Zoo Lisboa Praça Marechal Humberto Delgado 1549-004 Lisboa Portugal Tel : + 351 217 232 900 Fax : + 351 217 232 921 www.zoo.pt |
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![]() Plan du zoo |
Mes visites : 13 et 14 mars 2017 Mise en ligne : 15 octobre 2017 |
![]() Vue aérienne du zoo |
Horaires d'été : De fin mars à fin septembre : 10h00 à 20h00 (Dernière admisssion 1h15 avant la fermeture) Horaires d'hiver : De fin septembre à fin mars : 10h00 à 18h00 (Dernière admission 45 minutes avant la fermeture du parc) |
Lynx ibérique - mars 2017 |
Perroquet robuste - mars 2017 |
Ticket individuel Adulte : 20,50 € Enfant (3 à 12 ans) : 14,50 € Senior (+ 65 ans) : 16,00 € Tarif groupe (à partir de 15 personnes) : 18,00 € |
Le zoo de Lisbonne est situé dans le nord de la capital Portugaise, et con- stitue le plus ancien et le plus grand parc zoologique du pays. Créé en 1884, il s’étend sur une sur- face de l’ordre de cueille environ 2 000 animaux appar- tenant à 380 espèces. |
Entrée du parc zoologique de Lisbonne - mars 2017 |
Pergola du zoo de Lisbonne - mars 2017 |
De nombreuses espèces animales, no- tamment au niveau des ongulés, témoi- gnent encore du passé colonialiste de ce pays et proviennent d’Angola. En sortant de la bouche de métro, le visiteur fait face à l’entrée historique du parc, surmontée de deux aigles en pierre. Après avoir franchi cette première porte, le visiteur entre dans la partie gratuite du parc où l’on trouvera de nombreux points de restauration aux cotés desquels tournent quelques manèges. |
Sur la droite de l’allée de visite, on peut observer une première île, sur laquelle poussent 3 hauts palmiers dont les troncs sont reliés entre eux par des cordages, le reste de l’île est planté d’herbe, d’ar- bustes et de structures d’escalade en bois. Cette île dont la configuration rappelle les navires, est le lieu de vie de saimiris à cas- que noir (Saimiri boliviensis). |
Ile des saimiris - mars 2017 |
Ambiance dans le jardin de Lisbonne - mars 2017 |
Nous allons alors nous diriger sur la gauche, pour tomber sur un grand bassin duquel jaillit une fontaine. Des bateaux permettent aux enfants de naviguer sur cette étendue d’eau artificielle et de s’approcher d’une île en sable, agrémentée de nombreuses stru- ctures d’escalade en bois et en cordes, for- mant également un navire, mais dénudée de toute végétation. |
Cette île est consacrée à un groupe de ca- pucins bruns (Cebus apela). Un pont sus- pendu permet de traverser l’étang, pour rejoindre un bâtiment – non accessible – au public qui semble être l’ancienne orangeraie du parc. |
Ile des capucins - mars 2017 |
Plus loin, nous passons sous un funiculaire qui permet de faire le tour du parc. Sur la gauche de l’allée, au milieu de parterres fleuris, se dressent deux anciennes volières circulaires s’élevant en colonnes. Ces der- nières au sol en sable, sont agrémentées de quelques branches. La première accueille un couple de spréos superbes (Lamprotornis superbus) tandis que la seconde est occupée par des ama- zones aourous (Amazona amazonica). |
Volière des spréos - mars 2017 |
Volière des loris - mars 2017 |
Sur la
droite de l’allée,
derrières les massifs colorés, se dresse une autre structure métal- lique, de forme ovale, relativement haute, agrémentée d’un sol en sable sur lequel pous- sent quelques plantes grasses, le tout étant creusé d’un bassin et agrémenté de troncs en bois. Cette volière recouverte d’un chapeau sur le dessus voit cohabiter des youyous du Sénégal (Poicephalus senegalus), un perroquet ro- buste (Poicephalus robustus), des conures de Patagonie (Cyanoliseus patagonius), des conures à tête bleue (Aratinga acuticaudata) et des loris écarlates (Eos bornea). |
Au bout de cette allée,
le visiteur
fait face au portail principal du zoo où il faudra s’ac- quitter du droit d’entrée. Une fois ces formalités accomplies, nous al- lons entrer dans le parc et nous diriger sur la gauche, en direction du premier complexe du zoo de Lisboa. Ce premier complexe se compose d’un vaste bassin principal doublé de 3 bassins moins volumineux, entourés d’un décor portuaire et de gradins et constitue le delphinarium du zoo. Ces bassins accueillent une famille de dauphins souffleurs (Tursiops tunctatus). |
Lagune des dauphins - mars 2017 |
Plaine des zèbres - mars 2017 |
Un spectacle y est proposé plusieurs fois par jour et met à l’honneur ces mammifères marins. A l’arrière de ce complexe se dresse deux autres bassins, au calme, formant la nursery des dauphins. Le visiteur quitte alors l’espace aquatique, pour revenir vers le point de con- trôle des billets à l’arrière duquel se dresse un enclos relativement long, planté de quelques acacias. Ce plateau voit cohabiter des zèbres de Grévy (Equus grevyi) et des cobes de Lechwe (Kobus lecwhe). |
Enclos secondaire des dauphins - mars 2017 |
Allée des tigres - mars 2017 |
Face aux zèbres se dresse
une petite
place au niveau de laquelle nous allons bifurquer sur le gauche. Là, une imposante structure bétonnée surmontée d’une tête de tigre, nous invite à en- trer dans un couloir. Cet édifice minéral est entouré de 2 enclos situés de part et d’autre de cette maison. Chaque enclos dispose d’un sol en herbe, est bien planté et agrémenté de structures en béton, en bois et autres jouets. L'enclos de droite est planté de multiples palmiers et massifs de bambous, il hé- berge des tigres de Sumatra (Panthera tigris sumatranus). Celui de gauche est agrémenté de feuillus et de sapins et présente des tigres de Sibérie (Panthera tigris altaica). Le couloir de visite marque la séparation entre les deux enclos et est le lieu d’une exposition péda- gogique sur ces félins. |
Enclos des tigres de Sumatra - mars 2017 |
Enclos des wallabies - mars 2017 |
Nous
quittons alors l’abri des
