Parc des
oiseaux RD 1083 01330 Villars les Dombes Tel: 04 74 98 05 54 Fax: 04 74 98 27 74 www.parcdesoiseaux.com |
![]() |
Mars,
octobre et novembre |
Avril,
mai,
juin et septembre |
Juillet
et
aout |
![]() Amazone de Finch - juillet 2008 |
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Ouverture
des guichets |
10h00 |
9h30 |
9h30 |
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Fermeture
des guichets |
16h30 |
17h00 |
17h30 |
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Fermeture
du parc |
17h30 |
18h30 |
19h00 |
![]() Echasse américaine - juillet 2008 |
Adulte
(au dessus de 15 ans) |
19 € |
Enfants
(2 à 12 ans) |
14 € |
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Juniors (13 à 25 ans) | 16 € | |
Personne
en situation de handicap |
8 € |
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Pass
famille (2 parents + 2
enfants) |
58 € |
2000: La volière du Pantanal 2001: La cité des perroquets 2002: La maison des oisillons; la volière des rapaces 2003: La pampas des nandous, la volière Krabi et l'île des échassiers 2004: La crique des manchots et la volière des condors 2006: La maison des oiseaux 2007: Le bush australien et le jardin des oiseaux 2008: Spectacle de haut vol avec plus de 25 espèces 2009: La vallée des Toucans avec 5 espèces 2010: Terres de Calaos 2012 : Loris Loft 2014 : La Jungle Tropicale 2015 : La maison des colibris 2016 : L'Australie et la tour panoramique 2017 : La savane africaine |
![]() Microglosse - aout 2012 |
- la maison des oiseaux qui
accueille diverses espèces dans des
volières intérieures. Elles recréent toutes des milieux que l'on peut trouver sur la pla- nète, de la forêt équatoriale aux bords de mer en passant par les savanes africaines ou les montagnes asiatiques. Sur la droite du couloir central, on peut découvrir 5 volières. La première, située tout à droite, est le lieu de co- habitation d'échasses américaines (Himantopus himantopus mexicanus), de zosterops kikuyus (Zosterops kikuyuensis) et de nonnettes de Fernando Po (Lonchura bicolor). Cette volière est de type humide sableux. La vo- lière suivante, consacrée aux zones sèches et sableuses, est le lieu de coha- bitation de diamants de Gould (Cholebia gouldiae), de touis célestes (Forpus coelestis) et de colombes diamants (Geopelia cuneata). Ces es- pèces ne sont pas toutes issues du même milieu puisque les touis se rencon- trent en Amérique du Sud alors que les deux autres espèces peuvent s'ob- server en Australie. La troisième volière de ce coté, est consacrée à l'australie humide, repré- sentée par des diamants à goutelettes (Stagonopleura guttata), des dia- mants à longue queue (Poephila acuticaudata), des ptilopes turgris (Ptilinopus melanospila), des cailles de Chine (Coturnix chinensis), des papes de Nouméa (Erythrura psittacea) et des rossignols du Japon (Leiothrix lutea). La volière suivante était en cours de réaménagement lors de ma visite. Enfin, la dernière volière de droite est le lieu de vie d'un couple de ca- laos trompette (Bycanistes bucinator). |
![]() Maison des oiseaux - juillet 2008 |
![]() Veuve à collier - septembre 2009 |
Sur la gauche de la maison des
oiseaux, on découvre une rangée de 3 grandes volières plus hautes que celles de droite et densémment végé- talisées. La première est le lieu de cohabitation d'ignicolors grenadiers (Euplectes orix), de travailleurs à bec rouge (Quela quela), de veuves à collier (Vidua orientalis), de rolliers à longue queue (Coracias caudata), de tisserins des buffles (Dinemellia dinimelli), de cous coupés (Amadina fasciata), de touracos paulines (Tauraco erythrolophus), de pigeons olives (Collumba arquatrix) et de van- neaux armés (Vannelus armatus). La volière suivante est le lieu de vie de loriquets de Stella (Charmosyna papou stellae), de colombes poignardées (Gallicolumba luzonica), de pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica), de gouras couronnés (Goura cristata) et d'astrilds à joues oranges (Estrilda melpoda). Enfin, une dernière grande volière est le lieu de vie de jacanas noirs (Jacana jacana), de colombes du Pérou (Columba cruziana), de paroares dominicains (Paroaria dominicana), de tangaras dorés (Tangara arthus), de tangaras grenat (Tangara mexicana), d'ara- guiras gris (Coryphospingus cucullatus), de pigeons nobles (Otidiphaps nobilis) et de tangaras évèques (Thraupis episcopus), espèce qui était présentée dans la maison du Pantanal. Le visiteur quitte alors la maison des oiseaux pour se diriger vers le restaurant et la volière des gris du Gabon. |
