, se trouve un étang au centre du- quel une île en terre est ombragée par des arbres et présente une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis).

Lagune des flamants - octobre 2018

Loge intérieure typique pour petits singes - octobre 2018

Nous continuons alors notre visite pour franchir une section où se dressent plusieurs volières, chacune reliée à un bâtiment dont l'intérieur est visible à travers une vitre. Ce complexe a été inauguré en 2011 et est consacré aux petits singes sud américains. Les volières extérieures profitent toutes d'un sol en terre, sont plantée de bambous et de feuillus, et traversées par des cordes. Les zones intérieures, où le bois est à l'honneur offrent de nombreuses struc- tures d'escalade. Parmi les primates présentés ici, on peut citer : ta- marins empereurs (Saguinus imperator), des oui- stitis pygmés (Callithrix pygmaea), des ouistitis ar- gentés (Mico argentatus), des titis roux (Callicebus cupreus), ou encore des agamis trompettes (Psophia crepitans).

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L'avancée dans la jungle amazonienne continue, pour retrouver l'ancien bâtiment des tapirs, qui a été transformé, bénéficie d'un sol recouvert de terre, aménagé de branches, de cordes et autres agrès. Cette installation voit cohabiter des sakis à front blanc (Pithecia pithecia) et des ouistitis à toupet blanc (Callithrix jacchus). Ces singes, profitent également d'un espace ex- térieur du même type. La zone américaine compte encore une volière extérieure et deux loges. Cet ensemble est planté de quelques de végétaux, de branches, de cordes.	Volière des sakis - octobre 2018
Volière des aras militaires - octobre 2018	La volière et la première loge sont occupées par des tamanduas (Tamandua tetradactyla), tandis que la seconde loge est consacrée à des iguanes verts (Iguana iguana). C'est ainsi que s'achève la découverte de la jungle amazonienne. La suite de la visite nous amène à traverser l'allée principale, avant de gagner une passerelle en bois. Sur la droite,, un peut observer un premier enclos de 75 m², très végétalisé, parcouru par un torrent qui se jette dans un bassin en aqua vision sous marine. Un couple de loutres du Canada (Loutra canadensis) s'ébat à ce niveau.
Ambiance dans la zone amazonienne - octobre 2018	Volière extérieure pour callithricidés - octobre 2018

Plus loin, sur la gauche, se dresse un enclos entouré de palissades en bois. Cet enclos est planté de nom- breux troncs de sapins morts et des sapins. Cette installation est occupée par un groupe de ratons laveurs (Procyon lotor). Plus loin, le visiteur retrouve la partie basse de l'en- clos des loups, sur lequel s'ouvrent plusieurs vitres. Face aux loups, sur la droite de l'allée principale, une haute palissade faite de traverses de chemin de fer et percée par endroit de baies vitrées, est consacré à un autre mammifère nord américain.	Enclos des ratons laveurs - octobre 2018
Enclos des ours blancs - octobre 2018	Ce complexe se compose de deux enclos, un principal doté d'un bassin en aquavision, agrémenté de zones de galets et de nombreux conifères. Une cascade par- court également cette installation occupée par un ours polaire (Ursus maritimus) relativement agé. Le second enclos plus petit, est également creusé d'un bassin, de quelques arbres et a été recouvert d'un filet. Il est aussi consacré au dernier ours blanc du zoo. L'allée contourne alors le complexe des ours pour découvrir la vision sous marine, avant de gagner le continent noir.
Enclos des tamanduas - octobre 2018	Enclos des ours blancs - octobre 2018