tigres pour arriver sur une grande place au centre de laquelle se dressent plusieurs volières composant la zone des psittacidés. Nous reviendrons vers cet es- pace plus tard dans la visite et allons dans un premier temps, nous diriger sur la gauche pour rejoindre le complexe australien du zoo. Là, on découvre un premier enclos en terre et en sable, ombragé par de nombreux eucalyptus et plantés de quelques yuccas et autres arums. Le décor est complété par des souches en bois et des rochers. Cet espace est le lieu de vie d’un petit groupe de wallabies de Bennett (Macropus rufogriseus). |
Jouxtant l’installation des marsupiaux, on dé- couvre un bâtiment circulaire divisé en deux loges intérieures visibles à travers des baies vitrées. Ces loges bénéficient d’un sol en béton, sont plantées de structures d’escalade en bois et garnies de branches d’eucalyptus. Une famille de koalas (Phascolarctos cinereus) évolue à ce niveau. |
Loge des koalas - mars 2017 |
Il est à noter que ces animaux disposent aussi d’un espace extérieur, au sol en herbe, den- sément planté et bien ombragé. Nous allons alors revenir légèrement sur nos pas et em- prunter un petit sentier situé entre l’enclos des tigres de Sibérie (Panthera tigris altaica) et l’installation des wallabies. Là, sur la droite de l’allée, on peut observer un plateau en sable, doublé d’une zone recouverte d’écorces, occupé par des femelles bongos (Tragelaphus isacci) et leurs derniers jeunes. |
Enclos des bongos - mars 2017 |
Volière des colombidés - mars 2017 |
A l’extrémité de ce sentier, une porte nous invite à entrer dans une volière de contact, creusée d’un bassin, plantée de plusieurs arbustes. Des pigeons de Nicobar (Caloenas nicobarica) y cohabitent avec des gouras de Victoria (Goura victoria), des carpophages bicolores (Ducula bicolor), des colombes lophotes (Ocyphaps lophotes), des canards mandarins (Aix galericulata) et des canards de Meller (Anas melleri). |
Nous quittons alors la volière des colombi- formes et retrouvons la sortie du Delphinarium devant laquelle nous allons continuer notre découverte sur la droite. Là, l’allée longe les deux enclos des bongos. Ce second enclos dispose de point enherbés, de zones en terre et de nombreux jeunes arbres. Avant d’emprunter l’allée longeant cet espace, nous allons nous diriger face à nous, vers « Quintinha do Zoo », la mini ferme du parc. |
Entrée de la mini ferme - mars 2017 |
Bassin des oies - mars 2017 |
La découverte de cette zone dédiée aux enfants débute par la traversée d’un potager où pous- sent divers types de légumes. Suite au potager on découvre un bassin bleu entouré de plages en béton, consacrés à des oies de Guinée blanches (Anser domesticus). Plus loin sur la droite, un petit enclos entouré de rondins de bois, garni de pavés formant des terrasses ensablées, est le lieu de présen- tation de cobayes domestiques (Cavia aparea domesticus). |
La découverte de la ferme est complétée par un grand enclos de contact en herbe et en ter- re agrémenté de rochers, occupé par un trou- peau de chèvres naines (Capra hircus domesticus). Nous revenons alors vers l’allée principale de sorte à observer une volière re- lativement volumineuse, au sol en herbe, en légère pente, plantée de palmiers et autres yuccas. |
Enclos des chèvres naines - mars 2017 |
Cette volière voit
évoluer
des loriquets arc en ciel (Trichoglossus haematodus), des loris écarlates (Eos bornea), des cacatoès à huppe jaune (Cacatua sulphurea) et des perruches à collier (Psittacula krameri). De retour sur la route centrale, le visiteur longe sur la droite, le second enclos des bongos tan- dis que sur la gauche, se trouve l’entrée des télécabines. Là, le sentier débouche sur une petite place bordant un enclos en sable, creusé d’un bassin faisant également office de sépa- ration entre les visiteurs et les animaux. |
Volière des perruches - mare 2017 |
Enclos des rhinocéros indiens - mars 2017 |
Au fond de cet enclos en herbe
et en sable, se dresse un imposant bâtiment d’architecture in- dienne. L’enclos en lui-même dispose de quel- ques objets d’enrichissement et est planté d’eucalyptus. Deux rhinocéros indiens (Rhinoceros unicornis) se partagent cet es- pace. Au niveau de cet enclos, nous allons nous diriger sur la gauche, pour longer, sur la gauche de l’al- lée, une succession de 3 enclos en sable, situés légèrement en contre bas du sentier de visite. Ces enclos sont tous plantés de quelques arbres et accueillent divers herbivores. |
Dans l’ordre de visite on pourra ainsi admirer un groupe de isons d’Amérique (Bison bison), un troupeau de buffles d’Afrique (Syncercus caffer) pour terminer par des chameaux (Camelus bactrianus). |
Enclos typique pour herbivores - mars 2017 |
Face aux bisons, on peut encore admirer un en- clos bien ombragé, au sol en sable, creusé d’un bassin permettant aux alligators du Mississippi (Alligator mississippiensis) d’accéder à l’air libre. Au bout de cette série d’enclos se dresse un grand bâtiment, le Reptilarium du parc, au sein duquel se poursuit la découverte du zoo de Lisbonne. Ce bâtiment se divise en trois gran- des salles. |
Enclos des alligatores - mars 2017 |
Aquarium des axolotls - mars 2017 |
La première est consacrée à divers aquariums présentant entre autre des axolotls (Ambystoma mexicanum), des piranhas (Pygocentrus nattereri) et des poissons aveugles (Astyanax mexicanus). La seconde salle se compose d’un vaste bassin traversé par un ponton en bois, le tout entouré de plages en terre fortement plantées formant un morceau de forêt tropicale. Cet espace con- stitue la zone intérieure des alligatores du Mississippi. |
Enfin, la
dernière salle est
parcourue par le sen- tier de visite et héberge divers vivariums ac- cueillant tortues, lézards, varans et autres ser- pents. En quittant le vivarium, le visiteur peut encore observer, sur sa gauche, un ensemble de deux enclos en herbe, creusés d’un bassin et plantés de bambous, formant l’espace extérieur de varans de Komodo (Varanus komodoensis). |
Enclos des varans de Komodo - mars 2017 |
Enclos des iguanes - mars 2017 |