![]() Tangara évèque - septembre 2009 |
![]() Ptilopes turgris - septembre 2009 |
Mise à
jour suite à ma visite de juin 2017 : La maison des oiseaux a été vidée de ces occupants et est maintenant fermée au public. Un projet de recon- struction totale de ce bâtiment est envisagé pour les années à venir. |
![]() Volière des gris du Gabon - juillet 2008 |
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![]() Calao trompette - juillet 2008 |
![]() Rollier à longue queue - juillet 2008 |
![]() Zone de spectacle en face du grand lac - juillet 2008 |
![]() Zone de spectacle en face du grand lac - juillet 2008 |
![]() Vol de aras militaire - juillet 2008 |
![]() Vol de vautour urubu - juillet 2008 |
- la volière du Pantanal:
précédée d'un bâtiment qui abritait deux
vol- ières dont l'une était occupée par des guiras cantaras (Guira guira), l'autre étant consacrée à la présentation de petites espèces comme les jacanas noirs (Jacana jacana), les tangaras gris bleu (Thraupis episcopus). En 2009, l'ensemble de ces installations ont été détruites pour laisser place à la forêt des toucans. 5 espèces de ces oiseaux aux longs bec ont pris place dans de grandes volières au sol naturel et densément végétalisées. On peut y observer des toucans de Swainson (Ramphastos ambiguus swainsonii), des toucans vitellins (Ramphostos vitellinus), qui cohabitent avec des ti- namous élégants (Eudromia elegans). La volière suivante au sein de la- quelle coule une cascade est le lieu de présentation de toucans tocos (Ramphostos toco). La volière suivante est le lieu de cohabitation de tou- cans à bec caréné (Ramphostos sulfuratus) et d'ortalides du chaco (Ortalis canicollis). Deux autres volières réaménagées à l'ancien emplace- ment de la volière des tangaras, accueillent des toucans à bec carénés (Ramphostos sulfuratus) et des toucans à bec rouge (Ramphastos tucanus tucanus). En face de l'entrée de cette maison, une petite volière réaménagée en aout 2009, accueille des trogons à queue noire de Swainson (Trogon melanurus swainsonii), espèce unique en Europe qui cohabitent avec des tinamous tataupas (Crypturellus tataupa). Le visiteur ressort alors de la forêt des toucans pour se rendre dans la volière du Pantanal. |
![]() Foret des toucans - septembre 2009 |
![]() Entrée de la volière du Pantanal - juillet 2008 |
Le visiteur entre alors dans la
plus grande volière du parc
consacrée à la faune sud américaine. On y retrouve en cohabitation libre, des aras hyacynthes (Anodorhynchus hyacinthinus), des amazones de Finch (Amazona finschi finschi), des amazones à joues vertes (Amazona viridigenalis), des vanneaux du Chili (Vanellus chilensis), des écha- sses américaines (Himantopus himantopus mexicanus),des ibis rouges (Eudocimus ruber), des ibis de Ridgway (Plegadis ridgwayi), une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis), des eri- smatures rousses (Oxyura jamaicensis), des sarcelles soucrourous (Anas discors), des sarcelles à collier (Calonetta leucophrys), des sarcelles du Brésil (Amazonetta brasiliensis), des dendrocygnes fauves (Dendrocygna bicolor), des dendrocygnes veufs (Dendrocygna viduata), des hoccos de Daubenton (Crax daubentoni) et depuis l'été 2009, des savacous huppés (Cochlearius cochlearius). Le visiteur ressort alors de la volière du Pantanal en direction du labyrinthe du zoo. |
![]() Volière des toucans tocos - septembre 2009 |
![]() Ancienne volière des tangaras - juillet 2008 |
![]() Volière du Pantanal - juillet 2008 |
![]() Volière du Pantanal - juillet 2008 |
![]() Maison des oisillons - juillet 2008 |
![]() Jeunes anatidés - juillet 2008 |
![]() Jeune amazone - juillet 2008 |
![]() Jeunes aras militaires - juillet 2008 |
![]() Toucan de Swainson - septembre 2009 |
![]() Toucan toco - septembre 2009 |
![]() Toucan à bec caréné - septembre 2009 |
![]() Toucan à bec rouge - juillet 2009 |
![]() Amazone à joues vertes - septembre 2009 |
![]() Trogon à queue noire - septembre 2009 |
![]() Flamant rose nourri - septembre 2009 |
![]() Toucan vitellin - septembre 2009 |