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La première installation africaine est le lieu de présentation d'un couple d'hippopotames am- phibies (Hippopotamus amphibius). Le couple profite d'une plage en sable reliée à un bassin de taille moyenne. L'installation intérieure composée de deux boxes permet d'abriter les mastodontes durant la saison froide. Le visiteur emprunte ensuite un petit pont pour entrer réellement dans la zone africaine. Cette zone de plus de 4 ha a été acquise en 2000. La première installation accueille un groupe de 3 éléphants d'Afrique (Loxodonta africana) qui dispose de zones ensablées, de rochers et d'un bassin. Leurs installations intérieures sont aussi ouvertes au public, et accueillent un pléiade de petites espèces.	Enclos des Hippopotames - octobre 2018
Enclos des Hippopotames - octobre 2018	Autour de la plaine des éléphants, sont présentées d'autres petites espèces. Le premier enclos est le lieu de vie de dik-diks de Kirk (Madoqua kirki), petite antiloppe africaine. Les deux autres enclos sont le lieu de présentation de tortues à éperons (Geochelon sulcata) tortues rayonnées (Geochelone radiata). La population d'Amnéville est la plus importante ex-situ. Le zoo d'Amnéville est également le co- ordinateur européen de cette espèce. L'ancien enclos des suricates a été transformé en volière extérieure, reliée à la première loge intérieure. Cet ensem- ble est occupé par un couple de calaos trompettes (Bycanistes bucinator). La seconde loge est maintenant un noctarium recréant une falaise et accueille une colonie de roussettes d'Egypte (Roussettus aegyptiacus). Enfin, un dernier enclos est accolé à la maison des éléphants et relié à la 3ème loge intérieure. Il est occupé par des damans des rochers (Procavia capensis) et des touracos à bec noir (Tauraco schuetti).
Volière des calaos - octobre 2018	Maison des éléphants - octobre 2018

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En sortant de la maison des éléphants, le visiteur a un nouveau point de vision sur leur enclos, mais aussi sur la plaine africaine du zoo d'Amnéville qui regroupe des girafes (Giraffa camelopardalis), des zèbres de Burchell (Equus burchelli), un groupe cobes de Lechwe (Kobus lechwe), des autruches (Struthio camelus) et des grues royales (Balearica regulorum). Les installations intérieures des girafes sont visibles du public. Dans la maison des girafes, ont peut également observer quelques petites espèces. Un premier terrarium agrémenté de nombreux rochers, recréant une véritable falaise est consacré à des gundis de l'Atlas (Ctenodactylus gundi). Les deux autres terrariums sont occupés par un groupe de mandrills (Mandrillus sphinx). Leur loge est relié à une vaste volière extérieure recréant une steppe et une cabane africaine.	Loge des gundis - octobre 2018
Maison des girafes - octobre 2018	En face de la volière des mandrills est présenté un couple de chats des sables (Felis margarita) qui profitent d'un enclos extérieur et d'une loge inté- rieure. Ces structures disposent d'un sol en sable et sont agrémentées de rochers, de plantes et autres buissons. Plus loin, sur la gauche du sentier, un grand enclos en herbe, visible à travers une vitre, est planté de plusieurs buissons et consacré à des servals (Felis serval). Le visiteur, en poursuivant son chemin, peut avoir plusieurs vues différentes sur la plaine africaine des girafes. Au bout de l'allée, se trouve la volière des calaos terrestres (Bucorvus leadbeateri), qui cohabitent avec des tortues léopards (Geochelone pardalis) et des tortues à éperons (Geochelone sulcata). A coté de la volière des calaos et tout autour de la plaine, se trouve un point de restauration.
Au bout de l'allée, se trouve une vaste volière au sol en herbe, tarversée par de multiples cordes et de branches, plantée de buissons. Cette dernière présente main- tenant une cohabitation entre des varis roux (Varecia rubra) et des varis noirs et blancs (Varecia variegata). Au bout de l'allée, on découvre le point de restauration de la savane africaine.	Volière des varis - octobre 2018
Enclos des mandrills - octobre 2018	Enclos des chats des sables - octobre 2018

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En quittant le point restauration, le visiteur trouve un nouvel enclos. Cette zone, créée en 2003, est le lieu de présentation d'un groupe de rarissimes rhinocéros blancs (Ceratotherium simum). L'installation du zoo d'Amnéville se constitue de deux enclos, en relation par un passage fermé. Le visiteur peut avoir une vue sur les deux enclos, et le sentier de visite surplombe le passage entre les deux enclos. Chaque enclos est relié à un bâtiment composé de 3 boxes chacun. Le premier est ouvert au public, et quelques vi- variums présentent de petites espèces africaines, le second n'est pas visitable. Cette installation constitue un centre d'élevage de cette espèce, et permet de garder plusieurs mâles.	Plaine des rhinocéros blancs - octobre 2018
Maison des rhinocéros - octobre 2018	Le parc enregistre plusieurs naissances de rhinocéros depuis 2014. Dans le bâtiment des rhinocéros, sont présentées plusieurs petites espèces, chacune dans un terrarium situé sur la droite du couloir de visite.  La première loge en sable et en écorces, est garnie de branches et de rochers. Un couple de fennecs (Vulpes zerda) y évolue. La seconde loge présente des varans à gorge blanche (Varanus albigularis) et des tortues boites africaines (Kinixys erosa).  Enfin, le troisième vivarium est occupé par des veuves de Paradis (Vidua paradisaea), des lézards fouette queue (Uromastyx acanthinurus) et des tortues mauresques (Testudo graeca).
Loge pour petits mammifères - octobre 2018	Loge des calaos trompettes - octobre 2018