Sur la droite s’étendent deux enclos en herbe, consacrés à des tortues léopards (Geochelone pardalis), puis des iguanes rhi- nocéros (Cyclura cornuta). L’allée repasse alors devant les bovidés pour revenir au niveau de l’enclos des rhinocéros que nous allons contourner. |
Enclos intérieur des alligatores - mars 2017 |
Bassin des tortues - mars 2017 |
Exemple de vivariums - mars 2017 |
Exemple de vivariums - mars 2017 |
Nous arrivons alors au niveau
d’une patte d’oie à l’intersection de laquelle se dresse un des bâtiments historiques du zoo qui a été conservé mais qui n’est plus utilisé. Là, nous pouvons continuer tout droit sur l’allée principale pour découvrir l’espace africain du zoo de Lisbonne ou bifurquer sur la droite, en direction de la zone au- stralienne. Nous allons opter pour ce second choix de sorte à passer devant les koalas et tomber sur la place des psitta- cidés. Avant d’arriver sur cette place, in- tégrées à la végétation environnante se dresse deux volières octogonales au sol en sable, agrémentées de quelques bran- ches. |
Bâtiment historique du zoo - mars 2017 |
Volières des mandarins - mars 2017 |
La première de ces
volières est le
lieu de vie de diamants mandarins (Taenyopygia punctata) tandis que la seconde héberge des euplectes afer (Euplectes afer). Nous arrivons alors sur la place des oiseaux. Là, au centre de cette dernière, se dresse deux rotondes relativement hautes. La première rotonde est divisée en 3 volières extérieures entourant un bâtiment non visible du public. La volière la plus à droite, regroupe deux quarts de cercle, dispose d’un sol recouvert d’écorces et est plantée de nombreux troncs morts desquels rayonnent des branches faisant office de perchoirs. Des amazones à front bleu (Amazona aestiva) y évoluent aux côtés d’aras maracanas (Primolius maracana) et d’aras araraunas (Ara ararauna). |
Le
troisième ¼ de cercle est identique au
précé- dent en termes d’aménagements et accueille des aras chloroptères (Ara chloroptera). Enfin, la dernière volière de ce premier édifice bénéficie d’un sol en terre et est plantée de nombreux grands arbres. Des perdrix roulrouls (Rollulus roulroul) y cohabitent avec des araçaris verts (Pteroglossus viridis). Nous nous dirigeons alors vers la seconde roton- de divisée pour sa part en 4 sections identiques à la volière des aras chloroptères. Ce complexe présente à raison d’une espèce par volière : ara noble (Ara nobilis) ; cacatoès d’Eléonore (Cacatua sulphurea eleonora) ; gris du Gabon (Psittacus erithacus) en cohabitation avec des gris du Timneh (Psittacus timneh). |
Volière pour psittacidés - mars 2017 |
Enclos des tamarins - mars 2017 |
La dernière section était vide lors de ma visite. Nous allons alors nous diriger sur la gauche de cette place où une série de volières extérieures devancent un bâtiment blanc pur. Avant de lon- ger toutes ces volières, le visiteur découvre une première loge extérieure percée de vitres. Cette loge légèrement surélevée par rapport au niveau du sol. Cette volière est bien plantée et agré- mentée de quelques racines sèches. Une famille de tamarins bicolores (Saguinus bicolor) y vit. |
Nous attaquons la découverte des volières à per- roquets. Toutes ces volières sont bâties selon le même principe à savoir un sol en écorces, des branches de bois et des cordes. Une impression- nante collection de becs crochus est visible à ce niveau, psittacidés pour l’essentiel sud-américain. Afin d’éviter une description trop redondante, nous allons simplement énumérer la collection. La première volière héberge ainsi une espèce très peu courante en Europe, le caïque à queue courte (Graydidascalus brachyurus). |
Allée des volières - mars 2017 |
Volière pour becs crochus - mars 2017 |
On trouvera ensuite : amazone à joues vertes (Amazona viridigenalis) ; cacatoès laboureur (Cacatua tenuirostris) ; amazone vineuse (Amazona vinacea) ; caique à ventre blanc à pattes vertes (Pionites leucogaster leucogaster) ; conure à gros bec (Rhynchopsitta pachyrhyncha) ; perroquet maillé (Deroptyus accipitrinus) ; grand eclectus (Eclectus roratus polychloros) ; amazone à sourcils orange (Amazona rhodocorytha) ; vasa noir (Coracopsis nigra) ; cactoès de Goffin (Cacatua goffini) ; amazone à lores rouges (Amazona autumnalis autumnalis) ; amazone lilacine (Amazona autumnalis lilacina). |
L’allée des
volières est alors interrompue par
un chemin tournant sur la gauche. Nous allons pour notre part continuer la découverte des volières face à nous. Là, On peut encore observer un en- semble de 5 volières mitoyennes, aux barreaux robustes, disposant de perchoirs en bois et en cordes. Ce complexe est consacré plus spécifi- quement aux grands aras. La première présente des aras militaires (Ara militaris) ; des aras macaos (Ara macao) ; des aras chloroptères (Ara chloroptera) en compa- gnie d’aras araraunas (Ara ararauna) ; des aras hyacinthes (Anodorhynchus hyacynthinus) pour finir par des aras de Lafresnaye (Ara rubrogenys). |
Exemples de volières - mars 2017 |
Allée des calaos - mars 2017 |
Nous allons emprunter l’allée montante qui sé- parait le complexe des amazones de celui des aras. Cette allée en pente douce longe, sur la droite une autre série de volières, toutes inté- grées à un ancien bâtiment vouté en façade. Ces volières sont relativement hautes et pro- fondes, densément plantées et agrémentées de perchoirs en bois. |
Elles hébergent des calaos et des hoccos. On pourra ainsi y admirer des hoccos à face nue (Crax fasciolata) ; des calaos papous (Aceros pileatus) ; des grues royales (Grus regulorum) ; des pintades vulturines (Acryllium vulturinum) ; des calaos ondulés (Aceros undulatus) ; des hoccos à pierre (Pauxi pauxi) puis des hoccos de Daubenton (Crax daubentoni). |
Volière des calaos - mars 2017 |
Sur
la gauche de cette allée, derrière un mur, on retrouve le complexe des antilopes. Le premier enclos de ce complexe dispose d’un sol en sable et est planté d’acacias. Cet enclos désertique est le lieu de vie d’un groupe d’oryx algazelles (Oryx dammah). A l’extrémité de l’allée, devançant le mur d’en- ceinte des antilopes, on peut encore observer 2 volières octogonales érigées autour d’un arbre central. La première volière accueille des paddas de Java (Oryzivora padda) tandis que la se- conde présente des colombes diamants (Geopelia cuneata). |