Mise
à jour suite à ma visite de septembre 2015 : Au niveau de la forêt des toucans on note de nombreux changements, notamment au niveau des espèces pré- sentées. C’est ainsi que la volière des toucans de Swaison (Ramphastos ambiguus swainsonii), héberge main- tenant des toucans montagnards (Andigena laminirostris), une espèce unique en Europe. La seconde volière située sur la gauche du sentier qui était occupée par des toucans vitellins (Ramphostos vitellinus) est consacrée à des araçaris de Beauharnais (Pteroglossus beauharnaesii). |
Volière des toucans montagnards - septembre 2015 |
Toucan montagnard - septembre 2015 |
Les toucans tocos (Ramphastos toco) ont
conservé leur place alors que la volière des ortalides (Ortalis canicollis) ont été remplacées par des toucanets à croupion rouge (Aulacorhynchus haematopygus). Enfin, avant de quitter la forêt des toucans, l’ancienne volière des toucans à bec rouge (Ramphastos tucanus tucanus) est consacrée à de rares coracines chauves (Perrisocephalus tricolor). Ces arrivées ex- ceptionnelles marquent notamment les liens que le parc des oiseaux a tissé ces dernières années, avec le Dallas World Aquarium. |
Coracine chauve - septembre 2015 |
Araçari à croupion rouge - septembre 2015 |
![]() Entrée du labyrinthe- juillet 2008 |
![]() Volière des condors - juillet 2008 |
![]() Allée menant vers la crique des manchots - juillet 2008 |
![]() Crique des manchots - juillet 2008 |
![]() Pampa des nandous - juillet 2008 |
![]() Crique des manchots - juillet 2008 |
Un premier enclos,
séparé du visiteur par un fossé en eau est le lieu
de vie de grues antigones (Grus antigone) et de pilets d'Europe (Anas acuata). A coté des grues antigones, un enclos du même type est oc- cupé par des grues caronculées (Bugeranus carunculatus), unique représentant de leur espèce en France. Le visiteur emprunte le sentier situé entre ces deux enclos pour dé- couvrir sur la gauche, une vaste plaine herbeuse reliée à un bassin, au sein de laquelle s'ébattent des jabirus du Sénégal (Ephippiorhynchus senegalensis) et des sarcelles du Cap (Anas capensis). Sur la droite du sentier, on trouve un autre enclos de grande taille dans lequel cohabitent des grues royales (Balearica regulorum), des marabouts africains (Leptoptilos crumeniferus), des ibis sacrés (Threskiornis aethiopicus) et des nettes brunes (Netta erythrophtalma). C'est ainsi que ce termine l'ile des échassiers. |
![]() Ile des jabirus - juillet 2008 |
![]() Vallée des nandous - septembre 2009 |
- la Vallée des nandous : En face des grues caronculées, un groupe de nandous (Rhea americana) cohabite avec des bernaches magellans (Chloephaga picta) et des chaunas (Chauna torquatus). Le visiteur traverse alors à nouveau l'ile des échassiers en direction du Bush australien. |
![]() Ile des échassiers ici des ibis - juillet 2008 |
![]() Ile des vautours de l'Himalaya - juillet 2008 |
![]() Grue royale - septembre 2009 |
![]() Grue caronculée - septembre 2009 |
![]() Jabiru du Sénégal - septembre 2009 |
![]() Grue caronculée - septembre 2009 |
Après avoir franchit le
petit pont qui sépare la zone australienne, le visiteur découvre sur la droite, un enclos consacré aux wallabies de Benett (Macropus rufogriseus), les seuls mammifères du parc. Leur enclos en herbe est agrémenté de quelques rochers et arbu- stes. Sur le coté gauche, on trouve un enclos pentu, au sol en pierres de lave dans lequel sont présentées des oies céréopses (Cereopsis novaehollandiae). Le visiteur arrive alors au niveau d'une volière en forme de chateaux dans laquelle il est invité à entrer. Cette dernière se divise en une zone nue en sable, une zone en herbe, une zone marécageuse et une zone végétalisée. On peut y observer des cormorans pies (Phalacrocorax melanoleucos), des oedicnèmes criards (Burhinus oedicnemus), des perruches à croupion rouge (Psephotus kaematonotus), des perruches de Barraband (Polytelis swainsonii), des vanneaux masqués (Vanellus miles miles), des colombes lophotes (Ocyphaps lophotes), des colombes turverts (Chalcophaps indica), des colombes lumachelles (Phaps chalcoptera), des sarcelles d'Australie (Anas castanca), des souchets d'Australie (Anas rynchotis), des diamants à goutelettes (Stagonopleura guttata), des diamants à longue queue (Poephila acuticaudata), et des diamants masqués (Poephila personata). |