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Avant de visiter le bâtiment des rhinocéros, le sentier bifurque sur la droite, vers l'évènement de l'année 2005, la baie des lions de mer, installation unique en Europe. Cette installation se compose de deux bassins extérieurs, un grand bassin et un second servant à isoler les individus malades ou les mères et leur petit. La maison des otaries est visible à travers des vitres, et regroupe trois bassins et différents boxes de nuit.  Le bassin totalisent plus de 2 500 000 litres d'eau, reliés à un système de filtration dernier cri, et d'un bâtiment de 600 m². Deux espèces d'otaries sont présentées dans cet espace aquatique. Un premier groupe de 3 lions de mer de Patagonie (Otaria byronia), 1 mâle et 2 femelles, et 9 lions de mer de Californie (Zalophus californianus), qui ont donné naissance à leur premier petit en juin 2006, puis un second en juin 2007. L'année 2008 a vu la nais- sance de 2 bébés otaries, une petite otarie de Californie et, première pour le parc, une petite otarie de Patagonie.	La baie des lions de mer - aout 2005
Otarie de Californie - aout 2005	Un spectacle éducatif a lieu plusieurs fois par jour durant la belle saison. Il permet d'aborder les différences entre les espèces d'otaries, les problèmes que rencontre ces espèces dans la nature et la sauvegarde de ces animaux. En quittant l'installation des otaries, le visiteur peut avoir une vision sur l'ensemble du système de filtration. Le visiteur passe ensuite par le bâtiment des rhinocéros. A la sortie de la maison des rhinocéros, se trouve un plan d'eau, lieu de vie de pélicans gris (Pelecanus rufescens), d'ibis sacrés (Threskiornis aethiopica) et d'oies d'Egypte (Alopochen aegyptiacus). Face aux pélicans, une vaste volière en herbe doublée par une loge tapissée de bois et agrémentée de plusieurs structures d'escalade. Ce complexe est consacré à des makis cattas (Lemur catta).
Bassin des pélicans - octobre 2018	Maison des rhinocéros - octobre 2018

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En face du bassin des hippopotames, le visiteur peut voir la loge intérieure des guépards (Acinonyx jubatus). En continuant, le chemin nous mène le long de l'enclos des guépards. Cet enclos est de grande taille et quelques cabanes et plateformes y sont disposées, permettant aux guépards de se reposer dessus. Cette partie est une des plus ancienne du parc. A coté des guépards, se trouve l'enclos des hyènes tachetées (Crocuta crocuta) . Au fond de l'enclos, on peut voir la maison des hyènes qui représente une cabane en bois.

Enclos des hyènes - octobre 2018

Enclos des panthères des neiges - octobre 2018

Les deux enclos suivants ont été rénovés en 2006, et s'insèrent dans un nouvel espace représentant la jungle Birmane. Le premier enclos accueille un couple de panthères des neiges (Panthera uncia). Leur enclos est agrémenté et planté de sapins de différentes essences birmanes. Le second enclos accolé à celui des panthères des neiges, également rénové en 2006 accueille un couple de chats pêcheurs ou chats viverins (Prionailurus viverrinus). Là encore, l'enclos est très bien planté et il est parfois difficile de pouvoir observer les animaux.