Oryx algazelles - mars 2017 |
Bassin des otaries - mars 2017 |
Sur la droite, face aux deux
volières, se trouve un grand bassin offrant une vision sous-marine et s’ouvrant sur des plages bétonnées. Cette in- stallation où un spectacle est proposé plusieurs fois par jour, est consacrée à des otaries de Californie (Zalophus californianus) et des pho- ques veaux marins (Phoca vitullina). A ce niveau, nous tombons sur un carrefour au niveau duquel nous allons bifurquer sur la gauche de sorte à longer la plaine des oryx et sur la droite de l’allée, un enclos délimité par des barrières vitrées, représentant un espace forestier planté de bambous et creusé d’un bas- sin. Cette installation héberge des fourmiliers géants (Myrmecophaga tetradactyla). |
En continuant sur cette allée, nous pouvons ob- server le second enclos des antilopes, égale- ment en sable, consacré à des impalas à face noire (Aepyceros petersi). Face à ces antilopes se dresse un long enclos au sol en herbe, ombragé là encore par de grands arbres, le tout étant parcouru par un ensemble de planches de bois. Cet espace est le lieu d’une cohabitation entre des munt- jacs de Chine (Muntiacus reevesi) et des petits pandas (Ailurus fulgens). |
Enclos des muntjacs - mars 2017 |
Enclos des oryx gemsboks - mars 2017 |
Sur la gauche, mitoyen au
plateau des impalas, on peut observer le dernier enclos des antilopes, qui est également le plus grand. Egalement en sable et planté d’acacias, cet en- clos est occupé par des oryx gemsboks (Oryx gemsbok). Le visiteur arrive alors au niveau d’un carrefour avec sur la gauche de ce dernier, le bâtiment des rhinocéros indiens que nous avions vu précédemment. A l’arrière de ce dernier, on peut admirer un second enclos en sable, herbe, creusé d’une marre de boue. Cette structure forme le se- cond enclos des rhinocéros indiens (Rhinoceros unicornis). Lors de ma visite, le zoo hébergeait ainsi 2 couples de ces mastodontes. |
A
l’extrémité de ce plateau,
l’allée bifurque sur la gauche, pour former un cul de sac. Au fond de cette ruelle, on découvrir un enclos relati- vement grand, recouvert d’une épaisse couche de sable, planté de palmiers, yuccas, souches en bois et termitières. Cet enclos relativement récent est le lieu de vie d’une colonie de suricates (Suricatta suricata). Face à ces mustélidés, un petit enclos triangu- laire en herbe accueille des tortues margées (Testudo marginata), des tortues grecques (Testudo graeca) et des tortues charbonnières à pattes rouges (Geochelone carbonaria). |
Enclos des suricates - mars 2017 |
Plateau des girafes - mars 2017 |
Nous reprenons alors la visite
normale du zoo sur l’allée centrale pour découvrir, face aux rhinocéros un large plateau en sable, ombragé par quelques arbres. Ce plateau est le lieu de vie d’un grand groupe de girafes d’Angola (Giraffa camelopardalis angolensis), une sous espèce qui tend à se raréfier en Europe. Nous allons continuer de longer le plateau des girafes avant d’arriver devant un bassin cir- culaire, entouré de plages en sable. Cet es- pace a été divisé en 2 enclos délimités par des barres de bois et sont consacrés à des hippo- potames nains (Hexaprotodon liberiensis). |
Enclos des hippopotames nains - mars 2017 |
Plateau des girafes - mars 2017 |
Entourant cet
enclos, on pourra admirer six volières à l’architecture moderne. Toutes ces volières disposent d’un sol en herbe, sont plantées d’arbustes et de buissons et traver- sées par de multiples cordes et autres agrès en bois. Elles accueillent, dans l’ordre de visite et à raison d’une espèce par volière, des makis cattas (Lemur catta), des varis noirs et blancs (Varecia variegata), des lémurs macacos (Eulemur macaco), des varis roux (Varecia rubra), des lémurs à front blanc (Eulemur albifrons) puis des ratons laveurs (Procyon lotor). |
Volière pour lémuriens - mars 2017 |
Lagune des flamants - mars 2017 |
La suite de la visite nous
amène
vers deux enclos de forme carrée. Le plus à droite est entouré d’un mur surmonté de grosses grilles. Il se compose d’une zone en terre et en sable et est creusé d’un bassin. La partie terrestre est également plantée de quelques jeunes arbres. Cet enclos est le lieu de vie d’hippopotames amphibies (Hippopotamus amphibius). Mitoyen aux hippopotames, se trouve une prairie au centre de laquelle on observe un point d’eau entouré de papyrus. Une colonie de flamants de Cuba (Phoenicopterus ruber). |
Enclos des hippopotames - mars 2017 |
Volière pour lémuriens - mars 2017 |
Là, nous allons nous diriger sur la gauche, de sorte à contourner la lagune des flamants rouges, pour nous diriger vers un complexe de deux enclos séparés l’un de l’autre par un bâtiment fermé au public, abritant les loges de nuit des animaux. Le premier enclos est éga- lement le plus vaste est formé d’une grande partie en sable au bout de laquelle coule une cascade se jetant dans un bassin. Cet espace accueille un troupeau de femelles éléphants d’Afrique (Loxodonta africana). |
Enclos principal des éléphants - mars 2017 |
Enclos secondaire des éléphants - mars 2017 |
Le second enclos, légèrement plus petit est en pente douce. Un bassin y a été adjoint en par- tie haute, contrastant avec le sable et l’herbe qui couvre le reste de la surface. Au bas de l’enclos, à proximité du point d’observation des visiteurs, plusieurs troncs ont été couchés. Ces derniers permettent de délimité une zone de retrait pour une colonie de suricates (Suricatta suricata) qui cohabitent avec le mâle éléphant d’Afrique (Loxodonta africana). |
Là, nous allons bifurquer à 180 degrés, afin de longer, sur la droite, l’enclos des flamants rouges, tandis que sur la gauche, l’espace des mastodontes laisse place à un enclos en sable et en pierre, séparé de l’allée de visite par un mur de verre doublé d’un profond fossé en eau. Ce plateau agrémenté de structures d’escalade en bois et de palmiers est le lieu de vie de plusieurs troupes de lions d’Angola (Panthera leo) qui sortent en alternance. |