![]() Volière australienne - juillet 2008 |
![]() Ile des cacatoès - juillet 2008 |
Le visiteur ressort de la
volière pour entrer dans un grand enclos composé d'un grand bassin au milieu duquel on trouve 2 îles. La plus grande est le lieu de vie de kangourous roux (Macropus rufus), d'émeus (Dromaius novaehollandiae) et de nombreux anatidés comme des cygnes noirs (Cygnus atratus),des bernaches à crinière (Chenonetta jubata), des dendrocygnes d'Eyton (Dendrocygna eytoni), des tadornes radjah (Tadorna radjah), et des tadornes casarcas (Tadorna tadornoides). La seconde île de taille plus petite est aménagée de nombreux branchages qui offrent des perchoirs aux cacatoès à huppe jaune (Cacatua galerita) qui y sont présentés. Les anatidés ont également accès à cette île. Le visiteur contourne alors cet enclos ainsi que la grande volière pour revenir au niveau de la zone des wallabies où il entre dans le secteur suivant du zoo. |
Mise
à jour suite
à ma visite de juin 2017 : La plaine des nandous américains (Rhea americana) a été divisé en deux par le chemin conduisant à la nouvelle zone australienne inaugurée en 2016. Sur la droite du sentier marquant cette délimitation le visiteur découvre une colonie de flamants du Chili (Phoenicopterus chilensis) qui cohabitent avec des chaunas (Chauna torquata) et des siffleurs du Chili (Anas sibilatrix). Sur la gauche de ce pont, la plaine accueille les nan- dous (Rhea americana). Suite à ces plaines, le visiteur débute la visite de l'Australie. |
Enclos des flamants du Chili - juin 2017 |
Panneau de la zone australienne - juin 2016 |
Après avoir traversé une zone buissonneuse, le visiteur dispose d'un premier point de vue sur un grand plan d'eau entouré de berges pentues en herbe. Au coeur de ce plan d'eau on pourra admirer les pélicans à lunettes (Pelecanus conspicillatus), des cygnes noirs (Cygnus atratus), des ibis cou de paille (Threskiornis spinicollis) et des tadornes d'Australie (Tadorna tadornoides). L'allée de visite continue sa progression en direction d'une cabane en bois. Sur la gauche, en contrebas du sentier s'étend une vaste plaine en herbe, parsemée de zones sableuses. Quelques eucalyptus et autres rochers complètent les décors de cet enclos au sein duquel évolue des émeus (Dromaius novaehollandiae), des kangourous géants (Macropus giganteus) et des kan- gourous roux (Macropus rufus). |
Ambiance dans la zone australienne - juin 2017 |
Plaine des pélicans à lunettes - juin 2017 |
En traversant la cabane en bois,
le visiteur pourra ad- mirer une exposition sur les différentes espèces en- démiques d'Australie et sur les tribus peuplant ce con- tinent. De retour à l'air libre, nous entrons dans un enclos de contact qui prolonge la plaine des émeus. Cette éten- due en herbe est agrémentée de case aborigènes. Un groupe de wallabies de Bennett (Macropus rufogriseus) y cohabite avec des wallabies de Parme (Macropus parma). Un avion semblant s'être craché plonge le visiteur au coeur d'un paysage australien. |
Enclos des wallabies - juin 2017 |
Bassin de la plaine des émeus - juin 2017 |
Nous allons alors ressortir de l'enclos de contact, pour découvre une petite prairie occupée par des oies céréopses (Cereopsis novaehollandiae). En continuant la visite du Bush, le visiteur longe un autre fossé en eau relativement large, formant le plan d'eau de la plaine des émeus. Sur ce plan d'eau, nous pourrons voir le balet des tadornes radjah (Tadorna radjah), des sarcelles rousses (Anas castanea) et des dendrocygnes d'Eyton (Dendrocygna eytoni). Une tête de crocodile indo pacifique (Crocodilus porosus) agrémente également cet espace. |
Cabane pédagogique - juin 2017 |
Plaine des kangourous - juin 2017 |
Enclos des wallabies - juin 2017 |
Village aborigène - juin 2017 |
Le sentier de visite trace alors
sa route le long de l'étang des kangourous avant d'arriver devant une volière pénétrante. Cette dernière a été conservée et date de l'année 2007. L'allée sillonne alors cette volière en passant au coeur des hautes herbes entourant une zone marécageuse. On pourra y observer sarcelle d'été (Anas querquedula); souchet d'Australie (Anas rhynchotis); dendrocygnes d'Eyton (Dendrocygna eytoni); bernache à crinière (Chenonetta jubata); ... |