Face aux félins himalayens, le visiteur découvre un ensemble de 3 enclos. Le premier est visible d'un point d'observation en hauteur. Cet observatoire domine un enclos fait de rochers et de plusieurs rochers, sapins, buissons et troncs d'arbres. Des structures d'escalade en bois et un bassin com- plètent les décors de l'enclos des tigres blancs (Panthera tigris). Le second enclos de ce complexe est en pente légère. Il dispose d'un sol en sable, de quelques rochers, de sapins et de buissons. Cet espace a été refondu régulièrement et est doublé d'une loge intérieure vitrée en façade. Actuellement, le couple de grues du Canada (Grus canadensis) du zoo y évolue.	Enclos des grues - octobre 2018
Volière des calaos - octobre 2018	Enfin, le dernier enclos est relativement vaste, creusé d'un bassin, planté de massifs de bambous, de troncs et de rochers. Il héberge un tigre de Sibérie (Panthera tigris altaica). A l'extrémité de l'enclos des tigres, le visiteur bifur- que sur la gauche pour découvrir une imposante volière en herbe, plantée de quelques arbustes et occupée par des calaos terrestres (Bucorvus leadbeateri). Ces oiseaux bénéficient également d'un local chauffé visible au travers de baies vitrées. Nous allons contourner cet ensemble, pour revenir sur l'allée principale.
Enclos des tigres blancs - mai 2014	Enclos des tigres de Sibérie - octobre 2018

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Là, sur la gauche de l'allée, on peut observer un point d'eau entouré de plages en herbe, ombragées de quelques saules. Cet enclos délimité par une haie verdoyante accueille une colonie de flamants roses (Phoenicopterus roseus). AU bout de cette allée, on trouve l'ancienne fosse des ours. Le fossé en eau a été comblé et l'ensem- ble a été planté d'herbe, de buissons et de struc- tures d'escalade en bois et en cordes. Cet enclos présente une cohabitation entre des muntjacs de Chine (Muntiacus reevesi) et des binturongs (Arctictis binturong).

Enclos des binturongs - octobre 2018

Volière des macaques crabiers - octobre 2018

Face aux binturongs de dresse une volière au sol en terre, agrémentée de quelques perchoirs en bois et bien pentue. Cette dernière est le lieu de vie de grands ducs du Bengale (Bubo bengalensis). Plus loin, sur la droite de l'allée se trouve l'école du zoo qui propose différentes animations pédagogiques notamment pour les groupes scolaires. A la suite de l'école du zoo se trouve une des an- cienne volière du zoo, agrandie grâce à une baie vitrée. Cette volière est agrémentée de structure d'escalade en bois et en cordes et est occupée par un groupe de macaques crabiers (Macaca fascicularis).

Face aux singes, on peut observer un autre enclos de grande taille, recouvert d'un filet. Ce dernier représente une savane sèche avec son sol en sable, ses buissons et ses branches mortes. Un couple de caracals (Caracal caracal) s'y ébat. Mitoyen à ces félidés, on trouve un enclos rénové récemment, au sol en sable, agrémenté de fourmilières, de yuccas et de branches. Ce dernier est consacré à une colonie de man- goustes rayées (Mungo mungo). Avant de quitter le zoo, le visiteur est invité à emprunter un sentier parallèle au précédent.	Enclos des mangoustes - octobre 2018
Volière des cacatoès - octobre 2018	Sur la gauche de l'allée, on retrouve les mangoustes et les caracals, tandis que sur la droite, on peut observer l'installation des coatis vue au début de la visite, puis deux vastes volières dotée chacune d'un abris vitré. Ce complexe a été inauguré en 2009. La première structure au sol recouvert d'écorces et plantée de sapins voit évoluer des kéas (Nestor notabilis). La seconde volière a longtemps été occupée par des cacatoès des Molluques (Cactua moluccensis) qui cohabite avec une colonie de loriquets arc en ciel (Trichoglossus haematodus).
En continuant sur ce sentier, le visiteur revient vers l'enclos des flamants roses. Nous allons revenir sur nos pas pour retrouver la volière des macaques avant de se diriger vers la boutique du zoo. Là, face à l'entrée, se trouve une petite île bien plantée, agrémentée de quelques bran- ches et autres troncs, île consacrée à des aras militaires (Ara militaris). Le visiteur traverse alors la boutique du parc avant de quitter le zoo.	Ile des aras - octobre 2018

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En conclusion le zoo d'Amnéville s'est fortement pour devenir l'un des plus grands parcs français. Les enclos sont pour la grande majorité de grande taille et de bonne factures. Les dernières nouveautés du parc ont permis de gommer les points noirs restants. La collection est relativement classique bien que certains rapaces présentés à Amnéville sont peu courants en captivité.

Tigre de Sumatra - juin 2007