Enclos des lions - mars 2017 |
Entrée du complexe des singes - mars 2017 |
Nous arrivons alors au niveau d’un carrefour. Face à nous se trouve l’entrée d’un nouveau complexe, celui des grands singes ; sur la droite, l’allée redescend vers l’enclos des hippopotames amphibies puis vers les volières des lémuriens. Nous allons pour notre part opter pour la troisième solution à savoir em- prunter l’allée de gauche de sorte à gravir une petite montagne. |
Cette allée longe, sur la droite, l’une des îles du complexe des grands singes. Ce premier espace se compose en fait de 2 îles en herbe, qui peuvent être reliée par un ponton amovible ou au contraire séparées. D’imposante stru- ctures d’escalade en bois et en cordes s’y dressent également offrant non seulement de l’ombre mais aussi diverses possibilités d’évo- lution à la famille d’orang-outans (Pongo pygmaeus) qui y cohabitent avec des gibbons à mains blanches (Hylobates lar). |
Ile des orangs outans et gibbons - mars 2017 |
Enclos des guépards - mars 2017 |
L’idée de deux îles séparées permet de repro- duire l’isolement naturel entre les mâles et les femelles et leur progéniture. Nous continuons alors notre découverte du parc de Lisbonne, pour atteindre une terrasse surplombant l’en- clos des lions d’Angola (Panthera leo) déjà observé précédemment. Sur la droite de l’allée se trouve une bifurcation qui nous permet de continuer l’ascension. |
Nous allons pour notre part rester sur l’allée principale, de sorte à longer deux enclos en herbe, relativement longs plantés de palmiers et autres bananiers et agrémentés de rochers et de troncs. Ces enclos sont séparés l’un de l’autre par une hutte en bois percée de baies vitrées s’ouvrant sur les enclos et sous laquelle sont proposés plusieurs panneaux pédagogi- ques sur les guépards (Acynonix jubatus) hôtes de ce complexe. |
Enclos des guépards - mars 2017 |
Au bout de l’allée, se dresse un bâtiment percé de vitres, abritant deux boxes intérieurs, doublé d’un grand enclos à l’herbe haute et planté de grands arbres, recréant ainsi une forêt. Cet espace est le lieu de vie d’okapis (Okapia johnstoni). Le visiteur revient alors sur ses pas jusqu’au niveau de la bifurcation que nous allons alors suivre. En gravissant cette montagne, nous al- lons découvrir la zone consacrée aux antilopes africaines. |
Enclos des okapis - mars 2017 |
Enclos typique des antilopes - mars 2017 |
Un premier enclos organisé en terrasses her- beuses ombragées par quelques faux acacias, est le lieu de vie d’un troupeau de sitatungas (Tragelaphus spekei). Face aux sitatungas, en contre bas du sentier de visite on peut observer un autre sentier en herbe, ombragé par quelques sapins et autres souches, enclos consacré au mâle guépard (Acynonix jubatus). |
L’allée de
visite contourne alors l’enclos des sitatungas, puis longe, sur la gauche, un plateau en herbe et en sable occupé par des hippotragues noirs (Hippotragus niger). A côté de ces animaux, vit un troupeau d’hippotragues roannes (Hippotragus equinus), qui dispose d’un enclos en herbe formé de 3 terrasses. Le sentier de visite est alors interrompu par une barrière de chantier. Au loin, on distingue un autre enclos rocailleux, où l’on devine des élands du Cap (Taurotragus oryx). |
Enclos typique des antilopes - mars 2017 |
Le visiteur rebrousse alors
chemin pour revenir jusqu’au niveau du carrefour des grands singes. Là, la visite se poursuit au cœur du « Templo Dos Primatas », un grand bâtiment recouvert de faux rochers représentant un temple recou- vert de racines. Après avoir parcouru le pont menant au bâtiment et longeant l’ile des orangs outans, le visiteur dé- bouche dans un couloir de part et d’autre duquel des vitres permettent d’observer les loges in- térieures des anthropoïdes. Ces loges sont bâties sur deux étages, tendues d’agrès en bois, métal et en cordes. Le point de vision se situe au 2ème étage, le visiteur dominant ainsi la loge des primates. |
Loge intérieure typique pour grands singes - mars 2017 |
Loge intérieure typique pour grands singes - mars 2017 |
Sur la droite, la première loge est consacrée aux chimpanzés (Pan troglodytes) du zoo. En continuant notre progression, une vitre s’ouvre sur l’île extérieure des chimpanzés. Cette île de grande taille, est entourée de hauts murs en faux rochers, doublés d’un large fossé en eau. Le sol en herbe voit pousser quelques arbres et autres structures d’escalade en bois. Sur la gauche du couloir, trois autres vitres permettent d’admirer les loges intérieures des orangs-outans (Pongo pygmaeus), installation identique à celle des chimpanzés en termes de conception. |
La visite continue pour
découvrir la
troisième loge du « Temple des singes », dont les plans reproduisent les loges observées précédem- ment. Une famille de gorilles (Gorilla gorilla) est hébergée à ce niveau. Nous quittons alors la maison des grands singes, pour bifurquer légèrement sur la droite et découvrir l’enclos extérieur des gorilles (Gorilla gorilla). Ce dernier en herbe, est entouré d’un fossé en eau. En légère pente, il est agrémenté de multiples structures d’escalade en bois com- plétée de cordes. |
Ile des gorilles - mars 2017 |
Ile des chimpanzés - mars 2017 |
A noter que les gorilles (Gorilla
gorilla) coha- bitent avec un groupe de colobes guérézas (Colobus guereza). Le long de l’auvent bordant l’enclos des gorilles plusieurs panneaux présentent l’historique du zoo de Lisbonne et des ménageries en général. Nous remontons alors l’allée vers l’entrée du palais des singes. Au niveau du carre- four nous allons laisser la zone des prima- tes sur notre gauche de sorte à continuer tout droit, et remonter une légère pente. |
Sur la droite de