Volière australienne - juin 2017 |
Enclos des céréopses - juin 2017 |
...; de très rares aigrettes à face blanche (Egretta novaehollandiae); ibis cou de paille (Threskiornis spinicollis); cormoran pie (Microcarbo melanoleucos); vanneau soldat (Vannelus miles miles); perruche de Barraband (Polytelis swainsonii); perruche à croupion rouge (Psephotus haematonotus); colombe lophote (Ocyphaps lophotes) ou encore colombine lumachelle (Phaps chalcoptera). Le visiteur ressort alors de la volière australienne pour retrouver l'enclos des oies céréopses au milieu duquel se dresse une éolienne. |
La visite se poursuit alors sur la gauche, pour gagner une petite place qui surplombe deux enclos en herbe, planté de nombreux jeunes arbres. Un fossé en eau doulbe la frontière entre les oiseaux et les visiteurs. Ce com- plexe est le lieu de vie de casoars à casque (Casuarius casuarius). Après avoir traversé une autre zone végé- talisée, le visiteur revient au niveau de l'enclos des grues caronculées et de l'entrée de la petite Dombes. |
Enclos des casoars - juin 2017 |
Tour d'observation - juin 2017 |
A l'arrière de l'ïle des échassiers, plus précisément entre le lac central du parc et l'enclos des ibis sacrés (Threskiornis aethiopicus), le visiteur peut gravir la seconde nouveauté 2017, à savoir une haute tour permettant d'avoir une vu lointaine sur le parc et ses environs. |
![]() Volière des vautours - juillet 2008 |
![]() Volière des vautours - juillet 2008 |
![]() Volière pour rapaces nocturnes - juillet 2008 |
![]() Vautour moine - juillet 2008 |
![]() Milan - septembre 2009 |
![]() Circaète - septembre 2009 |
Mise
à jour suite à ma visite de septembre 2015 Première nouveauté de l’année 2015, dans le prolongement du champ des cigognes, le parc a érigé une double volière, installée dans un environnement rocailleux rappelant la mon- tagne. Cet aspect se retrouve dans la conception des volières faites de gros rondins de bois et de murs de pierres. A l’intérieur de ces infra- structures, le parc a recréé une montagne de cailloux. |
Complexe des gypaètes - septembre 2015 |
Enclos des flamants nains - septembre 2015 |
La première volière accueille des aigles royaux (Aquila chrysaetos) alors que la seconde est le lieu de vie de gypaètes barbus (Gypaetus barbatus). Au niveau de la plaine des autruches, une se- ction composée d’une plage en herbe et d’un bras d’eau a été délimitée pour y installer un petit groupe de flamants nains (Phoenicopterus minor) et des pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus). |
Complexe des gypaètes - septembre 2015 |
Exemple de volière pour grands rapaces - septembre 2015 |
Mise
à
jour suite à ma visite d'aout 2012 : - Terres de calaos : inaugurée en 2010, cette zone est con- sacrée aux calaos, groupe d'oiseaux au gros becs. A cette occasion, 5 espèces africaines et 5 espèces asiatiques ont été accueillies au parc. Le premier enclos que le visiteur découvre dans cette partie est un enclos en sable, agrémenté de fausses fourmilières de couleur rouge ocre et de huttes africaines. Des calaos terrestres de Leadbeater (Bucorvus leadbeateri) y évo- luent. En face des calaos terrestres se trouvent deux petites volières octogonales, garnies de branches. La première héberge des calaos à bec noir (Tockus nasutus) tandis que la seconde est occupée par des calaos de Van der Decken (Tockus deckeni). |
![]() Enclos des calaos terrestres - aout 2012 |
![]() Volière des calaos à joues argentées - aout 2012 |
Le visiteur traverse alors un
petit pont avant de découvrir les deux dernières volières africaines, représentant les zones humides. Chaque volière est agrémentée de joncs, de hautes graminées et de rochers. Des calaos trompettes (Bycanistes bucinator) vivent dans la première, alors que des calaos à joues argentées (Bycanistes brevis) évo- luent dans la seconde. La suite de la visite nous conduit vers la partie asiatique, dont l'entrée est marquée par un porche de bambous. L'ensemble des volières de cette zone, disposent d'un sol en écorces, sont agrémentées de branches et de massifs végétaux. Les calaos papous (Rhyticeros plicatus) occupent la première volière. |
La volière qui suit est le lieu de vie de calaos bicornes (Buceros bicornis). Un couple de calaos rhinocéros de Java (Buceros rhinoceros sylvestris) se partagent la troisième et la quatrième volière de la partie asiatique. Enfin, les deux dernières installations sont consacrées respectivement à des calaos festonnés (Aceros undulatus) et à des calaos charbonniers (Anthraceros malayanus). |
![]() Volière des calaos papous - aout 2012 |
![]() Volière typique pour calao asiatique - aout 2012 |
![]() Volière typique pour petits calaos - aout 2012 |
![]() Plan du jardin des oiseaux - juillet 2008 |
![]() Champs des cigognes - juillet 2008 |
![]() Lac des pélicans - juillet 2008 |
![]() Plaine des autruches - juillet 2008 |
Mise à jour suite à ma visite de juin 2017 : Les volières des calaos africains, l'enclos des flamants nains, le jardin des oiseaux ont été démolis pour laisser place aux travaux du futur espace africains où les oiseaux évoluenront aux cotés de quelques mammifères dont les lémuriens. |
Zone africaine en travaux - juin 2017 |
![]() Volière des calaos papous - juillet 2008 |
![]() Calao papou - juillet 2008 |
![]() Volière Krabi - juillet 2008 |
![]() Mini ferme - juillet 2008 |
![]() Calao papou - septembre 2009 |
![]() Garrulax ocellé - septembre 2009 |
![]() Héron bihoreau - septembre 2009 |
![]() Grande aigrette - septembre 2009 |
Mise
à
jour suite à ma visite d'aout 2014 La volière de Krabi a été entièrement rénovée et refondue, seule la structure métallique a été conservée. Le visiteur emprunte un sentier entouré de forêts de bambous et bordé de nombreux panneaux pédagogiques traitant des menaces pesant sur la planète. Au bout de l’allée, se trouve une loge fermée, visible à travers une grande vitre doublée d’un grillage. Cette loge au sol en terre est densément plantée et agrémentée de multiples lianes et autres racines. Elle héberge les seuls coqs de roche du Pérou (Rupicola peruvianus) visibles en France. Ces animaux sont arrivés au début de l’année 2014 du Dallas World Aquarium. |
Loge des coqs de roche - aout 2014 |
Loge des roussettes - aout 2014 |
Les coqs de roche disposent, en
accès libre, d’une seconde volière non visible du public. Après un virage à angle droit, le visiteur se découvre une vaste volière extérieure, creusée d’un bassin, agrémentée de fou- gères, bambous et troncs d’arbre. Cette dernière présente une cohabitation entre des gouras de Sheepmaker (Goura sheepmakeri), des perdrix roulrouls (Rollulus roulroul), des tinamous élégants (Eudromia elegans), des touracos de Lady Ross (Musophaga rossii) et des étourneaux à cou noir (Sturnus nigricollis). Au bout de cette allée, nous entrons dans une volière de contact dénudée de verdure mais traversée par des branches suspendues. Cette installation accueille des po- darges (Podargus strigoides). Sur la gauche de la volière se trouve une loge intérieure décorée d’un sol en écorces et de branches. Cet enclos accueille une colonie de roussettes de Malaisie (Pteropus vampyrus) et des roussettes de Lyle (Pteropus lylei). |
Initialement les roussettes
devait avoir accès la
volière extérieure des podargues, mais les projets ont dû être revus. Le visiteur entre alors à proprement parler dans l’ancienne volière de Krabi refondue en une jungle tropicale. Sur la droite du sas d’entrée se trouve une loge vitrée, bien végétalisée, plantée de fougères et tissée de branches. Un couple de souimangas à ventre jaune (Cinnyris venustus) y a été installé. Une cascade se jette dans un bassin alimentant un cours d’eau qui traverse la volière. Les bambous, rochers, fou- gères et palmiers disséminés dans la volière offrent une véritable ambiance tropicale. Cette volière de contact est le lieu de vie de pénélope à gorge bleue (Pipile cumanensis), d’ombrettes africaines (Scopus umbretta), de tantales africains (Mycteria ibis), de spatules blan- ches européennes (Platalea leucorodia), ... |
Loge des souimangas - aout 2014 |
Ambiance dans la jungle tropicale - aout 2014 |
..., d’échasses blanches (Himantopus himantopus), d’ibis blancs (Eudocimus albus), d’ibis à face noire (Theristicus melanopis) de gouras de Sheepmaker (Goura sheepmakeri), de carpophages meuniers (Ducula pistrinaria), une espèce qui n’est visible en parcs qu’au parc des oiseaux, de sarcelles hottentotes (Anas hottentota), de dendrocygnes de Java (Dendrocygna javanica), de pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica) et de calaos à casque rouge (Aceros corrugatus). Le visiteur ressort alors au niveau de l’ancienne mini ferme qui a fait place à une aire de jeux. |