l’allée, on découvre une première volière faite d’un épais filet à mailles métalliques. Cette première volière dispose d’un sol en herbe, est plantée en bordure et agrémen- tée de troncs d’entrelaçant pour former des structures d’escalade en hauteur. Des panthères de Perse (Panthera pardus saxicolor) y habitent. En continuant l’ascension, le visiteur découvre une seconde volière, plus forestière, plantée de massifs de bambous et disposant de plate- formes en hauteur. Cette volière est consacrée à des jaguars (Panthera onca). |
Enclos des panthères de Perse - mars 2017 |
Enclos des addax - mars 2017 |
Face aux jaguars, le visiteur dispose d’un autre point de vue sur les îles extérieures des orangs-outans (Pongo pygmaeus) déjà observée plus tôt dans la visite. Au sommet de la butte, le visiteur peut observer, sur la gauche, un enclos en sable, agrémenté de points herbeux et de quelques acacias. Un groupe d’addax (Addax nasomaculatus) com- plète l’impressionnante collection d’antilopes hébergée à Lisbonne. |
En haut des addax, on retrouve l’installation des élands du Cap (Taurotragus oryx). L’allée de visite bifurque alors sur la droite à 90°, pour longer deux volières installées au cœur d’un massif densément végétalisé. Les plantes sont si développées que l’ob- servation des animaux est difficile. Le premier agrémenté notamment de bana- niers et de structures d’escalade en bois est le lieu de vie d’ocelot (Leopardus pardalis). |
Enclos des ocelots - mars 2017 |
Enclos des lynx - mars 2017 |
Le second enclos, plus grand en
termes
de surface représente une forêt boréale et est agrémenté d’un bassin. Un couple de lynx (Lynx lynx) y a été installé. Après un second virage à angle droit, le vi- siteur longe l’installation des lynx avant de découvrir 2 enclos réaménagés récemment. Ces enclos sont plantés de nombreux bam- bous, de palmiers et autres bananiers et sont traversés de multiples structures en bois placées à différentes hauteur. Ces en- clos sont occupés par des panthères nébuleuses (Neofelis nebulosa). |
Suite aux panthères longibandes, le sentier de visite revient au niveau des panthères de Perse bouclant ainsi la découverte d’Encosta de felinos ». A noter que le téléphérique surplombe éga- lement cette zone et permet également d’observer un enclos dissimulé du sentier à pied. Cet enclos est le lieu de vie d’une meute de loups ibériques (Canis lupus signatus). |
Enclos des panthères nébuleuses - mars 2017 |
Au bas
de l’allée, nous allons tourner sur la gauche, pour longer une ancienne cage, de taille moyenne, agrémentée de plusieurs cordes et autres tuyaux de pompiers. Cette installation légèrement en retrait du sentier de visite, est le lieu de vie d’un groupe de babouins hamadryas (Papio hamadryas). Ces primates disposent d’une seconde cage d’isolement. De retour sur l’allée, centrale, le visiteur peut voir sur la droite, une rambarde historique tapissée de mosaïques bleues et blanches, les fameux « Azulejos » typique du Portugal. |
Volière des babouins - mars 2017 |
Enclos des cervidés - mars 2017 |
Sur la gauche, se trouve une
fosse de taille moyenne, en sable, composée d’un bac d’écorces et plantée de quelques arbres. Cet espace présente un groupe de nyalas (Tragelaphus angasii). Mitoyen aux nyalas, le visiteur peut observer un grand enclos à flancs de collines. Des pier- res ont permis de former différentes terrasses afin d’adouci la pente de cet espace au som- met duquel trône une imposante arche. Cette installation est consacrée aux cervidés asia- tiques représentés par des cerfs de Thamin (Rucervus eldii thamin) et des cerfs axis (Axis axis). |
La visite continue alors le long de ce chemin antique, pour arriver au niveau d’un escalier tournant sur la droite, escalier que nous allons laisser de côté, pour rejoindre un autre es- calier situé sur la gauche, gravissant la mon- tagne pour nous conduire vers la zone ap- pelée « Tapada do Lince Ibérico ». Le sentier qui monte la colline est jouxté de nombreuses photos et autres panneaux pé- dagogiques sur l’espèce phare de cette sec- tion. |
Entrée de la montagne des lynx - mars 2017 |
Enclos des lynx - mars 2017 |
Un premier enclos permet de marquer dans l’ascension, enclos ombragé par de grands arbres et garni de rochers qui présente un groupe de lapins (Oryctolagus caniculus). Au sommet de l’allée, le visiteur longe un mur de pierres jaunes percé de 3 baies vitrées. Ces vitres s’ouvrent sur un vaste enclos naturel, où la végétation locale est très dense, les rochers et les troncs complétant les décors. Cet espace est dévolu au lynx pardelle ou lynx ibérique (Lynx pardinus), l’un des félins les plus menacé au monde. |
Seuls les visiteurs les plus chanceux pourront ob- server Azahar et Gamma, les deux représentants de cette espèce à Lisbonne. L’allée se termine par un chalet en bois offrant un point de vue protégé sur l’installation des félins. Le visiteur redescend alors la colline jus- qu’au sentier principal, de sorte à continuer la visite sur la gauche. |
Enclos des lynx - mars 2017 |
Là, nous longeons un enclos relativement long, peu profond, composé d’une plage bétonnée, de quelques structures en bois et d’une rivière traversant l’installation pour se jeter dans un bassin servant également de séparation entre les animaux et le public. Ce complexe est le lieu de vie d’ours bruns (Ursus arctos). Au bout de ce sentier, le visiteur découvre un espace peu commun et relativement original, le cimetière des animaux de compagnie où les propriétaires de bêtes à poils et à plumes peuvent venir se recueillir. |
Fosse des ours - mars 2017 |
Cimetière des animaux de compagnie - mars 2017 |
Nous allons alors revenir sur nos pas jusqu’à l’espace des cervidés et de l’escalier que nous allons emprunter pour faire face à l’amphi- théâtre du spectacle des oiseaux. Après avoir admiré le spectacle de vol libre, le visiteur peut emprunter un petit sentier nous conduisant vers une ancienne île agrémentée de quelques buissons et de hautes structures d’es- calade en bois et en cordes. Cette île est le lieu de vie d’un groupe de capucins à poitrine jaune (Cebus xanthosternos). |