Ambiance dans la jungle tropicale - aout 2014 |
Ambiance dans la jungle tropicale - aout 2014 |
Ambiance dans la jungle tropicale - aout 2014 |
Volière des perdrix roulrouls - aout 2014 |
Mise à jour suite à ma visite de juin 2017 Les souimangas ne sont plus visibles et leur loge présente aujourd'hui des paradisiers royaux (Cicinnurus regius), les seuls représentants de leur espèce en France. |
Paradisier royal - juin 2017 |
Mise
à jour suite à ma visite de septembre 2015 L’autre nouveauté de l’année 2015 a été construite à l’arrière de la volière de Krabi et du restaurant, en lieu et place de la mini ferme. Cet espace se compose d’un seul bâtiment à la toiture végétale, consacré aux nectarivores et petits frugivores et s’intitule « la Maison des Colibris ». Une fois entré dans cette maison, le visiteur se trouve dans un couloir relativement sombre, lon- geant une série de 5 terrariums de petite taille, plantés de nombreuses fleurs tropicales, fougères et autres orchidées. |
Maison des colibris - septembre 2015 |
Vivariums des colibris - septembte 2015 |
Chaque vivarium
accueille un colibri, oiseaux très territoriaux et agressifs. C’est ainsi que les 2 premières loges sont consacrées respectivement à un mâle et une femelle colibri falle vert (Eulampis holosericeus). La troisième loge héberge une amazilie de Lesson (Amazilia amazilia), tandis que les deux dernières vitres sont aussi consacrées aux colibris falle vert. Le visiteur entre alors dans la seconde salle de cette maison. Cette pièce se divise en un couloir de visite plongé dans la pénombre et en un grand espace au sol en terre, bien végétalisé doté d’une cascade, installée sous un puit de lumière. |
Cette zone est
consacrée aux
nectarivores repré- sentés par des espèces très peu courantes en cap- tivité telle le manakin lancéolé (Chiroxiphia lanceolata), le guit guit saï (Cyanerpes cyaneus), le calliste à calotte noire ou calliste de l’Heinei (Tangara heinei) et le piranga bifascié (Piranga leucoptera). Le visiteur ressort alors de la salle des nectarivores pour gagner la dernière pièce de ce complexe où sont proposés plusieurs ateliers pédagogiques. C’est ainsi que se termine la découverte de la grande nouveauté 2015 du parc des oiseaux. |
Salle des nectarivores - septembre 2015 |
Vivarium typique pour colibri - septembre 2015 |
Calliste de l'Heinei - septembre 2015 |
Colibri falle vert - septembre 2015 |
Guit guit sai - septembre 2015 |
Piranga bifascié - septembre 2015 |
Manakin lancéolé - septembre 2015 |
Une première
volière de contact est le lieu de présentation de loris arc en ciel (Trichoglossus haemotodus haemotodus), de grands eclectus (Euclectus roratus polychlores), d'oedi- cnèmes bridés (Burhinus grallarius), de paddas (Padda oryzivora) et de faisans de Salvatori (Lophura inornata). Le visiteur ressort de la volière pour entrer à proprement parler dans la cité des perroquets. L'ensemble des volières dispose d'un sol en sable et est planté d'arbustes conifères ou feuillus plus ou moins nombreux en fonction des besoins des espèces présentées. Une première volière est le lieu de cohabitation de caïques à tête noire (Pionites melanocephala) et d'amazones de Finsch (Amazona finschi finschi). Une autre volière héberge une cohabitation entre des gar- rulax à joues blanches (Garrulax chinensis chinensis), des perruches à front doré (Aratinga aurea) et des amazones lilacines (Amazona automnalis lilacina). La suite de la visite nous amène vers une volière occupée par une importante colonie de perruches souris (Myiopsitta monachus). |
![]() Volière pour psittaciformes - juillet 2008 |
![]() Perruches à tête bleue - septembre 2009 |
Le sentier de visite passe alors
sous des tunnels grillagés qui font communiquer la maison intérieure et la volière extérieure des per- ruches ondulées (Melopsittacus undulatus). Le visiteur arrive alors dans une nouvelle zone où il découvre sur sa gauche, la volière des perruches à collier (Psittacula krameri), des perroquets jardines (Poicephalus guliemli) et des touracos paulines (Tauraco erythrolophus). A coté des perruches, on trouve une volière lieu de vie de loris à poitri- ne rouge (Lorius lory erythrothorax). A coté, on découvre deux volières cote à cote, lieu de vie respectives de cacatoès rosalbins (Eolophus roseicapillus) et de cacotoès nasi- ques (Cacatua tenuirostris). En face des perruches, deux autres volières accueillent des martins chasseurs géants (Dacelo novaeguinae) et des corbeaux fluteurs (Gymnorhina tibicen) qui cohabitent avec des vanneaux couronnés (Vanellus coronatus). |
A l'arrière de ces deux
volières, une autre structure dégarnies est le lieu de vie d'un groupe destructeur de kéas (Nestor notabilis). Enfin, sur cette place, on trouve également différentes volières. Une petite installation est le lieu de vie d'aras à collier d'or (Propyrrhura auricollis). La volière mitoyenne est de grande taille et abrite une cohabitation entre des aras militaires (Ara militaris mexicanus) et des grands hoccos (Crax rubra). A ce niveau on peut également observer une autre cohabitation entre des aras hyacynthes (Anodorhynchus hyacinthinus) et des perruches à tête bleue (Aratinga acuticaudata). Une nouvelle volière de grande taille accueillent des rolliers à ventre bleus (Coracias cyanogaster) et des perroquets robustes (Poicephalus robustus). Le touraco gris (Crinifer piscator) qui était présenté à cet endroit a quitté la volière. Enfin, une dernière volière accueille des aras macaos (Ara macao), des agamis trompette (Psophia crepitans), des aras nobles (Diopsittaca nobilis), des garrulax à plastron (Garrulax pectoralis) et des étourneaux à cou noir (Sturnus nigricollis). |
![]() Ara à collier d'or |
![]() Grand vasa - septembre 2009 |
Sur la place précédente, une maison dans les arbres était jusqu'en 2007, le lieu de présentation d'un couple de aras en liberté. Adossées aux volières des aras, deux dernières volières de contact sont le lieu de vie d'inséprables de Fischer (Agapornis fischeri), de colombes zébrées (Geopelia striata) et de sarcelles hottentotes (Anas hottentota) pour la première et de martins à caroncule (Creatophora cinerea), de merles métalliques pourpres (Lamprotornis purpureus), de youyous du Sénégal (Poicephalus senegalus), de vanneaux armés (Vannelus armatus) et d'un grand vasa (Coracopsis vasa) arrivé en 2009. Le visiteur quitte alors la cité des perroquets et regagne la sortie du parc en passant devant le restaurant, le lac des flamants et la bou- tique du zoo. |
![]() Amazones de Finch - septembre 2009 |
![]() Garrulax à joues blanches - septembre 2009 |
![]() Perruches ondulées - juillet 2008 |
![]() Entrée sortie du parc des oiseaux - juillet 2008 |
Mise à jour suite à ma visite d'aout 2012 : Les aras militaires qui cohabitaient avec les grands hoccos ne sont plus présentés à ce niveau et ont été remplacés par un groupe de 6 aras à gorge bleue (Ara glaucogularis). Un couple de coq de Lafayette (Gallus lafayetti) est également visible dans la citée des perroquets. |
![]() Volière des aras à gorge bleue - aout 2012 |
Mise à jour suite à ma visite d'aout 2012 : - le Loris Loft : a l'extrémité de la cité des perroquets, une volière de grande taille a été érigée. Cette dernière est le lieu de vie de plusieurs centaines de loris arc en ciel (Trichoglossus haematodus) et de quelques van- neaux soldats (Vanellus miles). Le visiteur est invité à penetrer dans cette volière au con- tact des oiseaux. Un premier sentier permet d'observer les animaux, le second, offre aux visiteurs le plaisir de nourrir les loris après avoir acquis des gobelets de nectar. |
![]() Volière des loris - aout 2012 |
![]() Volière des loris - aout 2012 |
![]() Volière des loris - aout 2012 |
![]() Lori loft - aout 2012 |
![]() Entrée du Lori loft - aout 2012se |
En conclusion, le parc des oiseaux est le plus grand parc ornithologique français. Au fil des années, il a acquis de nombreuses connaissances sur l'élevage des oiseaux et leur maintien en captivité. Aujourd'hui, le parc des oiseaux est reconnu au niveau européen pour la qualité de ses inst- allations, mais aussi pour les nombreux succès d'élevage enregistrés notamment pour des espèces peu courantes en captivité. De nomb- reuses rénovations ont eu lieu ces dernières années et se poursuivent aujourd'hui. |
![]() Flamant de Cuba - septembre 2009 |
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