Ile des capucins - mars 2017 |
Jeux en matériel recyclé - mars 2017 |
De retour sur l’allée principale, nous allons nous diriger vers une forêt au cœur de laquelle a été installée une aire de jeux réalisée à partir de pots de yaourts, bouteilles plastiques et autres ma- tériaux recyclés. Nous ressortons alors de la forêt pour gagner des jardins à la française semble appartenir à une maison de maitre bordant le parc. |
Azulejos - mars 2017 |
Enclos des émeus - mars 2017 |
Au cœur de ce jardin, nous allons découvrir un premier complexe de deux enclos en terre, ombragés par de grands arbres, planté de ba- naniers et disposant d’un petit abri en bois ouvert en façade. Le premier est dévolu à un groupe de nandous (Rhea americana) tan- dis que le second accueille des émeus (Dromaeus novaehollandiae). |
Plus loin un bassin à l’eau clair entouré de plages en herbe, voit s’ébattre un groupe de pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus). Enfin, sur la gauche de l’allée, se trouve un autre enclos composé d’un bassin, planté de nombreux massifs de bambous et de palmiers. Au sein de cet espace, on pourra observer un couple reproducteur de grues de Mandchourie (Grus japonensis). |
Enclos des grues - mars 2017 |
Volière des pygargues - mars 2017 |
Nous traversons alors le jardin à la française pour tomber sur une longue et haute volière jouxtant la clôture d’enceinte du château. Cette volière relativement haute et longue, dispose d’un sol en herbe, d’une piscine, et de quelques conifères. Elle héberge un couple de pygargues à queue blanche (Haliaeetus albicilla). Dans le prolongement des rapaces, on dé- couvre un autre enclos en herbe, planté de hauts arbres, accueillant un jeune casoar à casque (Casuarius casuarius). |
La visite continue alors pour quitter le jardin. Là, sur la gauche se dresse la sortie du parc bordée par la plaine des zèbres déjà obser- vée au début de cette visite. Nous allons pour notre part bifurquer sur la droite de sorte à longer l’enceinte du jardin et l’enclos des casoars puis des pygargues. |
Bassin des pélicans - mars 2017 |
A ce
niveau,
un virage nous amène sur un ponton en bois divisant deux enclos en sable, agrémentés de faux rochers et creusés d’un bassin. Ces enclos sont le lieu de vie d’un groupe de rhinocéros blancs (Ceratotherium simum). Un troisième enclos plus petit complète ce complexe. Le visiteur quitte alors la passerelle pour faire face à un petit bâtiment de forme carrée, en- touré d’un fossé en eau. Le mur de ce bâti- ment est divisé en 3 sections rectangulaires, pouvant chacune être fermé par un volet. |
Enclos principal des rhinocéros - mars 2017 |
Complexe des petits singes - mars 2017 |
Chaque section dispose d’un sol recouvert d’écorces, est agrémentée de grosses struc- tures de bois morts et sont densément plan- tées. Ces loges sont consacrées à des calli- thricidés. On pourra ainsi y observer des ouistitis de Goeldi (Callimico goeldi), des tamarins empereurs (Saguinus imperator) puis tamarins à mains rousses (Saguinus midas). |
Enclos secondaire et rhinocéros - mars 2017 |
Exemple de loge pour petits singes - mars 2017 |
Nous allons alors nous diriger sur la droite, pour trouver, à l’extrémité de l’installation des petits singes, une vaste volière relati- vement haute, au sol en herbe, agrémentée de buissons et autres arbres et d’un bassin. Des structures d’escalade en bois complè- tent les aménagements. Cet enclos est le lieu de vie de tigres blancs (Panthera tigris). |
Enclos des tigres blancs - mars 2017 |
Exemple de loges pour tamarins - mars 2017 |
Nous allons alors longer
l’enclos
des
tigres et contourner l’installation des callithricidés pour gagner la troisième façade de ce bâtiment. Là, sur la gauche de l’allée, on retrouve une succession de loges de tailles moyennes, den- sément plantées, agrémentées de structures en bois et en cordes offrant différentes possibilités d’évolution. Le sol est pour sa part recouvert d’écorces. Au sein de ces loges évoluent des ouistitis à pinceau noir (Callithrix penicillata), des tamarins lion dorés (Leontopihecus rosalia) ou encore des ouistitis à toupet blanc (Callithrix jacchus). |
Sur la
droite, se dresse deux îles relativement longues, agrémentées de palmiers et de hauts agrès en bois reliés entre eux par des cordes. La première est le lieu de vie d’une famille de gibbons à mains blanches (Hylobates lar) tandis que la seconde est consacrée à des atèles noirs (Ateles fusciceps rufiventris). A l’arrière de ces îles, on aperçoit la pergola servant de poste d’observation sur l’île des gorilles, devancée par une petite volière au sol en sable, traversée par quelques perchoirs en bois et occupée par des inséparables à face rose (Agapornis roseicollis). |
Ile des gibbons - mars 2017 |
Enclos des manchots - mars 2017 |
A l’extrémité de l’île des atèles, se trouve un croisement. En poursuivant tout droit nous revenons vers la zone des oiseaux et le com- plexe des antilopes. Nous allons pour notre part bifurquer sur la gauche, pour longer un enclos en béton, composé d’un bassin en aqua-vision et d’une plage garnie de galets et de palmiers. Ce complexe, jouxtant le bassin des otaries est le lieu de présentation de manchots du Cap (Spheniscus demersus). |
En continuant la visite, nous découvrons une fosse datant des débuts du parc. Cet espace totalement artificiel, a été agrémenté de mai- sons miniatures, et est traversé par de mul- tiples cordes. Un groupe reproducteur de macaques du Japon (Macaca fuscata). Le sentier de visite entoure cette fosse. Nous allons nous diriger sur la gauche de ce cercle, pour retrouver la dernière façade du complexe des callathricidés, percée de quatre loges ty- piques de cette section et occupée par des tamarins lions dorés (Leontopithecus rosalia). |
Enclos des macaques - mars 2017 |
Volière des langurs - mars 2017 |
Nous continuons notre descente pour revenir au niveau de la sortie du complexe des rhino- céros. Là, nous allons tourner sur la droite, pour admirer une vaste volière en forme de rose des vents. Cette dernière au sol sur- élevé par rapport au sentier de visite, dis- pose d’un sol bétonné sur lequel des amas rocheux maintiennent de hautes structures d’escalade en bois et en cordes. Cette volière est consacrée à des langurs de Java (Trachypithecus auratus). |
Nous continuons alors notre
découverte du zoo de la capitale Portugaise, pour longer une île relativement longue, plantée de quel- ques conifères et sur laquelle s’enchevêtrent de hauts troncs. Cette ile abrite une famille de siamangs (Hylobates syndactilus). Nous allons laisser les hylobatidés de côté pour longer un imposant bâtiment en façade duquel ont été construites 5 volières de grande taille. Cette zone est caractéristique de la capacité que le zoo de Lisbonne a pour rénover et agrandir ses infrastructures, tout en conservant les bâtiments d’origine du parc. |
Complexe des singes - mars 2017 |
Exemple de volières - mars 2017 |
Ces volières ajoutent ainsi une zone arborée aux anciennes cages en béton. Des rochers, cordes et troncs complètent les décors de la zone des singes. Dans l’ordre de visite et à raison d’une espèce par enclos, on pourra observer un groupe de singes hurleurs (Alouatta cayana) ; des cercopithèques de Brazza (Cercopithecus neglectus), des cer- copithèques dianes (Cercopithecus diana), des macaques ouandérous (Macaca silenus) puis des cercopithèques ascagne à nez blanc (Cercopithecus ascanius ascanius). |
A ce niveau, en continuant tout
droit, nous
re- joignons la place des becs crochus et le com- plexe des perroquets. Face aux singes se dresse un complexe de plusieurs volières. Chaque volière dispose d’un sol en terre, est traversée par plusieurs perchoirs et plantée de quelques végétaux. L’extrémité du complexe forme un demi-cercle divisé en 2 volières. La structure la plus à gauche est occupée par des kookaburas géants (Dacelo novaeguineae), tandis que celle de droite est consacrée à des argus géants (Argusianus argus) et à des touracos à oreillons blancs (Tauraco leucotis). |
Volière des oiseaux exotiques - mars 2017 |
Exemple de volière - mars 2017 |
Nous allons alors
démarrer la découverte de ce complexe sur la partie droite du bâtiment. La première volière cubique, comparable à celle des argus en termes d’aménagements, est le lieu de vie de hoccos à pierre (Pauxi pauxi) et de pigeons roussards (Columba guinea). Des tragopans de Temminck (Tragopan temminckii) évoluent dans la seconde volière tandis que la troisième accueille des éperon- niers de Napoléon (Polyplectron napoleonis). Des faisans dorés (Chrysolophus pictus) coha- bitent avec des merles à longue queue (Lamprotornis caudatus) dans la volière qui suit. |
Face aux oiseaux, s’étend l’installation des tigres de Sumatra (Panthera tigris sumatrae). Nous arrivons alors à l’autre extrémité du complexe où deux volières mitoyennes, den- sément plantées, forment un demi-cercle. La volière qui prolonge la série que nous venons de voir est occupée par des touracos paulines (Tauraco erythrocephalus). La seconde volière présente pour sa part des faisans de Lady Amherst (Chrysolophus amherstiae) et des touracos violets (Musophaga violacea). |
Complexe des oiseaux - mars 2017 |
Volière des aras - mars 2017 |
La
visite nous amène alors vers la seconde rangée de volières entourant ce bâtiment, série qui fait face au complexe des cercopi- thèques. Dans l’ordre de visite nous pour- rons y observer des éperonniers chinquis (Polyplectron bicalcaratum) évoluant aux côtés d’ombrettes (Scopus umbretta) et de tisserins gendarmes (Ploceus cuculatus). La seconde installation héberge des tou- racos de Livingstone (Tauraco livingstoni). Des faisans d’Edwards (Lophura edwardsi) s’ébattent dans la troisième volière tandis que la dernière accueille des pigeons nobles (Otidiphaps nobilis) et des touracos à oreil- lons blancs (Tauraco leucotis). |
Le visiteur arrive alors
à nouveau devant la volière des kookaburas. Là, nous allons revenir sur nos pas jusqu’à la volière des faisans de lady Amherst, pour continuer notre visite vers une rotonde divisée en 2 hautes volières formant chacune un demi- cercle. Chaque volière est agrémentée de plusieurs grands arbres et chacun dispose de longs bassins formant une lagune. La première volière est consacrée à l’Afrique et héberge des dendrocygnes fauves (Dendrocygna bicolor), des ibis chauves (Geronticus eremita) et des touracos de Buffon (Tauraco persa buffoni). |
Volière des ibis - mars 2017 |
Volière sud américaine - mars 2017 |
La seconde représente l’Amérique du Sud avec ses ibis rouges (Eudocimus ruber) et ses caurales soleils (Eurypyga helias). Face aux ibis, le visiteur retrouve l’enclos des zèbres au niveau duquel nous tournons sur la gauche pour gagner la sortie du zoo. Après avoir franchi l’enceinte de la partie payante du zoo, le visiteur se retrouve sur une place à proximité de la volière des lo- riquets. |
Là, l’allée de visite passe devant la boutique du zoo, puis une succession de boutiques alimentaires et de restauration rapide. Une pause sur la terrasse d’un fast food très con- nu, le visiteur peut observer un enclos com- posé d’un grand bassin extérieur entouré de plages en terre. Cet espace est le lieu de vie de crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus). La visite nous amène vers un carrousel, avant de quitter définitivement le zoo de Lisbonne. |
Enclos des crocodiles - mars 2017 |
En conclusion le zoo de Lisbonne est le plus grand parc du Portugal. La collection est for- tement diversifiée avec notamment de nom- breux gros mammifères et divers becs crochus. Le zoo a su, au fil du temps, moderniser et agrandir ses installations tout en conservant les bâtiments historiques du parc. Le cimetière animalier situé dans l’enceinte du zoo constitue à lui seul une originalité à découvrir. |
Impala à face noire - mars 2017 |
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